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 Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE

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Aaron t. Juliard

Aaron t. Juliard
AARON Ҩ you can have whatever you like.
Féminin ◭ messages : 771
◭ arrivé(e) le : 27/05/2012
◭ âge : 25 ans
◭ statut : Amoureux de Beth
◭ études/métier : soigneur à l'aquarium de la ville


MessageSujet: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeJeu 5 Juil - 16:42

Capprie & Aaron/Mika & Beth
« Plus on est de fous, plus on rit »
    Son cœur tambourinait dans sa poitrine à l’image d’un boxeur qui frappe dans un punching-ball pour décharger toute la colère qu’il a emmagasiné. Il stresse, sa peur devient palpable et une sueur froide roule le long de son front, il était temps d’y aller, il était temps de faire les présentations. Le temps avait filé entre sa magnifique aventure avec Beth et aujourd’hui, quelques semaines seulement et pourtant il lui semblait que c’était comme hier. Sa peau dénudée, ses baisers endiablés et la chaleur de son corps contre le sien, tout restait à jamais gravé dans sa mémoire comme le souvenir d’une journée unique et belle. Il ne regrettait rien, pire encore, il était pressé d’en finir avec Zooey, juste histoire de pouvoir commencer réellement son aventure en compagnie d’une jeune femme qu’il aimait sincèrement et qu’il voulait combler jusqu’à la fin de ses jours. Bientôt il la présenterait à sa grande sœur, Capprie. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’il était extrêmement nerveux, il avait peur qu’elle gâche tout seulement dans l’espoir de le voir un jour reprendre son histoire tumultueuse et douloureuse avec Zooey. Elle ne voulait que son bonheur alors autant le laisser choisir avec qui il comptait continuer son histoire, même si cette demoiselle n’était pas vraiment celle qu’elle avait escomptée. Ils se retrouvèrent au bas de l’appartement de Capprie quelques temps avant la fin des cours de Beth, elles se rencontreraient à la sortie de l’université et elles auraient ainsi le temps de faire connaissances, tous trois assis sur la pelouse du campus. Ils seraient au calme et dans un cadre bucolique idéal aux belles rencontres. Lorsque la grande sœur fit son entrée dans la rue, Aaron ne pu s’empêcher de se dire qu’ils se ressemblaient physiquement et que Beth n’aurait pas de mal à comprendre avec qui il venait la retrouver ce soir. Une peur sourde montait en lui, il craignait secrètement qu’elle ne lui en veuille, quelque chose lui disait que cette rencontre pouvait mal tourner… Ils marchèrent jusqu’à l’université et Aaron resta évasif sur la raison pour laquelle ils s’y rendaient à cette heure précise et lorsque sa grande sœur devint assez insistante, il ne put garder le secret plus longtemps. « Je veux que tu rencontres Beth, elle est adorable et je veux qu’elle et moi, ça devienne bientôt officiel alors sois gentille et apprends un peu à la connaitre, c’est un ange, crois-moi ! », lui dit-il en souriant comme un gamin de cinq ans. En quelques temps de plus ils se retrouvaient à attendre devant la sortie, des tas de jeunes se précipitaient dehors comme dégoutés de l’heure de cours qu’ils venaient de passer. Beth, quant à elle, marchait tranquillement en compagnie d’un jeune homme qui lui touchait familièrement l’épaule. Son sang ne fit qu’un tour et Aaron eut un certain grognement dédaigneux. C’était qui ce gros connard qui touchait à Beth comme s’il touchait à son casse-croûte ? Cela ne lui plaisait pas du tout, pire, il avait une certaine envie de lui montrer de quel bois il pouvait bien se chauffer. Aaron attendit sagement et vint bientôt à la rencontre des deux jeunes gens avec un sourire courtois, décidant de parler uniquement à la jolie blonde, se disant que son cher ami déciderait de partir en voyant qu’il n’était pas le bienvenue. « Beth je voulais te présenter ma grande sœur, Capprie. Capprie, voici Beth… C’est ma petite amie… ». Il eut un large sourire et observa Beth, elle était magnifique aujourd’hui. Aaron espérait fortement que cet inconnu décide de s’enfuir mais quelque chose lui disait qu’il prendrait un malin plaisir à rester, il l’observait comme s’il était un prédateur autour de la gazelle qu’il devait protéger…

