« if you walk away I know I'll fade cause there is nobody else.. » MAEL ♥

mael & zoey

J'étais seule ce soir, à nouveau, Aaron était de nouveau sorti, on s'était disputé, encore.. Je l'avais surpris à embrasser cette fille, je ne la connaissais pas, je passais dans le coin, pas loin de son boulot et c'est là que je l'ai vu se pencher et l'embrasser. J'étais rentrée aussitôt chez moi, je m'y étais enfermée, j'avais hurlé, j'avais cassé un vase, j'avais pleuré, encore et encore, toujours plus.. Il est rentré, comme si de rien n'était, il a même nié, nié l'avoir embrasser alors que j'avais une photo, oui, j'avais pris l'habitude de prendre en photo chacun de ses écarts. J'avais des preuves de tromperies en grand nombre et ce depuis plus de deux années et pourtant, malgré tout le mal qui me causait, les larmes qu'il faisait couler sur mes joues, je ne pouvais tout simplement le quitter, je l'aimais. Oh oui, je l'aimais comme une folle, à chaque regard qu'il jetait sur moi, je sentais le bonheur monter en moi, j'avais des papillons dans le ventre, j'étais aux anges. Je ne pouvais concevoir ma vie sans lui, il était ma vie, je lui avais tout donné, oui oui, tout ! Mais le voir embrasser, à nouveau, une autre fille que moi, c'était horrible, j'avais l'impression que mon coeur allait arrêter de battre à chaque fois que je me remémorais les images de leur baiser. « That's whats going on, nothing's fine I'm torn » voilà la chanson que j'avais écouté pendant plus de deux heures, pleurant toutes les larmes de mon corps, je la connaissais par coeur et dans le genre triste, je n'avais pas encore trouvé mieux.. Alors, quand Aaron est rentré, il a bien vu que j'avais encore pleuré, il a levé les yeux en l'air et a marmonné je ne sais quoi, c'en était trop ! Je m'étais levée et je lui avais tout dit. « Comment oses-tu ? Comment oses-tu faire comme si de rien n'était ?! Je t'ai vu espèce d'idiot, tu l'as encore fait ! Sors, sors de chez moi ! Dégage putain ! » Je ne disais presque jamais d'insultes, je n'aimais pas cela et dans la bouche d'une femme, je trouvais cela très laid mais là, j'étais tout simplement à bout, je n'en pouvais plus..

Il avait levé la main, très haut mais j'avais esquivé, alors, il était parti en haussant les épaules. Je m'étais effondrée sur le canapé, refondant en larmes pour la je ne sais combientième de fois de la journée, décidément, ce type était un vrai connard. Enfin, j'avais arrêté de pleurer, je m'étais mise en pyjama, démaquillée, j'avais fait des pop corn et avais mis un DVD. C'était mon rituel lorsque je n'allais pas bien, pop-corn et film, le meilleur des remède. Alors que j'allais me mettre au lit, j'entendis la sonnette de la porte d'entrée, je pris une grande respiration, pitié, pas lui, pas Aaron, je ne voulais pas le voir.. Me dirigeant doucement vers la porte, je l'ouvre et découvre Mael à la porte, mon coeur fait un bond ! Il était décidément toujours là quand il le fallait ! Je sautais dans ses bras tandis que ses mains se posaient sur mes hanches, c'était toujours comme cela entre nous, je pouvais parler de tout avec lui, rien n'était tabou et le fait que l'on soit très proche physiquement parlant avait amené beaucoup de ragots, tous plus faux les uns que les autres. « tu es toujours là au bon moment.. » je le faisais alors rentrer à l'intérieur, tandis que ses mains restaient posées sur mes hanches.

Luna. P. Smith a écrit:

◭ Just To Night.

Encore une soirée de rien de plus banal. J'étais là paumé, dans une ruelle ou personnes n'y étais. Personne était là, il devait être plus de minuit, un peu normal. Mais moi j'avais rien à foutre de mes journées en faite. Ouais, mon métier est dealeur de drogue quoi. Je planais aussi, c'est pour ça aussi que je ne comprenais rien à la vie et que j'étais dans mon monde. Oui je profite du mieux de ma vie quand même j'ai le droit non ? Je suis orphelin, je n'ai jamais connus mes parents, ils m'ont laissé. Les battards quand même, ils sont vraiment sans coeur. Je sais que moi je peu l'être parfois, mais jamais je ne pourrais faire ça quand même. Je soupire légèrement, et puis je m'en branle total, j'ai grandit comme ça et c'est tous. Il faisait légèrement froid à cause du vent je continuais à marcher tous droit. Plongé dans mes pensés de merde, à essayer d'imaginer ma vie si j'aurais eu une famille comme tous le monde. Je pense, que je ne serais pas aussi foutu comme ça. Faut l'avouer je suis un déchet humain. A pars mon physique mais à l'intérieur c'était comme si j'étais mort quoi.

