La journée venait à peine de commencer, j’étais pas mal fatiguée. J’ai fais la fête toute la nuit alors que je travaillais tôt le lendemain. Sa m’apprendra à faire du grand n’importe quoi. Quoi qu’il en soit, j’ai grand hâte que ma journée se termine. C’est donc avec courage que je m’extrais du lit tout en éteignant le réveil de mon téléphone qui n’avait pas manqué à me réveiller, malheureusement. Je me met à bailler, posant ma main devant ma bouche puis je dirige dans la salle de bain afin de prendre une bonne douche froide qui me réveillera sans doute un petit peu plus. Une dizaine de minutes après, je me sèche et enfile mes vêtements de la journée. Une robe bien moulante et qui met en valeur mes quelques formes. Puis j’attrape mon sèche-cheveux pour sécher mes cheveux, comme son nom l’indique. Après ça, j’ajoute un genre de spray qui les rend ondulés avant de les attacher d’un gros chignon assez jolie que j’ai l’habitude de faire. Ça met en valeur les formes rondes de mon petit visage, j’adore mettre tout en valeur. Il faut avouer que je suis tout de même assez sexy. Deux petites minutes ensuite, une fois que je suis prête j’attrape une pomme verte, tout en attrapant mon téléphone qui se trouvait sur la table du salon ainsi que mon sac à main pour me diriger sur mon lieu de travail. J’ai tout de même quelques cernes sous les yeux, mais heureusement tout ça est masqué grâce à mon jolie fond de tain ainsi que le fard à paupière, mascara et tout ce qui s’en suit. Un truc qui rend parfaitement bien en fin de compte. Il fait super beau aujourd’hui, alors je mis mes lunettes de soleil. Me voilà au travaille, la journée risque de paraître longue. Alors qu’il y avait très peu de clients je reçu un appel, en tant que bonne responsable je ne pouvais pas non plus me permettre de répondre à mon téléphone personnel même si l’envie fut énorme lorsque je vis le nom d’Aaron apparaître sur mon écran tactile. Je me mis à sourire. « Tu peux me remplacer deux petites minutes le temps que j’aille boire un verre ? » demandais-je à mon employé. Par tout hasard il n’y avait pas de bouteilles d’eau présente vers nous, mais ceci était une excuse pour pouvoir écouter mon message vocal. Il arrivait, je suis devenue très enthousiaste. Je ne pris pas le temps de répondre car il sait très bien qu’à n’importe quel moment je serais là pour lui. Je retourne donc travailler.
Les 45 minutes passent et je vis l’homme que j’apprécie le plus au monde entrée dans mon hôtel. Mon sourire s’élargit et je me mordis la lèvre inférieur. Il se dirige à la chambre tandis que moi je m’occupais de mes derniers clients. Je n’avais qu’une seule hâte, m’extraire de mon boulot pendant quelques heures pour retrouver la douceur de ses deux bras musclés. Je m’occupe du dernier client qui est complètement chiant. Dix minutes plus tard, je m’éclipse une nouvelle fois laissant tout le boulot à mon employé que je devrais payer le double à sa prochaine paye. J’entre dans la chambre et je fus très vite accueillis par le jeune garçon. On a pour habitude de nous retrouver dans cette chambre immense et très luxueuse qui est à mon nom bien évidemment. Aaron avait la clef et moi le double. Aucun autre homme entrer dans cette pièce. Je viens me blottir dans ses bras lorsqu’il prononça mon prénom. Je fermais les yeux quelques instants lorsqu’il me serra très fort contre lui. J’appréciais ce moment, c’est si magique ! « Tu m’as manqué aussi mon petit cœur. » dis-je à mon tour tout en me desserrant légèrement de lui pour poser mes yeux dans les siens. Mon petit cœur est un petit surnom que je lui donne, car en réalité nous ne sommes pas ensemble. Il a une copine d’ailleurs … En temps normal je suis plutôt une fille bien qui ne veut pas être la cause des cassures dans un couple, mais là c’est différent. Il dépose un baiser sur ma joue, je me mord légèrement la lèvre tout en fermant une seconde fois mes yeux. Son odeur si intense me faisait du bien. Je suis toute excitée rien qu’a l’idée d’imaginer son corps contre le mien. Je me retire de lui afin d’aller verrouiller la porte pour qu’on ne soit pas embêter. Je me rapproche de lui en lui déposant de nombreux baisers dans le cou.