    Ps. Un rp à quatre, on poste dans l'ordre ou au pif, as you wish I love you Par contre on essaie de pas faire de pavés hein, histoire d'aller plus vite x)
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeVen 6 Juil - 15:54


aaron, capprie & mika'îl, beth


Adossée à la porte d'entrée mon immeuble, j'attendais patiemment mon petit frère qui devait me rejoindre d'une minute à l'autre. Enfin, patiemment. Tout est relatif, j'attends sagement en regardant ma montre toutes les deux minutes, disons. Cette nervosité qui m'habitait était due au fait que j'ignorais ce que je faisais là, à attendre Aaron. J'avais horreur d'être dans l'ignorance totale, et il s'était donné un malin plaisir à ne me donner aucun indice sur le pourquoi du comment on allait à l'université ce soir là. Etant arrivée assez en avance, et pour me calmer, je partis marcher pendant quelques minutes, deux rues non loin de chez moi. Nous avions beau être frères et sœurs, il arrivait souvent que ce soit moi qui arrive en avance et lui en retard. Et heureusement, lorsque je revenais dans ma rue à nouveau, j'aperçus sa silhouette, et sans trop le contrôler, en oubliant l'ignorance dans laquelle il m'avait forcé à être, un sourire se dessina sur mon visage. On se dirigeait à présent vers l'université, dans un but que j'ignorais encore, mais j'avais bien l'intention de le découvrir avant d'arriver sur les lieux. Têtue, je ne lâcherai pas l'affaire jusqu'à ce qu'il cède, et il le savait très bien. Et pour cette raison, la vérité ne tarda pas à sortir de la bouche d'Aaron. Je veux que tu rencontres Beth, elle est adorable et je veux qu’elle et moi, ça devienne bientôt officiel alors sois gentille et apprends un peu à la connaitre, c’est un ange, crois-moi ! Aoutch. Mon sang ne fit qu'un tour. Si cela n'avait tenu qu'à moi, je me serais arrêtée et aurais fait demi tour à la seconde où il aurait fini sa phrase. Mais le sourire enfantin collé sur le visage du jeune homme m'empêchait d'agir et de faire ce qu'il me plaisait, comme j'avais l'habitude de faire. Malheureusement pour lui, je connaissais déjà Beth, et non pas seulement par des préjugés et on dit. J'avais déjà rencontré la jeune femme et j'avais pu me faire ma propre opinion sur cette dernière. Les adjectifs qu'il avait employé pour la qualifier étaient le contraire de ceux que j'aurais employé. Je l'avais rencontrée grâce à Zooey, (ex-) petite amie d'Aaron et officiellement meilleure amie de Beth. Beth était bien trop impliquée, plus qu'une meilleure amie ne devrait l'être, dans la relation entre Zooey et Aaron, et bien trop proche d'Aaron, pour être innocente dans cette histoire. Adorable, comme disait Aaron, j'avais pu le voir, en effet, je ne niais pas ce côté de sa personnalité, quant à savoir si c'est réel, c'est une autre affaire. Également, elle était loin d'être un ange à mes yeux, alors je demandais à voir. Il exigeait de moi une certaine gentillesse envers elle, mais cela me fit sourire, il me connaissait assez pour savoir que gentille, je pouvais l'être jusqu'à un certain point, mais tolérante ne fera pas partie de mon vocabulaire aujourd'hui. Gentille, d'accord. Mais tu sais où sont mes limites. Être sur la réserve concernant cette gentillesse qu'il me demandait, montrait seulement ma volonté de le préserver, de le protéger contre une jeune femme qui n'avait pas encore fait ses preuves pour gagner ma confiance entièrement. Je ne le montrai pas forcément, mais il le savait très bien : si elle s'avisait de lui faire du mal, ou si la moindre pensée se rapprochait de cette idée, elle aurait affaire à moi. Une fois arrivés à l'université, Beth ne tarda pas à sortir, et difficile de louper cette silhouette longiligne à en faire pâlir plus d'une. Mais Aaron remarqua tout comme moi, une présence masculine à côté de la belle blonde. Tu ne m'avais pas dit qu'elle aurait de la compagnie., je me retins de justesse de le taquiner en lui lançant cette phrase, voyant son visage se décomposer légèrement à la vue d'un prédateur autour de sa belle. Je les gratifiai d'un sourire tous les deux, à leur approche, en entendant Aaron ne s'adresser qu'à Beth. Beth je voulais te présenter ma grande sœur, Capprie. Capprie, voici Beth… C’est ma petite amie… Si mes oreilles avaient pu saigner à cet instant même, elles l'auraient fait. Pour moi, le statut de petite amie d'Aaron, revenait à Zooey, et à elle seule. Leur couple me rappelait le couple de mes parents, unis par un amour immense et sincère. Comme celui de Zooey et Aaron, je l'avais cru indestructible. Jusqu'à la mort de mon père, en tout cas. La tristesse dans laquelle cet événement avait plongé la famille, et surtout ma mère, avait à jamais détruit l'image pure de l'amour que j'avais toujours eu. J'avais osé continuer de croire que l'amour qui unissait les deux jeunes survivrait à tout. Mais la réalité était bien autre, et en peu de temps, sans que je n'ai eu le temps de réaliser, toutes mes illusions m'avaient explosé à la figure. Déjà, lorsque Aaron m'avait raconté ses préoccupations au bassin là où il travaille, j'avais eu la crainte que cette fois ci, cela soit fini pour de bon. Mais l'espoir n'était pas mort, j'avais osé y croire encore. Un peu trop d'ailleurs. C'était un pari risqué, mais je l'avais pris quand même. Je pourrais considérer Beth comme la coupable, celle qui avait détruit toutes mes illusions. Mais ce serait nier le vrai problème, la vraie coupable. Qui n'est autre que moi. Celle qui a osé trop y croire. Et alors, dans un sourire, dénué de toute enthousiasme sans que cela se perçoive, je relève le regard vers la jeune femme que vient de me présenter Aaron. Bonjour Beth, nous nous sommes déjà rencontrées il me semble. Mais la situation était, disons, différente. Te rappelles-tu de qui tu étais avant ? Je l'espère, car moi je ne l'oublierai jamais.

