| | sidé; sidérant, n'est-ce pas ? | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Jeu 17 Mai - 21:37 | |
| | Sidé Héra Valvis copyright avatar : solerds.
ton âge → 31 ans. ton groupe → The enthusiasts. ton boulot → Artiste peintre. ta classe sociale → Bonne, on va dire. ton caractère → Perdue - Réfléchie - Amusante - Maline - Imprévisible - Névrosée - Ermite - Indécise - Sanguine - Passionnée.
ton pseudo → ton âge → feat : erin wasson. |
il faut un début à tout. Il me regardait. Je sentais ses petits yeux ovales me fixer avec intensité, comme si tout ce que je lui racontais n’avait aucune importance. J’ai pourtant l’habitude d’être observée, comme ça, fixement, mais pas lui. Lui il ne m’observait pas. Lui, il me transperçait. Je le sentais entrer dans chacun de mes pores, comme ça, sans pudeur ni morale, comme si tout ce qui me composait lui appartenait. Je le voyais se retenir de sourire sous l’effet que me faisaient ses iris. Je le voyais jubiler de l’attention silencieuse que je lui portais, je le voyais, je le savais, son visage respirait la satisfaction. Et le désir. Regardez-le, ses boucles brunes juvéniles qui lui tombaient sur les sourcils, ses petites dents bien taillées par deux ans d’appareil dentaire, ses fossettes qui se dessinaient avec lenteur alors que je me laissais prendre par la profondeur de ses yeux. Je me perdais à lui répondre, j’oubliais ce que j’en disais, Rembrandt devenait Picasso, Poussin n’avait plus d’importance, Warhol devenait dérisoire ; des millénaires d’art parvenaient à se dissoudre par la simple puissance de son regard. Est-ce qu’il trouvait ça drôle ? Peut-être que tout cela n’était qu’un jeu, qu’il voulait simplement tester son pouvoir de séduction sur une proie interdite. Réaliser un fantasme, impressionner ses camarades. Allez savoir. Mais ça marchait. Je me sentais faible, vulnérable ; si il s’approchait, je sentais ma gorge se serrer, mon estomac se nouer et mes jambes flancher. Je redevenais la petite fille timide et invisible que j’avais pu être dans le passé. Tout ça devenait de plus en plus dur à supporter. Je pouvais pas me permettre un truc pareil. Je pouvais pas. * Je fumais ma cigarette sur le porche, mon chat sur les genoux, de la peinture sur les doigts. Je venais de terminer une toile. J’en étais pas vraiment satisfaite, je sais pas trop, quelque chose me dérangeait. Mais elle était achevée, je le savais, je le sentais. Il était tard, horriblement tard. Le lampadaire grésillait, la rue était déserte, la nuit froide, noire, obscure. Le vent sifflait entre les branches de mon cerisier. Mes volets grinçaient. J’ai toujours eu l’impression que cette maison était sur le point de s’écrouler, qu’un pas mal avisé parviendrait à faire céder les fondations. Que tout ça s’écroulerait sur ma tête. Je suis sûre que je mourrais comme ça, tuée par le bois moisi de cette vieille baraque. Retirant les restes de peintures qui s’étaient installés sous mes ongles, je sentais que l’on m’observait. J’ai toujours l’impression d’être observée, mais là, c’était différent. C’était oppressant, insistant, je sentais qu’il y avait quelqu’un. Je le savais. Relevant la tête, mes muscles se tendirent, faisant sauter mon chat de mes genoux. Il était là, sur le trottoir, devant ma maison, il me regardait, encore avec ces yeux avides et emplis d’un sentiment que je cherchais à définir depuis plus d’un an. Il était là, juste là, planté, silencieux, et il m’observait. Je ne l’avais même pas entendu arriver. « Damian ? Mais qu’est-ce que tu fais là ? »Je n’savais même pas pourquoi je lui parlais. Je devrais avoir peur. C’est ce que toute personne normale ressentirait. Pour arriver à retrouver mon adresse, il avait forcément du me suivre. Je suis pas dans l’annuaire, et j’habite à l’autre bout de la ville. Je sursaute ; ma cigarette s’était consumée et me brûlait les doigts. L’écrasant nerveusement au sol, je me relève et m’approche de quelques pas, le toisant de ma hauteur. Lui aussi s’approche, monte une marche, me menaçant toujours de son silence oppressant, de son regard hypnotisant, de sa gestuelle presque féline. Je me sens à nouveau comme une gamine. Vulnérable, faible, misérable. Je recule finalement au fur et à mesure qu’il avance ; je lance des regards paniqués tout autour de moi, priant les dieux qu’aucun voisin ne m’observe. C’est une fois le dos contre ma porte d’entrée que je réalise dans quelle situation je me trouve. Mes poils se hérissent, je frémis ; je ne sais pas si j’ai froid, peur, ou si je ne suis étrangement pas mécontente. Je le fixe, impassiblement, tentant de cacher le chaos qui se déroule au fin fond de mes tripes. Il continue d’avancer, d’avancer, de plus en plus dangereusement, pour finalement finir si proche de moi que je sens la chaleur de son ventre contre le mien. Le bruit de la poignée me fait tressaillir : il avait ouvert la porte. Je ne sentis même pas sa main sur ma hanche qui m’entraînait à l’intérieur, je ne sentais plus rien tant j’étais pétrifiée. J’étais parfaitement consciente de tout ce qui se passait. Je savais qu’il ne venait pas pour des cours particuliers de peinture, qu’il ne voulait pas parler d’art avec moi, ni même savoir comment allait ma mère. La proximité de nos visages, la valse de nos soupirs, la chaleur tremblante de nos mains, l’effluve mielleuse de nos envies trop longtemps refoulées ; oui, je savais que rien de tout ça ne me ferait du bien. Je savais qu’il n’aurait rien d’autre à m’offrir qu’un bonheur partiel, un plaisir douloureux. Il n’avait même pas ses lèvres sur les miennes que je percevais déjà le regard furieux du directeur, les larmes de sa mère et les néons des voitures de police. Je lisais déjà les gros titres, j’écrivais déjà les jours passés sur les murs de ma cellule, et je posais déjà ma main contre la vitre, cherchant à rencontrer celle de ma mère qui se trouvait derrière. Oui, je le savais. Je savais dans quoi je m’engageais. Je savais que ces doigts qui se baladaient sur mes épaules n’étaient pas inintéressés. Je savais que cette bouche endormie dans mon cou n’était pas là pour m’offrir un futur radieux. Je savais que mon corps ne frémissait pas de peur mais de plaisir, d’envie, d’avidité. Je le savais, tout ça. Je pense même que je l’ai toujours su. Lui aussi, d’ailleurs. Surtout lui. * J’observais mon salon. Si on peut appeler ça un salon. Affalée devant mon ordinateur, je me frottais le front, blasée, lassée de l’ouragan permanent que j’étais, incapable de maintenir une maison en ordre. Des jets de peinture, incrustés dans la tapisserie, se moquaient de moi silencieusement. Des toiles jamais finies semblaient me toiser de tristesse et de colère, alors que des pinceaux secs hurlaient à l’agonie. Me levant mollement, j’esquivais avec fatigue les déchets qui jonchaient le sol. Ce n’était plus une maison. C’était un atelier géant. En sept ans, mes sorties s’étaient résumées à remplir mon frigo et à racheter des tubes de peinture et des toiles vierges. Je ne faisais plus rien. Je ne voyais plus mes amis, je ne cherchais plus les rencontres ; les gens sont trop insignifiants pour que je ne m’abaisse à leur accorder un peu de mon temps. L’humain est bête, vil, cupide. Me mêler à cette plèbe abrutie et formatée par une société trop longtemps capitalisée, ça me dégoûtait. Si j’avais pas eu un terrain aussi mal entretenu, j’aurais fait pousser mes propres légumes, et j’aurais vécu en parfaite autarcie, seule. J’aurais fait pousser mon tabac, et je roulerai mes cigarettes dans du papier classique. Quitte à m’intoxiquer. Tant que je donne pas mon argent à toutes ces hyènes. Je vivais de la vente de mes toiles. J’avais un agent que je n’avais jamais rencontré. On se contactait par mail ou téléphone. Je lui envoyais des photos de mes toiles qu’il transmettait aux galeries ou aux particuliers. Ces derniers faisaient leurs offres, et un coursier venait chercher les œuvres. C’est comme ça que j’avais trouvé un équilibre. Je pense bien vivre. Je n’ai jamais faim, je ne suis jamais en manque de rien. J’ai la nausée rien qu’à me dire que ce sont ces riches obèses qui me font vivre ; mais qu’importe. Qu’importe. Me servant une énième tasse de café, j’entends le tintement d’un nouveau message. Je m’approche de mon ordinateur, portant la boisson à mes lèvres. M’asseyant pour ne pas m’évanouir, je sens tous mes muscles se raidir et mes poils s’hérisser. Damian Philipp Buiten aimerait faire parti de votre liste d’amis. Cliquez ici pour accepter