En me réveillant ce matin, j’aurais plutôt imaginé cette journée comme « chiante ». En toute honnêteté je ne pensais pas revoir Aaron d’aussitôt et vous ne pouvez même pas imaginer comment ça me fais du bien de le revoir, de pouvoir plonger mes yeux dans les siens, de me sentir une autre, d’avoir l’impression d’être protégé du monde dans ses bras, comme si rien ne pouvait m’atteindre. Je n’ai aucune idée de ce que veux représenter ce genre de sentiment, mais ce qui est sur c’est cas présent j’aurais vraiment du mal à me séparer de lui s’il venait à ne plus s’amuser avec d’autres filles que Zooey. Aaron ne me parle pas plus que ça de ses histoires d’amours et en réalité, je ne préfère rien savoir enfin … sauf s’il me dit qu’il est célibataire, là je veux bien l’écouter. Pour ma part, il ne sait quasiment rien de moi et je crois ne lui avoir encore jamais dit que j’avais une petite fille de quatre ans et demi. Je me demande comment il le prendrait. Quoi qu’il en soit, je n’ai aucune envie de gâcher ce moment avec lui. J’ai moi-même besoin de réconfort et ce n’est pas en lui dévoilant l’existence de ma progéniture que ça va être pareille. En tout cas c’est ce que je pense. Dans tous les cas, je n’ai pas la garde de ma fille, il me trouve trop … décalé. Oui, il me prenne genre pour une folle. Ce que je suis légèrement, mais à quelques limites près tout de même. « Je trouve que cette robe te va réellement bien, elle te fait des hanches qu’on aurait presque envie de manger… » me dit-il tout en matant mes fesses assez bien formés. Un atout de plus, comme mes jolies mèches blondes et mes hanches de diablesse. Il a cette façon de me regarder, j’ai l’impression de n’être que sienne durant le temps de sa présence et ça me réchauffe le cœur vraiment beaucoup. Comme si quelque chose nous unissait, mais quoi ? Surement la tentation. A chaque fois il cède, il vient me voir dans l’espoir de pouvoir me toucher, de poser une main sur ma jolie poitrine ou bien tout simplement sur mon corps tout entier. Parfois on reste toute une journée dans ce lit, juste pour qu’il me touche sans rien faire de plus. « T’es chou mon bichon. Tu me complimentes sans arrêt, crois-tu que si j’étais une clocharde du coin de rue tu me relookerais de cette même façon ? » demandais-je tout en le fixant droit dans les yeux en revenant à lui après avoir verrouiller la porte. Je suis liée avec ce bonhomme, c’est fou comme je ne peux plus vraiment me passer de lui. Je ne sais pas de quoi est fait demain, mais j’espère sincèrement que je serais encore près de lui ce jour-là. J’ai toujours été attiré par les hommes et d’ailleurs, je suis encore amoureuse de Jackson. Enfin amoureuse n’est pas vraiment le mot étant donné les circonstances, mais disons que j’ai encore des sentiments pour cet homme qui est tout de même le père de ma princesse, Lucy. Je me colle contre lui tout en lui déposant de innombrables baisers dans le cou, plus sensuelle les uns que les autres. « Mon cœur… » soufflait-il légèrement. J’ouvre les yeux pour les plonger dans les siens, il se décide enfin à me plaquer contre le mur. La tension monte encore plus, je sens cette robe me coller à la peau tellement la chaleur devient insoutenable. Ce mot venait presque de m’électrocuter, un coup de pression, enfin inexplicable cette sensation. Il ne manque pas de m’embrasser avec fougue, des baisers qui m’avait terriblement manqué durant ces derniers jours. Aaron est quelqu’un de vraiment parfait, même si je déteste son côté infidèle, car quand on aime on ne trompe pas. Mais malgré tout, je l’aimais vraiment beaucoup et j’aurais du mal à me défaire de sa gentillesse et de ses petites attentions. Je le laisse me porter comme il le faisait tout en lui soufflant quelques mots à l’oreille. « Je crois que j’ai envie de toi … » terminais-je tout en passant mes deux mains dans ses cheveux, toujours plaqué contre le mur. Je m’avance légèrement tout en le poussant d’une allure torride dans ce lit où nous avons déjà fait plusieurs débats doux et romantique.