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E. Beth-Eden Levy

E. Beth-Eden Levy
tic-tac ; tu craques. ♡

Féminin ◭ messages : 501
◭ arrivé(e) le : 23/05/2012
◭ âge : Vingt bougies allumées.
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeSam 7 Juil - 23:39


« i'd ask you how you are, but i don't really care. »
ft aaron, beth, mika'îl & capprie.


Agacé, horripilé ; il résistait contre l’envie de me tabasser. Aigri par toutes ces injustices au fil des années, il évacue – dégorge – toutes ses blessures, sa fureur sur moi. Je recule d’un pas. Les larmes me montent aux yeux bien trop rapidement. Il remarque cela et affiche un sourire moqueur, sadique. J’ai envie de hurler mais le parking de l’université est désert. Je n’aurais jamais dû trop m’impliquer dans cette affaire. Ils m’avaient pourtant prévenu de ne pas attirer l’attention, de ne pas fouiner. Mais que voulez-vous ? J’étais bien trop têtue pour les écouter. Mais surtout bien trop passionnée par mes études ; aveuglée par ma quête pour renoncer. Pour une fraction de seconde, j’avais pourtant été saisie pour une bouffée de chaleur, de fierté. J’allais être la première étudiante de Droit qui aurait trouvé la solution du meurtre de Monsieur Arnauld. Mais apparemment, non. Ils ont senti un risque, m’ont espionné et m’ont coincé, facilement. C’est trop tard, maintenant. Je ferme presque les yeux m’abandonnant à mon sort. Cela me prit dix minutes pour les ouvrir à nouveau en me rendant compte que je respirai toujours. Bizarre. J’avais été tellement plongée dans ma bulle que toutes les cellules de mon corps s’étaient arrêtées de fonctionner. La peur m’avait paralysé. Je ne vis rien, n’entendis rien. Le néant. Les sourcils froncés, lâchant un soupir désespéré ; c’est avec grand plaisir et regret à la fois que je vis en face de moi, Mika’îl. Ma joie immense qu’il ait été présent au bon moment se transforma rapidement en une fureur en croisant son regard. Il me trouvait sûrement pathétique, bien trop innocente et un vrai aimant à problèmes. Et d’ailleurs il n’allait pas tarder à me le faire remarquer. Je le sentais venir. J’avais pas du tout besoin de ton aide, figure-toi. Agacée, je lui tournai le dos et quittai le parking rapidement en direction de la sortie. Il me suivit. Je me dépêchai. J’étais bien trop fatiguée, épuisée pour supporter ses moqueries, taquineries. On se gueulait toujours et je savais très bien que notre discussion allait se transformer en un grabuge en moins de deux minutes. Qu’il me foute la paix, je n’ai pas du tout envie de me quereller avec lui. Dire que pour une fois, je n’avais rien fait. Je ne l’avais même pas fait exprès pour attirer son attention. Il avait juste débarqué de nulle part… comme toujours, d’ailleurs. Froid, distant, inexpressif ; voila ce qu’il était et encore je n’arrivais pas à le déchiffrer. En contre partie, pour lui, j’étais quelqu’un dépourvu d’intérêt, aride voir même pas du tout attrayant. Je le déteste. Je pousse un soupir tout en avançant quand sa main effleure machinalement mon épaule. Je faillis me retourner quand j’aperçus de loin Aaron. Un sourire se dessina rapidement sur mes lèvres. Il venait d’illuminer ma journée. Me retrouvant enfin face à lui je lui fis la bise maladroitement ne sachant pas trop si j’avais le « droit » de l’embrasser ou pas. Beth je voulais te présenter ma grande sœur, Capprie. Capprie, voici Beth… C’est ma petite amie. Je me figeai, littéralement. Mon cœur manqua un battement suite à sa phrase. Il venait vraiment de rendre les choses officielles ? Il m’avait prise par surprise et je fus tellement confuse que je ne sus quoi répondre. Je me contentai de sourire. Bonjour Beth, nous nous sommes déjà rencontrées il me semble. Mais la situation était, disons, différente. Je ne prêtai même pas attention aux paroles de Capprie encore moins leurs double sens. J’étais bien trop innocente pour m’en douter et surtout toujours sous le choc. Le fait que Aaron ait enfin décidé d’officialiser la « chose » voulait dire qu’on devait en parler à tout le monde, à Zooey surtout le plus tôt possible. Et rien que de penser à cela m’effrayait énormément. Chez Zooey, oui. Prononcer le prénom de ma meilleure amie – qui allait d’ailleurs rapidement me remplacer par quelqu’un d’autre – me martela la poitrine. Je fis une grimace. Me rendant compte que Mika’îl n’était toujours pas parti, je reportai mon attention sur lui profitant de cela comme un échappatoire à cette situation un peu délicate. Pour une fois, j'étais heureuse qu'il soit là. Hum, pardon. Je vous présente Mika’îl. Je marquai une pause avant d’ajouter : Un ami de longue date.