Un appelle sur mon portable. Putain c'est qui qui pourrait me faire chier à cette heure si ? Putain encore une pigeonne en manque de drogue. Je répond, et lui donne un rendez-vous qui n'étais pas loin d'où j'étais. Ouais moi je fumais, mais pas énormément comme la pétasse que j'allais voir là. Je vais me faire encore une fois des sous, je vais me faire 50 balles comme ça tranquille. En échangeant juste de l'herbe. Je sais que la mienne était bonne mais bon. Je continue à marcher et je l'a voie. Je lui donne ce qui lui fallait et me donne un billet. Encore une blindée qui ne sais plus quoi faire de sa vie, qui veux se foutre en l'air et qui veux fumer. Putain, comment on pouvait devenir comme ça sérieusement ? Bref, je m'en branle et continue mon chemin. J'suis pas du genre à papoter avec mes pigeons. Et puis, je n'ai pas que ça à foutre en vérité. C'est là ou je passe devant chez la belle Zoey. A mon avis, à l'heure là son connard de mec n'était pas là. Pourquoi ne pas lui rendre une petite visite ? Ouais, je sais c'est mal. Mais merde, je suis complètement défoncé, je m'en branle de tous. Et puis, perso' son mec ne me fais pas peur du tous, au contraire.

Je sonne, en attendant et en espérant qu'elle soit là. Et elle ouvre doucement la porte. Ses yeux étaient gonflées, putain elle avait encore une fois pleuré ? S'te salaud l'avais trompé une fois de plus ? Là, j'avais une seule envie c'était de lui péter sa gueule de merde. Il a une nana en or qui est folle amoureuse de lui et voilà ce qu'il lui fait subir. Ouais elle est folle amoureuse de lui. Pauvre conne.. Je suis là devant toi, tu attends quoi sérieusement ? Je sais je ne suis pas parfait mais merde quoi. Elle était démaquillé, en pyjama, un peu de chocolat au coins de la lèvre. A chaque fois elle bouffe de la glace pour essayer de se réconcilier toute seule. Mais maintenant je suis là Zoey. Ouais.. Je suis là. Des mecs pourraient la trouver laide, mais moi je l'a trouve tellement magnifique. Et elle le restera. Ouais je suis défoncé, mais là je le pense vraiment !

« tu es toujours là au bon moment.. »

Je la prend directement dans mes bras et lui caresse légèrement ses cheveux, pendant qu'elle ferme sa porte. Je lui dépose un baiser sur son front et la regarde. Ouais elle allait voir que j'ai les yeux complètement défoncé, et elle va me tuer une fois de plus. Elle va me demander ce que j'ai fais, je vais lui dire que j'ai vendu, là c'est bon elle va m'achever avec un coup de massue ça c'est sur et certain même. Je ricanne légèrement, ne sachant pas très bien pourquoi, mais bon je m'en branle. Je me détache doucement d'elle et lèche doucement le chocolat qu'elle avait au coin de sa lèvre, tout en me posant sur son canapé, en la prenant avec moi pour la mettre sur mes genoux. Je place mes bras autour de sa taille.

« Alors ? Cet Enfoiré ta encore une fois trompé ? Laisse moi deviner. Une blonde Pétasse à gros seins ? »

Je soupire légèrement tout en m'allumant une clope. Ouais, si je me roulais un joint je crois qu'elle m'aurait défoncé. Tu va me dire, défoncé du bon coté ? Genre hum.. De la baise ? Nan ! Taper carrément, elle est folle parfois ! Si ça aurait était l'inverse j'm'en serais péter plus d'une vingtaine des joints.

« Alors Ma Zoey ? Besoin de réconfort ? De parler ? Qu'es que tu fou encore avec se mange bite ! Je te jure j'ai envie de lui péter sa gueule de merde. »

Ma main lui caressais doucement sa hanche, et je tirais quel que taffe sur ma cigarette.

mael & zoey

Dès que j'avais aperçu son visage d'ange, je l'avais pris dans mes bras ! Il avait surement déjà remarqué à mes yeux rouges et mon regard terne, bien qu'il semblait s'être éclairé dès l'arrivée de Mael, que mon connard de copain avait encore fait des siennes. Oui, je traite mon copain de connard, tout le monde est au courant de ce qu'il fait et à chaque fois, la même question revient : " Mais pourquoi tu restes avec un type pareil ? " Ma réponse est toujours pareille, je l'aime tout simplement. J'étais plus que folle de lui, ca, c'était sûr et certain puisque si je le voulais, je pense que moi aussi, je pourrais me taper tout ce qui bouge, tiens Mael par exemple ! Il est plutôt beau gosse.. Plutôt ? Non mais sérieusement Zoey, Mael est un beau gosse, carrément, totalement même ! Je sens ses mains caresser mes cheveux, cela m'amène des frissons de partout, je ne saurais dénier le fait que je n’éprouve rien à son encontre, cela serait un énorme mensonge. Bien évidemment, il m'arrivait de vouloir lui sauter au cou lorsque certains de ses gestes étaient plus tentants, comment ne pas le vouloir ? Alors que sa langue se pose sur le coin de ma bouche, je sens mon coeur s'emballer. Je ferme doucement les yeux, calme toi zoey, calme toi. Je prends place sur ses genoux tandis que ses bras se nouent autour de mes hanches. J'étais tellement bien là, assise sur ses genoux, je me sentais en sécurité, comme si rien ne pouvait plus m'atteindre. « Alors ? Cet Enfoiré ta encore une fois trompé ? Laisse moi deviner. Une blonde Pétasse à gros seins ? » Je rigolais doucement, il avait le don de me faire rire même dans les pires moments. Déposant ma tête sur son épaule, les yeux mi-clos, je répondais d'un air décontractée, après tout, c'était quelque chose d'habituel, les tromperies d'Aaron.« t'y étais presque, une brunette. »