sa demande. Mains tremblantes, je cherche paniquée mon paquet de cigarette. Je pose ma tasse de café, en renverse la moitié, et coince une clope dans ma bouche. Sept ans. Sept ans que je vis sur des souvenirs. Sur celui d’une de mes élèves, venue récupérer sa trousse oubliée, les yeux écarquillés devant Damian qui avait sa main sous mon tee-shirt. Tout défilait à nouveau dans ma tête. Tout ce que je tentais d’oublier en sept ans. Je revoyais sa mère, rouge de colère, hurlant sur le directeur. Je revoyais Damian, dans la voiture de ses parents, criant des yeux toute la rage que pouvait contenir le petit être qu’il était. Je risquais la prison à vie pour pédophilie. Il n’avait que dix-sept ans. J’étais responsable de lui. Consentement ou non, j’aurais pu finir ma vie derrière les barreaux. C’est grâce à Morgan, le proviseur de l’époque, que j’avais toujours ma liberté aujourd’hui. Grace à certains de ses contacts dans la police, l’affaire avait été passée sous silence et toutes les preuves avaient disparues. La seule punition a été ma radiation de la profession dans l’enseignement publique. Perdre mes élèves et le seul boulot épanouissant que j’ai pu connaître a été un déchirement aussi brutal et violent que ma séparation avec Damian. Et en un mail, sept ans de ma vie venaient de s’écrouler, une fois encore. Sept ans d’efforts, d’isolement, de refoulement. Je sentais les larmes monter tandis que je cherchais mon briquet. Quel âge devait-il avoir, aujourd’hui ? Aux alentours de 24 ans. L’âge que j’avais à l’époque où je l’ai rencontré. J’hésite à cliquer. Techniquement, rien ne me retient. Il est majeur, je le suis aussi. Il est en âge de faire ce qu’il veut. Je clique sur Accepter. Je sens des larmes rouler sur mes joues tandis qu’un sourire prend forme sur mon visage. Je me sens comme dans un film. Un rayon de soleil se lève, je me sens un peu plus moi-même au fur et à mesure que les secondes défilent, je vois tout ce qui m’entoure d’un œil nouveau. Reposant finalement ma cigarette, je me relève et attrape un sac poubelle. Il est temps de faire du vide. De nettoyer, de balayer tout ce qu’il s’est passé. Tout reprenait place, comme il le fallait. Mais qui sans amour existe ? . que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → Amour ? Passion. Réflexion. Douleur. Joie. Envies. Désirs ! Espoirs. Surprise. Chute. Tout et rien à la fois. C'est sûrement le sentiment le plus particulier qu'un être humain puisse ressentir. L'amour. Je pense que tout le monde a un jour tenté de le définir. Par le chant, la poésie, la peinture. Certains se contenteront des spectacles de dame Nature pour poser leur définition de l'Amour. D'autres attendront un baiser fougueux et une main baladeuse pour penser virevolter, saisit par l'étreinte de l'Amour. Et certains, peut-être, préféreront le fuir, pour finalement se voir saisi par l'impossibilité à le fuir plus d'un temps limité. L'Amour n'est pas quelque chose qui se contrôle, se définit, se renie ou s'apprend. L'Amour est quelque chose que nous avons tous au creux de nos mains, et qu'il faut simplement apprivoiser au fil du temps.
quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Actuellement ? Plutôt plat. Nul. En attente. Plein d'espoir. J'attends de voir, dirons-nous. Je ne sais d'ailleurs pas si l'on peut parler d'un réel "statut amoureux", vous voyez. Je parlerai plutôt de "romance latente". C'est plus poétique, et ça image tellement mieux ma situation actuelle. Tellement, tellement mieux.
quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Probablement bisexuelle. Mais je n'ai jamais eu l'occasion de... enfin... vous voyez, de tester, quoi.
comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Je ne pense pas désirer suivre les conventions bien vues par notre société. Je ne me vois pas dans un bungalow, entouré par une grande famille et un labrador, ravie de la réussite professionnelle de mon mari. Je ne me vois pas me chercher un hobbie une fois ma lessive terminée. Je ne me vois pas m'inquiéter de la pâleur des roses de mon jardin, ni de la tâche sur la robe de ma fille. Je me vois comme je suis aujourd'hui, vivant dans des conditions similaires. Juste mieux accompagnée. Je ne veux rien changer à mon quotidien.