hj: J'espère que ça te va Mika pour le scénario au début, c'est la seule chose que j'ai pu trouver. Arrow et zyva ose dire que je t'ai ignoré aussi. j'suis la seule qui t'a vraiment présenté au people, là. Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE 418230605
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Mika'îl Cole

Mika'îl Cole
Maître du Je ☼ Maître du Tu

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◭ arrivé(e) le : 07/06/2012
◭ âge : 25 piges
◭ statut : Sans laisse, bague à l'annulaire, prêt à ferrer sa chose, player
◭ études/métier : J'brasse les thunes. Pas besoin de savoir comment mais, rassurez-vous, mesdames c'est légal et fructueux.


MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeDim 8 Juil - 13:06


Les jeunes exubérants et impatients, rompent toujours le silence. C'est du gâchis, car le silence est pur.

Rébarbatif, mon quotidien. Papier à musique réglé à la minute près, travail toute la journée, stresse comme supplément, colère comme remontant. Cachet d'aspirine bu avec langueur, ma main vient discipliner une mèche de cheveux. Mèche rebelle, belle appelation, dirais-je. Un rire cynique vient résonner alors que le Doyen de l'université achève un discour commercial. Prêt à tout pour obtenir un don, cirer mes pompes, lécher mon séant, me passer de la pommade. Autant d'expressions synonymes pour une seule réalité : je suis le maître, il est le valet qu'importe le poste auquel il est affecté. Dans cette institution, je pourrais ,tout bonnement, tout remanier sans que quoique ce soit ne vienne freiner. L'argent achète, l'argent avilit, l'argent c'est le pouvoir, j'en as des tas, des tas des deux, assurément. La question : pourquoi suis-je là, ne se pose plus. J'ai arrêté de plier sous cette interrogation le jour où j'ai appri que j'étais celui qui devait reprendre l'embarcation. Soit, je laisse tout couler. Si tout coule, je coule. Ma logique m'a donc poussé à accepter, sans rechigner. La vie baise bien, j'avoue. Couper court, rapidemment. « Bon et bien, j'en ai assez entendu » traduction : vous avez été indigeste, tant d'éloges, je dégouline, ce cher Doyen a été mielleux à excès, à surdose, à m'en dégouter, parfaitement. Peut être que, finalement, ma thune restera dans ma poche. Une poignée de main se perd, magnanimité quand tu me tiens. Sourire poli, geste évasif de la main, ma Lamborghini m'attend sagement dans le parking calamiteux. Je lui tourne le dos avec empressement. Mes pas me mènent rapidement là où l'amoncelement de bagnoles filerait la gerbe, des vieux tacos bons pour la benne. Affligeant, tout de même. Moins, hélàs, que le spectacle qui apparait , l'insupportable emmerdeuse Levy, encore placée au centre d'une situation qui la dépasse, molestée avec vigueur par un buffle sans aucun style. Splendide, je vais à nouveau voler à son secours. Je suis l'homme qui tombe à pic, bien que, je trouve nos rencontres toujours exceptionnelles, un brin surnaturelles, je dirais même : fatales. Je m'appoche, blasé, ces hommes qui s'attaquent aux femmes pour une raison qui m'échappe, cela m'insupporte excessivement : « J'ai composé le numéro des flics » crachées, ces quelques paroles énervent l'assaillant : « T'es qui pauv' con ?». Un haussement d'épaule, stupide : « Mika'îl Cole » Mika'îl Cole, comme les dollars Cole. Ca te parle merdasse. « 'connais pas, pape même roi, dégages !» Le bluff fonctionne toujours, ce n'est qu'une question de temps ou, d'heureux hasard. Une sirène résonne au loin, tapette prend ses jambes à son cou. Fichtre, je voulais user de mes poings, raté. « Musaraigne prête à crever de peur en proie à une foudroyante crise cardiaque » Beth ouvre les yeux, pas besoin de mon aide ? « A peine » je souffle, railleur. Quelque part, couper court, le fil de cette journée. J'apprécie le geste, Beth, mon Eden. « Les remerciements sont, en effet, superflus ». J'emboîte son pas, mon attention capturée par sa présence, je pense m'attarder. Sous mes répliques acerbes, se cache une affection lâche. Contrariée ? Je laisse ma main, mon bras effleurer son épaule, titillant la bête, prêt à l'éventualité d'un soubresaut. Rien n'arrive car, se dessinent deux silhouettes qui semblent convenir à la jouvencelle. Deux nouveaux pions,que de divertissements, ma parole. Spectateur, j'assiste à la représentation en live d'une satyre sociale. Des rustres, snobé, j'évite de répondre à l'affront fait par l'individu de petite taille qui vient d'embrasser la blondinette, mes yeux sont quelques peu attirés par la donzelle l'accompagnant, joli casse croute. Aucune salutation, n'ont-ils pas de manière ? En suspens, Beth se trouve en charge de faire les présentations : incomplètes, évidemment. Je suis entouré de manants. Moi, Mika'îl Cole, ami de longue date ? Vraiment, première nouvelle. J'en profite, mon bras passe autour de son épaule et s'y attarde : « Mika'îl Cole. Et vous êtes qui , vous ? Parce que, je n'ai pas souvenir d'avoir reçu cette information » je lance, pivotant légèrement vers la soeur du dit " petit ami" de Beth, ça aussi, c'est une nouvelle : « A part , vous, Capprie, n'est-ce pas ?» enjôleur, je parierais qu'elle est indomptable, la vilaine qui ose faire des allusions à mon Eden, instinct protecteur éveillé, je garde l'oeil. Marquant moi aussi mon territoire.

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Aaron t. Juliard

Aaron t. Juliard
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◭ arrivé(e) le : 27/05/2012
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeDim 8 Juil - 18:30