Malgré les dernières heures que je venais de passer, la présence du jeune homme m'avait mis du baume au coeur, j'étais heureuse qu'il soit là, qu'aurais-je fait sans lui ? Probablement pris une dizaine de kilos, à force de manger pour me réconforter. Non, sans rire, j'aurais surement été dans un sale état. Je faisais glisser ma main légèrement sur la nuque de Mael, souriant lorsqu'il frissonnait. Il prend alors une cigarette et commence à tirer quelque taffes, j'étais parfaitement au courant des petits business de Mael et même si cela me dérangeait énormément, je ne disais rien, je ne pouvais rien dire, après tout, je n'étais pas sa copine. « t'es défoncé hein ? Juste.. Fais gaffe.» La pire chose qu'il pourrait m'arriver en cette période, serait certainement perdre mon Mael, d'habitude, j'avais tendance de le frapper, pas trop fort bien évidemment ! « Alors Ma Zoey ? Besoin de réconfort ? De parler ? Qu'es que tu fou encore avec se mange bite ! Je te jure j'ai envie de lui péter sa gueule de merde. » Sa main passa doucement sur ma hanche, j'en frissonnais. Pour le faire arrêter, j’entrelaçais nos doigts ensemble tandis qu'il continuait à fumer. Je ne fumais pas, je n'aimais pas cela mais je faisais une exception pour Mael, il était le seul à qui j'autorisais de fumer chez moi. Je souriais légèrement à sa phrase tandis que mes yeux se remplissaient de larmes, je devais arrêter ! Arrêter de pleurer pour ce mange bite comme disait Mael ! « J'ai juste besoin de toi ici.. Tu sais bien pourquoi je suis toujours avec lui, tu le sais..» J'avais fini ma phrase par des murmures tandis que les larmes commençaient à couleur sur mes joues, je me réfugiais encore plus dans les bras de mon ami. Il me fallut quelque temps pour reprendre mon calme mais je le repris, essuyant les quelques gouttes présentes sur mes joues.

Luna. P. Smith a écrit:

◭ Just To Night.

« J'ai juste besoin de toi ici.. Tu sais bien pourquoi je suis toujours avec lui, tu le sais..»

Tu as besoins de moi c'est ça ? Je suis toujours là pour t'épauler, pendant que ce connard te prise le coeur petit à petit. Il te trompe de tous les cotés, et toi tous ce que tu me répond ? Que tu l'aimes ! Bordel de merde, regarde moi ? Tu es collée contre moi là. Je sais, je sèche tes larmes souvent, je suis un bon petit pigeon. J'avais une envie que tu ailles mieux, que tu sois heureuse putain de bordel de merde. Mais Zoey, réveille toi bon sang ! Tu es MA Zoey, je ne supporte pas que l'autre salaud, te touche. T'embrasse, alors que ouais je pourrais être mieux que lui Zoey. Zoey, mais Zoey.. Putin. J'arrêtais de penser, elle commence à se coller à moi, contre moi. Sentant ses larmes couler. Putain, encore une fois elle chialer mais c'est pas possible. Encore combien de temps, se putain de battard aller la faire souffrir ? Je suis défoncé, et je m'énerve très mais très facilement.

« Tu sais..»

Je lève doucement son visage et lui sèche ses larmes. Je n'aimais pas la voir comme ça. Elle avait les yeux tellement rouge, qu'on aurait dit qu'elle avait autant fumé que moi. J'avais exactement les même, alors que moi je ne pleure pas. Comment elle fait ? L'amour c'est vraiment de la merde putain ! Ca ne fais que souffrir s'te merde. Pourquoi se poser alors ? Je regarde juste la situation de Zoey, et j'ai tous compris. Ouais, elle n'était pas heureuse, ni bien. Elle savait qu'elle se faisait tromper de tous les cotés, et elle continuait à être avec lui. Je soupire légèrement essayant de me calmer.

« Tu n'es pas belle quand tu pleures. Et puis tu vaux mieux que toutes ses petites putains qu'il se tape. Tu es trop parfaite pour lui Zoey. J'ai envie de le pendre pars les couilles et de faire un noeux avec sa petite bite de merde.»

Ouais quand j'étais défoncé je dit vraiment de la merde. Mais je le pensais vraiment. Il se tapait des petites putes, alors qu'il avait une nana parfaite dans ses bras. Pauvre connard, si je pouvais te planter, je le ferais. Normalement je devrais m'en branler de son histoire. Mais c'est Ma Zoey, la mienne merde. J'embrasse délicatement sa joue, tout en la caressant ensuite. Je plonge mon regard dans les siens.

« Il ne mérite pas tes putains de larmes Ma Belle, je te le jure Ma Puce. Si je pouvais le planter, je le ferais déjà tu sais.»