Dernière édition par Sidé H. Valvis le Lun 11 Juin - 21:32, édité 1 fois |
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∞ bigfish ◭ jillian - perfection has a name.
◭ messages : 3213 ◭ arrivé(e) le : 16/01/2012 ◭ âge : underco ◭ statut : underco' ◭ études/métier : underco
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 4:55 | |
| nan mais le pseudo quoi bienvenue chez toi jolie môme et bon courage pour ta fiche : ) si tu as des questions, hésite pas ** |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 6:20 | |
| Bienvenue belle gosse et bonne continuation pour ta fiche ! |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 6:25 | |
| Bienvenue sur carried by love :) |
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∞ Isobel J. Guy-Miller
◭ messages : 184 ◭ arrivé(e) le : 17/05/2012 ◭ âge : 33 ans ◭ statut : mariée ◭ études/métier : directrice artistique du journal local
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 6:59 | |
| Bienvenue, je suis fan de ton avatar, il est sidérant (bon j'admets que mon humour laisse un peu trop à désirer!) |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 7:10 | |
| Merci, mais c'est mon troisième compte. (: |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 8:12 | |
| c'est quoi tes autres comptes ? |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 8:21 | |
| Je dis paaaaaaaaaaas ! |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 8:23 | |
| aaaaargh. je suis in love d'erin !! ton avatar est parfait 8D rebienvenue, apparemment ! |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 9:12 | |
| - Sidé H. Valvis a écrit:
- Je dis paaaaaaaaaaas !
Ouais, ouais, je finirai bien par trouver ^^ |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 12:41 | |
| Bienvenue |
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∞ Rhett J. Hawtorn
◭ messages : 474 ◭ arrivé(e) le : 26/04/2012 ◭ âge : 26 ans ◭ statut : Célibataire ◭ études/métier : Sans emploi
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 18 Mai - 15:20 | |
| ERIN (Re)bienvenue donc ! |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Sam 19 Mai - 15:49 | |
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| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Dim 20 Mai - 17:58 | |
| vu ton post dans les absences, t'es démasquée ! Bref, j'arrête le flood :D |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Dim 20 Mai - 18:26 | |
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| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Jeu 31 Mai - 16:59 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
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∞ Cally R. Everly-Strauss
◭ messages : 118 ◭ arrivé(e) le : 20/05/2012 ◭ âge : 25 ans ◭ statut : célibataire ◭ études/métier : responsable de l'hôtel « Started »
| | | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Ven 1 Juin - 18:32 | |
| Merci, merci (: va me falloir un délai, suis désolée mais avec les révisions de bac et tout je galère à trouver le temps de tout faire.. |
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∞ j. alix o'donnel ◭ bye-bye, black bird.
◭ messages : 6147 ◭ arrivé(e) le : 02/12/2011 ◭ âge : twenty-one y-o. ◭ statut : en couple ? ca dépend des fois. ◭ études/métier : étudie la littérature et bosse dans un café.
| | | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Sam 2 Juin - 9:36 | |
| Merci |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Dim 3 Juin - 13:53 | |
| rebienvenuuuue ma belle et bonne merde pour le bac ! |
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∞ Ruby N. Larkins
◭ messages : 347 ◭ arrivé(e) le : 17/05/2012 ◭ âge : 27 ans ◭ statut : Célibataire ◭ études/métier : organisatrice d'événements
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Dim 3 Juin - 14:49 | |
| Bienvenuuuuue sur CBL ! Bon courage pour ta fiche :) |
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∞ Dan Blackburn-Norwich Firebird
◭ messages : 451 ◭ arrivé(e) le : 06/06/2012 ◭ âge : 22 ◭ statut : Célibataire ◭ études/métier : étudiant, the academy of music (= conservatoire)
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Sam 9 Juin - 12:27 | |
| Ton pseudo, ton titre Bienvenue ! |
| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Lun 11 Juin - 21:32 | |
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∞ j. alix o'donnel ◭ bye-bye, black bird.
◭ messages : 6147 ◭ arrivé(e) le : 02/12/2011 ◭ âge : twenty-one y-o. ◭ statut : en couple ? ca dépend des fois. ◭ études/métier : étudie la littérature et bosse dans un café.
| Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? Mar 12 Juin - 9:58 | |
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| | | | Sujet: Re: sidé; sidérant, n'est-ce pas ? | |
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| | | | sidé; sidérant, n'est-ce pas ? | |
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