Les présentations. Quel bonheur ! Il savait à quel point Capprie n’aimait pas l’idée de voir son couple avec Zooey s’effondrer. Elle les élevait au rang de couple à l’épreuve de toutes les balles, de toutes les merdes du quotidien. Pourtant ils s’étaient brisé les ailes et après huit années passées ensembles Aaron étouffait. Non, c’était hors de question de continuer comme deux âmes en peine jusqu’au mur, autant qu’ils s’arrêtent ici et qu’ils changent de voie. Beth était devenu son ange et leur première relation avait scellé leur amour, il n’y avait plus rien à prouver, plus rien à dire, ils étaient faits l’un pour l’autre et rien ne pourrait jamais venir briser cette nouvelle histoire. Pourtant dés qu’ils s’étaient approchés de Beth, Aaron avait découvert un sentiment qu’il ne pensait sûrement pas découvrir de si tôt : la jalousie. Cette horrible boule au ventre qui vous fait devenir arrogant et hargneux, peu agréable et plein de mauvaises manières. Il ne pouvait s’en empêcher, il trouvait ce jeune homme un peu trop proche de Beth, SA Beth. Il comptait bien le voir déguerpir très vite. Aaron le jauge de loin. Il a l’air hautain, ce genre de gosse pourri gâté qui n’a plus conscience une seule seconde de la simplicité du monde. Il ne doit même plus avoir conscience de sa place dans celui-ci. Il se prend pour le roi alors qu’il n’est qu’un point. Il se prend pour le maitre du jeu sans en avoir les clefs. Il surjoue. Ils se présentent tous. Aaron sent une grande tension entre les deux femmes de sa vie et comprend qu’il lui manque des informations, il n’aime pas ça et ses sourcils se froncent. Il voit la main de Mika passer autour de l’épaule de Beth et son cœur se serre, il se rend compte de tous les sentiments qui s’entrechoquaient dans l’esprit de Zooey à chaque fois qu’elle l’imaginait avec une autre femme et il comprend. Ça fait mal. Il se présente, Aaron comprend la concurrence. Il reste distant et observe le jeune homme de haut en bas, il a cette attitude qui suinte l’assurance… « Aaron Juliard… Et c’est très récent… Et vous, ça fait longtemps exactement que vous connaissez Beth ? ». Il se crispe légèrement. Le regard vers Capprie le gêne et Aaron ne peut s’empêcher tiquer. On ne touche pas à sa grande-sœur, quelque chose est sur, ils ne vont pas bien s’entendre tous les deux. Il se retourne vers ce Mika et commence à sourire, le sourire le plus faussement fait du monde. Il tente de contrôler sa jalousie et commence à reprendre la parole, mesurant chacun de ses mots dans l’espoir de paraitre le plus poli possible. « Vous devriez peut-être partir non ? Beth ne vous raccompagnait-elle pas jusqu’ici ? ». Il soupire et tourne son visage vers sa petite amie, elle ne le connait peut-être pas assez pour le comprendre mais il est très protecteur, quelqu’un qui étouffe facilement les gens qu’il aime et là, il se sent menacé, torturé par un homme qui n’était pas le bienvenu. Aaron passe une main dans ses cheveux et tourne ensuite son visage vers sa grande sœur, elle semble intriguée par son nouvel interlocuteur et ça le tue. Il parait être un connard, un briseur de cœur en série et quelque chose lui dit que bientôt, il pourrira celui de Capprie… Jamais, ô non jamais, il ne touchera aux femmes de sa vie… Il se l’ait promis...