Qu'il vienne, qu'il rentre. Il méritera mon poing dans sa putain de gueule de gros PD, de sale tapette. Je n'ai jamais pu le voir. Je soupire une fois de plus et écrase doucement ma clope dans le cendrier. Je la vois encore une fois pleurer je ne sais pas ce que je pourrais faire pour lui remonter le moral. C'était Ma Zoey, et personne ne la faisait souffrir.

mael & zoey

« Tu n'es pas belle quand tu pleures. Et puis tu vaux mieux que toutes ses petites putains qu'il se tape. Tu es trop parfaite pour lui Zoey. J'ai envie de le pendre pars les couilles et de faire un noeux avec sa petite bite de merde. » Il avait tellement raison, j'étais tellement faible ! Oui, faible, c'était le mot parfait. Quelque part en moi, je voulais sauter le pas, le quitter, lui montrer que finalement, je ne lui appartenais pas, que j'étais libre mais d'un autre côté, le quitter me ferait surement autant de mal qu'à chaque découverte de tromperie. Mais je savais bien que tôt ou tard, j'allais devoir mettre fin à cela, cette tristesse presque permanente, je ne pouvais pas vivre comme ca toute ma vie, j'étais encore assez jeune pour m'éclater..« Même si tu le faisais, cela ne l'empêcherait pas de continuer à me tromper.. Merci beaucoup, je vais.. je vais y réfléchir, je suis que tu as raison mais.. c'est dur tu sais, c'est comme si je te demandais d'arrêter la drogue ! » Alors que ses lèvres se posent sur ma joue, je n'ai qu'une envie, tourner la tête mais je ne le fais pas, je ne peux pas, je ne dois pas ! Souriant un petit peu, je vais passer ma main sur sa joue gauche et viens la poser sur sa nuque tandis qu'à mon tour, je dépose un bisou sur sa joue. « Merci, merci d'être toujours là à m'écouter, me soutenir, sans toi je pense que.. » Je baissais les yeux, impossible pour moi de finir ma phrase mais il avait compris. Je me blottissais alors contre Mael, de sorte à ce que ma tête repose, à nouveau, sur son épaule tandis que ma main faisait un léger va et vient contre son dos. C'était fou ce que les mots qu'il pouvait prononcer avaient un impact sur moi, sur mon humeur, ma façon d'être. Je fermai les yeux, un petit silence s'installa mais pas le genre de silence gênant, non, un silence agréable.

« Il ne mérite pas tes putains de larmes Ma Belle, je te le jure Ma Puce. Si je pouvais le planter, je le ferais déjà tu sais. » Je ne doutais pas de la véracité de ces paroles, j'étais à vrai dire sûre et certaine que si Aaron osait se ramener là maintenant, Mael se ferait un plaisir immense de lui ouvrir et de lui régler son compte. Mais je ne voulais pas qu'il se mêle de cela, il m'était bien trop précieux bien que je doute que mon connard de mec fasse le poids contre Mael, je ne voulais pas le voir se battre, se battre pour moi. J’entrouvrais les yeux, croisant ainsi son regard, un sourire ornait mon visage. « Je ne pleurerais plus, je te le promets. Oui, je le sais mais je n'ai pas envie que tu le fasse, j'aurais trop peur qu'il t'arrive quelque chose même si les chances sont minimes, je n'ai pas envie qu'il te fasse quoique ce soit. » Je m'écartai un peu de Mael tout en gardant un certain contact en prenant sa main. « mais qu'est-ce que je ferais sans toi mon petit Mael ?» Aussitôt, je revenais dans ses bras, déjà, ses câlins me manquaient.

Luna. P. Smith a écrit:

◭ Just To Night.

« Je ne pleurerais plus, je te le promets. Oui, je le sais mais je n'ai pas envie que tu le fasse, j'aurais trop peur qu'il t'arrive quelque chose même si les chances sont minimes, je n'ai pas envie qu'il te fasse quoique ce soit. »

Elle a plutôt intérêt à ne plus pleurer, sinon je la tue sur place. je n'aime pas les promesses en l'air d'habitude. Je sais pourtant, que quand je serais partis, elle va se taper son mec une heure plus tard, elle va baiser avec lui au pieu et tous sera oublié. Le lendemain, ou le surlendemain, il va la re tromper. Et elle va pleurer une fois de plus, je suis con c'est vrai ! Mais là, je la connaissais très bien même. Mais bon, c'était devenue une routine maintenant. Je pourrais bien lui dire, ' Ouais Zoey, c'est la dernière fois que je serais là. Tu te fais prendre pour une conne et tu le sais très bien. Tu te d'emmerde maintenant Pauvre Conne ! '. Et ben non, comme un pauvre connard, je serais toujours là pour elle. Jamais je pourrais la laisser, jamais. Je ne veux pas qu'elle prenne dix kilos pars jours moi. Elle avait peur de quoi ? Que son mec de merde me fasse mal ? La blague de la soirée, jamais il n'arriverait à me toucher. Même avec dix grammes de beu dans la tête, j'arriverais à le buter s'te connard.

« C'est une promesse dans le vent mais bon, tu sais très bien que je serais toujours là Petite Conne amoureuse de merde ! »

C'est la ou elle s'écarte légèrement de moi et prend doucement ma main. Cette femme était une séductrice bordel de merde, elle était bonne. Elle était.. Zoey quoi ! Impossible, aucun mec ne pouvait lui résister ! Et cette pauvre conne n'en profite pas, alors qu'elle pouvait très bien, elle aussi tromper son connard de mec. Putain, qu'es qu'elle pouvait être conne parfois ! Qui elle pourrait se taper ? Ben.. Moi pars exemple ? J'ai dit ça vraiment pars pure hazzard hein !

« mais qu'est-ce que je ferais sans toi mon petit Mael ?»

Sérieusement ? Sans moi tu serais une merde Zoey. Qui serais là pour toi à n'importe quel heure comme quoi hein ? Je suis le seul qui arrive à rester calme parce que personnellement tous le monde veux se taper ton mec ou l'étriper tout comme moi. Bref, sans moi ? Tu te sentirais seul. Sans moi, tu prendrais quarante kilos. Sans moi.. Tu ne serais vraiment rien Ma Chère.

« Rien, tu serais rien sans moi. Tu serais une grosse vache, et laide et tu serais en dépression Pauvre Petite Conne !»

Un ricanement sort légèrement de mes lèvres. Je la colle à moi doucement, et rapproche mon visage au siens. Mon regard se plante doucement dans le siens, laissant ma respiration se mélanger avec la sienne. Ouais, cette nana m'excitait. Un peu normal quand même, elle était bonne, bien foutu même démaquiller et décoiffé quoi.

« Tu n'es qu'une pauvre conne tu sais. Tu pourrais te taper quel qu'un d'autres pour te venger. Tu es au courant de ça Zoey ? Hum.. ? »

Mes lèvres étaient à quel que centimètres des siennes. Hum, cette envie de lui bouffer ses putain de lèvres. De la prendre sur ce putain de canapé et de me la faire. Mais je ne pouvais pas, elle était complètement amoureuse de son mec à deux bal. Putain, sur ce coup là je la haïssais.

mael & zoey

« C'est une promesse dans le vent mais bon, tu sais très bien que je serais toujours là Petite Conne amoureuse de merde ! » Un sourire apparut sur mon visage, Mael et sa facon de s'exprimer, il en prenait pas de pincettes, il était franc jeu, c'était surement ce que j'aimais chez lui, son honnêteté. Je frappai légèrement son épaule, histoire d'exprimer mon mécontentement même si un énorme sourire ornait mon visage.« Fais gaffe à comment tu me parles, petit con de drogué ! » Parfois, je me disais que je devais l'écouter, mon petit Mael, suivre ses conseils et quitter Aaron, c'était surement la décision la plus mâture que j'allais jamais faire, si je la faisais mais je n'avais pas les couilles pour le faire, dans les deux sens du termes. Peut-être plus tard, je manquais cruellement de courage à ce niveau là.« Rien, tu serais rien sans moi. Tu serais une grosse vache, et laide et tu serais en dépression Pauvre Petite Conne !. » Je ne peux m'empêcher d'éclater de rire devant la spontanéité de Mael, cet homme était fou, oui, fou ! Comment osait-il me dire cela, il allait devenir en payer les conséquences ! Mais plus tard, pour le moment, ma respiration est saccadée, ses yeux sont plongés dans les miens, tandis que le doux bruit de nos respiration s'accorde à merveilles, seuls quelques petits centimètres nous séparent l'un de l'autre. Je ne peux m'empêcher de penser que c'est encore bien trop loin ! « Tu n'es qu'une pauvre conne tu sais. Tu pourrais te taper quel qu'un d'autres pour te venger. Tu es au courant de ça Zoey ? Hum.. ? » Je ne dis rien, mes yeux respirent fixés dans les siens, je sens ses mains doucement remonter le long de mon bassin tandis que je remonte les miennes dans sa chevelure. Il approche doucement mais surement ses lèvres des miennes, je n'ai qu'une envie, scellé ce baiser mais je reste immobile. Et finalement, lorsque seuls quelques petits millimètres séparent encore nos lèvres, je peux sentir son souffle, j'approche à mon tour mes lèvres. Je sens la chaleur montée tandis que nos lèvres se retrouvent l'une contre l'autre, comme si j'attendais ce moment depuis des années, des siècles. Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que la liberté, mieux que tout ce que j'avais pu ressentir auparavant ! Fini Aaron, fini les pleurs, fini les tromperies, juste le bonheur. Mes yeux se ferment tandis que je rends le baiser à Mael, mon ami, j'étais désormais fixée, je ressentais bien plus que de l'amitié à son égard. C'était comme si ce baiser m'avait enfin ouvert les yeux, oui, j'avais besoin de lui mais bien plus que d'une amitié, j'avais besoin de plus..

Et finalement, il se libéra de notre baiser, j'ouvrais doucement les yeux, revenant à la réalité. Qu'avais-je fait ? Je venais d'embrasser un autre homme qu'Aaron, comment avais-je pu ? Le pire dans tout cela ? J'avais envie de recommencer, j'avais envie de ressentir à nouveau les lèvres de Mael contre les miens, de sentir ses mains m'enserraient, me protéger. Je me sentais mal, mal d'avoir osé faire cela à Aaron et mal d'avoir aimé cela, c'était mauvais, très mauvais. Je venais de faire pareil que mon " connard " de copain, comment avais-je osé ? Je ne valais désormais pas mieux que lui, je me sentais honteuse, honteuse d'avoir apprécié ce moment. Je m'écartai de Mael, je n'osais plus le fixer.« quelle conne..» Sur ce, je levai les yeux vers cet homme, celui que je venais d'embrasser, mes yeux se posèrent sur ses lèvres, il avait des lèvres extrêmement douces, j'étais inconsciemment en train de me mordre la lèvre du bas. Je devais reprendre mes esprits mais j'étais troublée, cela m'avait totalement troublé. Sans dire un mot, je me levai du canapé et me dirigeais vers ma chambre - et non, ce n'est pas pour faire un truc cochon voyons mael ! « if you walk away I know I'll fade cause there is nobody else.. » MAEL ♥ 418230605

« if you walk away I know I'll fade cause there is nobody else.. » MAEL ♥ 418230605

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maat’

Luna. P. Smith a écrit:

◭ Just To Night.