ps. les enfants, c'est de la merde ce que j'ai fait Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE 418230605
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeJeu 12 Juil - 13:46


aaron, capprie & mika'îl, beth



Chez Zooey, oui. J'acquiesce doucement, finalement contente qu'elle se rappelle du prénom de sa meilleure amie. Je me retiens de lui demander si cette dernière est au courant, ce dont je doute, mais je finis par me dire que je le saurais bien tôt ou tard. La présence du jeune homme fut oublié l'espace d'un instant, mais Beth ne tarda pas à nous le présenter. Je m'attends à toute sorte de relation entre eux, un truc compliqué que eux même n'arriveraient pas à expliquer. Mais, contre toute attente, il s'avère être un ami. Hum, pardon. Je vous présente Mika’îl. Un ami de longue date. Je retins une remarque désobligeante de justesse, à cause de la présence d'un invité parmi nous. Et pourtant, ce dernier ne se gêne pas et son bras se faufile autour des épaules de jeune femme, qui lui a été présentée comme petite amie de mon frère. Sans me retourner vers ce dernier, je suppose qu'il commence à bouillonner, en voyant cet ami de longue date, si proche et si complice de sa douce. Mika'îl Cole. Et vous êtes qui , vous ? Parce que, je n'ai pas souvenir d'avoir reçu cette information. Visiblement, il n'est pas du genre à se laisser exclure de la conversation, et compte bien connaître ceux à qui ils s'adressent. Comme si il voulait notamment en savoir plus sur celui avec qui sa protégée était maintenant en couple. Ayant déjà été présentée, je laisse mon tour de parole à Aaron, mais je remarque que le fameux Mika'îl se tourne vers moi. A part, vous, Capprie, n'est-ce pas ? Très perspicace ce petit. Ses paroles sont d'un ton charmeur et j'en ris doucement, prête à devenir joueuse à mon tour. C'est exact. Je suis certaine que notre échange n'a pas échappé à Aaron, mais qu'il se rassure, je fais mine d'entrer dans le jeu du jeune homme sans pour autant être totalement confiance. Je me méfie. Aaron se présente à son tour, et pose la question qui m'avait traversé l'esprit tout à l'heure. J'attends patiemment la réponse de nos interlocuteurs, essayant de deviner sous leurs traits leur véritable relation. Aaron se contrôle et essaye un sourire poli, mais je remarque bien que la présence de cet inconnu le dérange fortement. On peut deviner sous sa question son irrésistible envie de le voir partir, et je suis sûre que personne n'est dupe ici pour comprendre ce sous entendu. Mais j'ai l'impression que ce Mika'îl n'est pas prêt de partir, son bras semble être confortablement installé autour des épaules de Beth et quelque chose me dit que ce combat de coqs ne fait que commencer. Je sens le regard d'Aaron sur moi et me tourne légèrement vers lui, lui lançant un regard rassurant, essayant de lui dire d'être tranquille, car notre invité semble se réjouir de la jalousie qu'il provoque en son adversaire.