Elle approche doucement ses lèvres contre les miennes. Je prend une grande respirations, tout en fermant les yeux. Je prolonge le baiser, putain elle l'a fais. J'y croyais plus. Putain, ses lèvres elles étaient tellement douce. Ma main caresse doucement sa chevelure, tandis que l'autre la colle contre moi. Ouais, Zoey, moi je ne suis pas un Battard, je ne pourrais jamais te faire souffrir. Sache le bordel de merde ! Je sentais la chaleur montait. Je l'avais enfin pour moi, pour ce soir en tous cas ! Pour une fois, ça faisais longtemps que je voulais l'embrassait, mais j'osais pas parce que madame était complètement dingue de son copain. Mais maintenant, je sais. Je sais que je peu toucher ses lèvres, toucher son corps. Quel que minutes plus tard, je m'enlève doucement tout en la regardant droit dans les yeux. Elle n'osait même plus me regardait. Putain qu'es que j'avais fais une fois de plus ? J'embrasse mal ? Non impossible toutes les nanas me disent à chaque fois que j'embrasse comme un dieu, et c'était la même chose au pieu. Je sentais, qu'elle se sentait honteuse. Putain, non Zoey ! Ne me fais pas ça bordel de merde !

« quelle conne..»

Elle se lève doucement pour allait vers sa chambre. Je reste sur le cul là, qu'es qu'il lui prend là ? C'est elle qui m'a embrassait ! Elle devait en avoir envie nan ? Putain mais Zoey ! Arrête de penser à lui une seule seconde là. Je reste là, comme un pauvre con. Putain, jamais je me suis sentit dans cette situation. Jamais une seule nana, se barrait ou me foutais un putain de vend. Non, je ne veux pas la baiser, mais juste être avec elle pour la soirée merde ! Je me lève tout en la cherchant du regard.

« Bordel ! Tu te fou de ma gueule là Zoey ? Il faut savoir ce que tu veux.»

Je rentre dans sa chambre, en la voyant là, couchée sur son lit. Elle devait être paumée, ça se voyait. Putain, son gars ne se dérange pas de la tromper de tous les cotés, elle, elle embrasse juste un mec, et là elle veux limite se pendre, ou passer de l'autre coté de la fenêtre. Ca me met hors de moi ça. Putain, l'amour c'est vraiment de la grosse merde ! Je me place à califourchon sur elle, rien à foutre, qu'elle me rejette de m'en branle totalement. Je bloque doucement ses bras pour qu'elle ne puisse bouger. Et la regarde.

«Regarde moi ! Qu'es qu'il te prend ? Tes obligé de penser à s'te connard ! Putain, mais Zoey réveille toi bordel de merde.»

Mon visage s'approchait du sien de plus en plus. Je m'empare de ses lèvres pour la faire taire. Pour lui montrer, qu'elle devait se secouer, bouger je ne sais pas moi. Je me retire légèrement tout en soupirant. Je lâche doucement ses poignets et me retire pour me mettre assise sur son lit, tout en m'allumant une clope.

« Je ne te comprend pas. Je me barre.»

Je me lève doucement tout en la regardant, et en espérant qu'elle me retienne.

mael & zoey

« Bordel ! Tu te fou de ma gueule là Zoey ? Il faut savoir ce que tu veux. » Il semblait en colère, qui ne le serait pas ? Je venais de l'embrasser et était partie sans rien dire, quelle idiote ! Je ne répondis pas mais ses paroles me heurtèrent, il avait raison, je devais faire face à mes actes. Je m'en voulais d'avoir fait cela mais le pire, c'est que j'avais adoré cela et que je n'avais qu'une seule envie, le réembrasser encore et encore. Je suis là, comme une idiote, couchée dans mon lit, en position foetus, une main sous mon oreiller, l'autre contre ma joue comme quand j'étais petite et triste. Je regardais dans le vide, perdue dans mes pensées. Je ne savais quoi penser, je m'en voulais mais d'un autre côté, ce n'était qu'un baiser, ce qu'Aaron me faisait était bien pire. Un bruit de pas dans ma chambre me fit sortir de mes pensées. Je ne sais quoi faire ni que dire, il s'approche alors et se place à califourchon sur moi, je me débats, tout en évitant son regard. Bien évidemment, je suis en mauvaise posture, il me prend les bras, les plaque contre le matelas et les maintient, je lève alors la tête, nos regards se croisent, je peux lire de la colère mais malgré cela, je ne peux empêcher mon coeur de s'emballer. Quel visage d'ange, mon regard s'attarde sur ses lèvres, si douces.. Le baiser que j'avais eu avec lui était quelque chose de nouveau pour moi, il embrassait très bien, c'était tout à fait différent de mes baisers avec Aaron. Embrasser Mael me semblait être quelque chose de doux, de naturel tandis qu'avec Aaron, c'était plus forcé, violent, c'était tout à fait différent.« Regarde moi ! Qu'es qu'il te prend ? Tes obligé de penser à s'te connard ! Putain, mais Zoey réveille toi bordel de merde. »

« Mael, je..» Je relève alors les yeux, je le fixe, je n'ai pas le temps de continuer ma phrase que déjà, ses lèvres se posent contre les miennes, du bonheur à l'état pur. Ses paroles se répètent néanmoins dans ma tête, réveille-toi Zoey, réveille toi ! Je sens des papillons au ventre, encore une fois, c'était si agréable mais déjà, je sens ses lèvres quitter les miennes. J'aurais voulu mettre mes mains sur sa tête, l'empêcher de partir, lui dire ce qu'il me faisait, que je ne voulais pas qu'il parte. S'il te plait Mael, ne pars pas, reste, je t'en supplie. Il lâche alors mes poignets, s'écarte tout en soupirant. Je reste là, allongée, sans rien dire mais bouge toi Zoey ! « Je ne te comprend pas. Je me barre. » Je reste quelques secondes statiques tandis qu'il quitte ma chambre et c'est à ce moment là que cela me frappe, lorsque je ne peux plus apercevoir l'ombre de son corps, je ne veux pas qu'il parte. Je ne veux pas me retrouver seule, j'ai besoin de lui, de sentir ses lèvres contre les miennes, de sentir mon coeur s'emballer, j'ai besoin de sa présence. Je me lève alors de mon lit et me mets à courir jusqu'au salon, sa main est posée sur la clinche de la porte, il est toujours là. « Mael, me quitte pas, je t'en supplie !» Je me dirige vers lui, le tourne et me glisse dans ses bras tandis que je lève ma tête, embrasse-le, embrasse-le Zoey ! Fais-le, tu en as envie. Et pour la première fois depuis bien longtemps, je fis ce dont j'avais envie, embrasser Mael ! Je quitter alors ses lèvres. « J'ai besoin de toi mon Mael, ne pars pas s'il te plait.. » Sur ce, je referme la porte d'entrée qu'il avait commencé à ouvrir et joins à nouveau mes lèvres aux siennes, je ferme les yeux et noue mes bras autour de son cou, je suis à présent sur la pointe des pieds, je ne devrais pas tarder à avoir mal aux orteils mais je m'en fous, tout ce qui compte à ce moment là est Mael. Je prolonge le baiser, tandis que je recule vers le canapé. Nos langues se lient alors et mon coeur fait un bond ! Au fond, je savais que je rêvais de ce moment depuis bien trop longtemps. Perdue dans notre baiser, je continue à reculer, tombant avec Mael dans le canapé, j’entrouvre alors les yeux, brisant le baiser, un grand sourire sur mon visage, je murmure. « Quel sort m'avez-vous lancé monsieur Kaynes ? » Et pour la première fois de la soirée, mais pensées ne vont pas à Aaron mais à Maël, je souris tout en plongeant mon regard dans celui du jeune homme.

◭ Just To Night.

Quand je commence à ouvrir cette putain de porte, pour partir, de chez elle. J'entends une voix au loin. « Mael, me quitte pas, je t'en supplie !». Je reste sous le choque de sa phrase. Putain, elle me supplie de partir ? Alors que c'est elle, limite qui m'a rejeté tel un pauvre connard ? Elle se fou vraiment de ma gueule. Ben qu'elle se foute bien à genou devant moi alors. J'essaye de tous faire pour elle, mais vraiment tous. Pour qu'elle soit mieux, pour qu'elle ne pleure plus, pour qu'elle ne souffre plus. Mais c'est pas en restant avec un gros connard pareil qu'elle ira mieux. Elle ne le comprendra jamais ça. Putain, l'amour c'est moi qui vous le dit c'est vraiment de la merde. Ca ne rime à que dal ! Au final, on se ramasse tous la gueule, et à pleurer ou souffrir comme des moins que rien. Rien d'y penser à ça, je suis très bien seul. Même si la solitude m'envahissait de plus en plus, je m'en branle complètement. C'est là ou elle court vers moi pour se foutre dans mes bras, elle me regarde. Qu'es qu'elle me veux ? C'est là, ou je m'y attendais vraiment mais pas du tous, qu'elle s'empare de mes lèvres. Je ferme doucement les yeux tout en prolongeant le baiser, mais sans bouger. C'était fini le Maël adorable et gentil, je ne suis pas un pigeon de base, là bien beau à faire plaisir. Non. Ouais, si tu veux que je sois comme ça ok, mais ne me rejette pas putain, c'est la base quand même ! « J'ai besoin de toi mon Mael, ne pars pas s'il te plait.. » Je soupire légèrement, tout en essayant de répondre, mais je n'avais même pas eu le temps. Car la demoiselle s'empare une fois de plus de mes lèvres et ferme doucement la porte derrière elle. Putain, elle le savait. Elle le savait très bien que jamais je ne pourrais la laisser. Elle comptait trop pour moi. Elle place doucement mes bras à mon cou tout en marchant. Je prolonge le baiser avec douceur, mais avec un peu plus de sensualité, et on commence à se ramasser sur le canapé. On était vraiment, mais vraiment pas du tous doué elle et moi. Peut être qu'au pieu ça pourrait changer ? Je souris sur ces lèvres, rien que d'y penser. Elle met fin au baiser, tout en plongeant son regard sur le miens. Elle était sur moi, mes mains se place doucement sur ses hanches. « Quel sort m'avez-vous lancé monsieur Kaynes ? » Un ricanement sors doucement de mes lèvres. « Mademoiselle Hermès devrait le savoir. » Je lui sourit bêtement et m'empare de ses lèvres tout en me mettant assis, et en la laissant se foutre sur moi. J'arrête le baiser quel que seconde et la regarde droit dans les yeux. « Je vais m'occuper de vous, comme jamais un mec ne l'a fais. » Je m'empare une fois de plus de ses lèvres, mais plus sauvagement, tout en me levant, je place mes mains sous ses bonnes fesses pour la tenir, pendant qu'elle mettait ses jambes autour de ma taille. Putain, j'avais envie de la prendre la maintenant, mais je me retiens. Je ne suis pas un salaud de première, non, retiens toi maël ! Je tourne doucement autour de moi même puis je rompe le baiser. « C'est plutôt à moi de vous demander, ce que vous voulez ? » Je lui souris une seconde fois, elle était toute légèrement, même pas lourde. Je plonge de plus en plus mon regard dans le siens, tout en restant silencieux.