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E. Beth-Eden Levy

E. Beth-Eden Levy
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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeVen 20 Juil - 15:42


« i'd ask you how you are, but i don't really care. »
ft aaron, beth, mika'îl & capprie.


Je t'emmerde. Avais-je murmuré doucement plus à moi qu'à lui. Ses paroles, ses manières, sa façon de marcher ou encore de me regarder; tout ceci m'énervait, m'agaçait. Une folle envie de le pousser -le plus fort possible - me submergea, subitement. Mais je dus malheureusement m'arrêter en apercevant la silhouette de Aaron. Il m'avait manqué à un point inimaginable et bien que le fait qu'il soit accompagné de Capprie me perturba un tout petit peu, je n'insistai pas. Cette dernière, le sourire aux lèvres comme toujours, s'adressa à moi "poliment". Je dois avouer que je n'ai pas vraiment fait attention à elle ou à ses piques étant donné que la présence de Aaron me suffisait amplement. Mika'îl Cole. Et vous êtes qui , vous ? Parce que, je n'ai pas souvenir d'avoir reçu cette information. Ces paroles me firent arracher une grimace et je luttai contre l'envie de foutre une bonne claque à Mika'îl pour le remettre à sa place. Je n'étais pourtant pas surprise de sa réaction; je savais qu'il allait se comporter de la sorte. Un idiot, un grincheux, un connard, un fils à papa qui se croit être Apollon; voila ce qu'il était. Ce dernier - d'ailleurs - ne se gêna pas de passer son bras autour de mon épaule. Je ne bougeai pas, il s'y attarda. Je ne voyais l'intérêt d'agir bizarrement en présence de Aaron, cela ne ferait qu'aggraver les choses. Mika'îl n'était qu'un... ami et encore. Il ne mérite même pas cette qualification. En effet, notre relation n'est pas aussi banale qu'elle a en a l'air. Mais cela ne ferait de mal à personne de zapper les détails. Non...Plutôt, oui. On se connait depuis quelques années. Indécise, je mis du temps pour répondre à la question de Aaron. Se connait-on depuis longtemps, Mika'îl ? Je l'ignore. Je me rends alors compte que je n'y ai jamais vraiment pensé; que sa présence dans ma vie est tellement brusque, imprévue que l'on a jamais eu le temps de discuter ou de se connaître. Vous devriez peut-être partir non ? Beth ne vous raccompagnait-elle pas jusqu’ici ? La phrase de Aaron me figea immédiatement. Un soupir, un regard noir et un ton glacial. Je le connaissais par coeur pour savoir qu'à cet instant, il était "jaloux". Son instinct protecteur venait de se déclencher et d'ailleurs je ne comprenais vraiment pas pourquoi. Naïve ? Je le suis, certes mais je ne suis pas non plus sotte ou aveugle. Il ne se passe absolument rien pour que Aaron se mette dans un état pareil. Le pire c'est que Mika'îl allait en profiter. Joueur, bagarreur; il adore se mettre dans des situations aussi "amusantes". Il trouvera cela extrêmement divertissant et se décidera donc à se clouer sur place. Non je ne l'ai pas raccompagné. Je l'ai seulement croisé dans le parking. Un hasard, je suppose, comme toujours. Je balbutie. Je voulais détendre l'atmosphère et au lieu de cela, je venais de rendre les choses encore plus compliquées. Un mensonge inutile. L'intérêt ? Je l'ignore. Mon regard croisa celui de Aaron et je le détournai rapidement avant de me forcer à sourire. Je ne savais pas du tout mentir et j'espérais tout simplement qu'il n'allait pas s'en rendre compte. Coincée, suffoquant dans cette impasse dans laquelle on se retrouvait à présent tous les quatre j'ajoutai pour changer de sujet: Et sinon Capprie, qu'est-ce qui t'amènes à notre université de bon matin ?
hj: Désolée pour ce retard, les enfants. I love you Mika'îl a pas intérêt à se foutre de la gueule de Aaron sinon Beth le bouffera, je te préviens. :siffle:
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Mika'îl Cole

Mika'îl Cole
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◭ statut : Sans laisse, bague à l'annulaire, prêt à ferrer sa chose, player
◭ études/métier : J'brasse les thunes. Pas besoin de savoir comment mais, rassurez-vous, mesdames c'est légal et fructueux.


MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitimeSam 21 Juil - 12:16


Les jeunes exubérants et impatients, rompent toujours le silence. C'est du gâchis, car le silence est pur.

Le caniche sort les crocs perclus dans son délire obsessionnel dans lequel, il me voit emporter sa belle loin de sa piètre personne. Un sourire fend mes lèvres, le spectacle quasiment miteux éveille en moi un certain intérêt, de spectateur placide, je passe à acteur à la réplique acérée. Le regard toujours ancré dans celui de la sœurette, je réponds avec l’indifférence la plus marquée à la joute toute en finesse du petit copain boiteux de la belle Levy, décidemment, je n’arriverais jamais à comprendre l’engouement des donzelles envers des individus aussi primitifs. Un peu et cet idiot marquerait son territoire d’un jet urinaire sur la pauvre blondinette. « Depuis quelques années » je souffle railleur, reprenant la répartie de Beth-Eden qui, doit surement frétiller d’impatience de se retrouver en tête à tête avec ce Aaron de pacotille, pour ma part, un tête à tête avec la sœur de ce dernier, ne serait pas désagréable : « Deux-trois ans, dans ces eaux-là » à mon grand malheur, il faut bien dire. Rencontre à l’université où, à cette époque, j’étais encore qu’un pauvre étudiant malmené par des professeurs particulièrement exigeants, c’est donc avec les petits gens que j’ai fait mes classes. Cette petite ingrate pourrait au moins se montrer reconnaissante plutôt qu’irritée – elle aussi- par ma présence. Mais, je lui excuse son côté enfant-pressé-de-jouer-au-docteur après tout, c’est un jeu auquel je m’adonne sans satiété. Mes yeux se posent sur ce belliqueux, rieurs, tant que ça pressé de me voir déguerpir ? Beth-Eden, ma douce Beth-Eden, pourquoi prends-tu les traits d’une contrariété ? Pourquoi ne te contentes-tu pas de me dépeindre de manière méliorative, fais au moins l’effort d’être diplomate, je tiens à faire plus a-m-p-l-e connaissance avec la délicieuse Capprie et, au passage, m’amuser du ridicule qu’inspire ton couple avec cet abruti : « Partir alors que je suis en si charmante compagnie ? » je lance, retirant mon bras des épaules de Levy tout en m’assurant de garder une certaine proximité, tout juste de quoi attiser la furie de son petit ami improvisé : « Exactement, dans le parking où mademoiselle se trouvait dans une situation particulièrement périlleuse. Je vous passe les détails, disons, qu’elle fut très heureuse de ma présence à ce moment-là » je souligne, ce qui ne semble guère être le cas, désormais. Stupide gonzesse qui, oublie tout à la vue d’un homme. D’ailleurs, j’attends toujours ses remerciements. L’attention me délaisse, se portant à nouveau sur Capprie-des-Dieux : « Avant de répondre à la question – qui ne manque pas de pertinence – de Beth, pourquoi n’irions-nous pas tergiverser autours d’un café infect, du ô combien vous êtes heureux de vous trouver ici puisque ça semble être le cas » requin, je souris, toujours sourire lorsque l’hypocrisie suinte de chacune de vos phrases. Toujours. Mais, mes camarades semblent connaître cette règle.

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MessageSujet: Re: Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE   Plus on est de fous, plus on rit → AARON, BETH, MIKA & CAPPRIE Icon_minitime

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