mael & zoey

Je me sentais si bien, ses bras posées sur mes hanches tandis que mes lèvres se collaient, à nouveau, aux siennes. Mon coeur battait à tout rompre, une sensation nouvelle apparaissait en moi, jamais je n'avais ressenti cela, avec personne, c'était très agréable comme sensation.« Mademoiselle Hermès devrait le savoir. » Je souriais alors que nos lèvres étaient à nouveau ensemble. Il s'assied, je me noue à nouveau mes mains autour de son cou, intensifiant dès lors le baiser tandis qu'une de mes mains se plaçait dans ses cheveux. Il rompt alors le baiser et me regarde droit dans les yeux, je n'avais jamais remarqué qu'il avait de si beaux yeux, j'étais tellement à fond dans Aaron que je n'avais jamais fait attention à quel point Mael était un beau garçon, certes, je savais bien qu'il avait du charme mais pas à ce point là. « Je vais m'occuper de vous, comme jamais un mec ne l'a fais. » Je ne peux m'empêcher de rire doucement tandis que mes joues sont en feu, cela faisait bien longtemps que je n'avais plus rougi comme cela. Je passe légèrement ma main sur sa joue, tandis que je rapproche mon corps du sien, je me mords la lèvre tout en contemplant Mael, était-ce possible d'être aussi sexy ? Je suis sortie de mes pensées par un nouveau baiser, cette fois, beaucoup plus sauvage, mon coeur fait un bond tandis que ses mains se placent sur mes fesses, il se lève et j'enroule alors mes jambes autour de ses hanches. Mael tourne alors sur lui, je souris tout en ayant mes lèvres toujours contre les siennes.« C'est plutôt à moi de vous demander, ce que vous voulez ? » Un sourire apparait à nouveau sur mon visage, j'approche alors mes lèvres vers son cou, un peu en dessous de son oreille, j'y dépose un doux baiser et murmure alors sensuellement. « Je ne suis pas bien difficile vous savez.. Je suis même certaine que vous savez déjà ce que je veux..» Je m'écarte alors et forme le mot " MAEL " avec mes lèvres, sans le prononcer à haute voix. Je fais glisser mes mains contre son t-shirt, une fois arrivée au niveau de la ceinture, j'entoure mon bras gauche autour de ses hanches et défais à l'aide de mon unique main libre la ceinture du jeune homme. Un sourire coquin apparaît sur mon visage tandis que je remonte mon visage, liant mes lèvres à celle du beau Mael, cette fois-ci, je laisse nos langues se toucher, se lier, se délier tout en faisant passer ma main droite sous le t-shirt du jeune homme. Je pouvais sentir ses plaquettes de chocolat, sa peau douce, j'en frissonnais d'envie. Je romps alors le baiser, retire ma main. « Finalement, j'ai changé d'avis, je m'en vais dans ma chambre, ce fut un plaisir monsieur..» Sur ce, je pose mes pieds au sol et me dirige vers ma chambre, sans me retourner, un grand sourire sur mes lèvres. Arrivée dans ma chambre, je me cache derrière la porte, espérant qu'il n'avait pas pris au sérieux mes paroles. Je n'entends rien, rien du tout. Finalement, des bruits de pas me parviennent, je vois son ombre s'approcher, enfin, lorsqu'il est dans la chambre, je ferme la porte et entoure ses hanches de mes bras, me collant contre lui. L'obligeant à se retourner, je fixe ses lèvres quelques centièmes de secondes avant d'y déposer les miennes, la puissance à laquelle je l'embrasse le fait tituber et nous tombons sur mon lit. Nous nous regardons quelques secondes et je finis par embrasser son cou et remonter jusqu'à ses lèvres tandis que mes mains descendent, pour la deuxième fois, contre son t-shirt, elles se glissent sous celui-ci et remontent de sorte à ce que Mael se retrouve torse nu. J'admire ce magnifique torse musclé, bronzé tout en me mordillant les lèvres de plaisir. Je jouais avec le feu pour sûr mais c'était tellement tentant. Après tout, je n'étais pas la première à tromper l'autre. Ecartant de mes pensées mon petit copain, je plongeais mes yeux dans celui de mon amant d'un soir, Mael. Mon ami, lui qui était toujours là pour moi, peu importe ce qu'il avait de prévu, un simple sms et il arrivait. Comment avais-je pu ne pas tomber sous son charme avant ? Il était tellement beau, mince, musclé, bronzé, un visage d'ange, un douceur incomparable, le simple fait de sentir ses mains contre mon corps me faisait frissonner d'envie, de plaisir, j'avais envie de lui. Ses baisers étaient autre chose que ceux que j'avais pu connaître auparavant, doux, sensuels, excitant, pleins de passions, juste merveilleux.