Mes sentiments sont pas mal partagés en ce moment, entre lui et Jackson. Aaron est quelqu’un de bien, attachant, sensuel, doux et très romantique avec moi. La façon dont il prononce « Mon cœur » me rendait complètement folle. Folle plutôt dans le bien, évidemment. Je ne peux pas me dire que ces mots là je ne les entendraient plus un jour. Je sais que cet homme j’en ai besoin, il est ma dose de la journée. En faite, je crois qu’il est devenue ma nouvelle drogue et en toute sincérité pas que sexuellement. Car il a tout de même d’autres atouts ce beau brun. Il a certaines manières qui font que je ne peux plus m’en passer. Mais est-ce que si je venais à avoir une histoire amoureuse avec lui, ça serait pareille ? Je n’en ai aucune idée et c’est bien ça qui me fait peur. Quant à Jackson c’est vraiment différent. Je le connais depuis très longtemps et je lui ai fais beaucoup de mal. Je m’en veux beaucoup, mais peut-être pas assez. Ce qui est sur c’est que j’ai toujours ressentit quelque chose pour lui. Son odeur le matin quand je me réveillant, la douceur de ses deux bras musclés, son regard posé sur moi. Des choses qui me font rêver. Avec Aaron c’est aussi un peu le cas, mais comme je l’ai dit, c’est différent et tellement compliquer. J’ai déjà eu une histoire avec Jackson et ça c’est plutôt mal terminée. Ce qui me pousse aussi à aller vers lui, c’est notre fille. Il est le père de Lucy et ça, je ne pourrais jamais en démentir. Quand je récupérerais la garde de ma princesse les choses entre lui et moi vont sans doute changer. Mais au point d’avoir une nouvelle histoire ? Aucune idée et en tout cas, ça ne sera pas d’aussitôt. La il est plutôt préférable de penser à mon histoire avec Aaron.
Nous étions dans cet hôtel, mon hôtel, celui dont je suis responsable et que je dois gérer coute que coute, la preuve. J’ai de très bon employé et si vraiment il y a un problème à la réception Gwendoline me biperait sans plus attendre. Mais là, aucune question de quitter les lieux. Je m’empresse de m’évader dans ses bras. Le sourire aux lèvres, j’approche ma bouche tout près de son cou pour lui dévoiler la douceur des mes petites lèvres avant de lui adresser quelques mots après ces compliments qu’il ne cessait jamais de me faire. « Mon bichon ? Est-ce que j’ai l’air d’un petit chien tout frisé ? A ce que je sache, mes cheveux sont plutôt lisse… » terminait-il par me dire. Je me mis à rire légèrement, il est drôle et j’adore les mecs drôle. Raison de plus pour que je m’attache à sa belle poire. Il se rapproche assez doucement de moi, avant de sentir son corps venir se coller un peu plus contre moi. Il me prit dans ses bras avec tendresse. Je dépose délicatement ma tête sur son épaule. Un réconfort, j’en ai vraiment besoin. « Des femmes comme toi, il y en a peut-être une sur des milliards, alors oui, je t’aurais prise dans la rue et relookée comme ça tu serais devenue une bombe comme les mannequins de Victoria Secret ! » expliquait-il à sa façon. J’adorais ses analyses, je l’apprécie vraiment. J’étais loin d’être une mannequin, mais pour lui c’est tout le contraire. Lorsqu’il me complimente, j’ai l’impression d’être la plus jolie sur cette terre. Cela me fait beaucoup de bien, mais j’imagine qu’il me ment. Sinon il ne serait pas avec Zooey qui est certainement assez jolie. Je le regarde droit dans les yeux tout en lui souriant. « Victoria Secret ! Je ne suis rien à coter d’elle mon mignon. Tu sais … je suis juste moi-même. C’est ma mère que tu devrais remercier pour avoir créer une aussi belle créature que moi. » dis-je tout en le fixant un peu plus intensément dans le yeux. Petite pensée pour ma maman qui nous a quitter il y a fort longtemps à présent mais à qui je pense sans arrêt. J’approche mes lèvres délicatement aux siennes, avant de lui donner un de mes plus beaux baisers. Un moment particulier et que je n’avais pas envie qu’il s’arrête. En me collant tout près de lui, j’eus l’envie d’aller encore plus loin avec lui, comme tout le temps. Alors je lui fis savoir mon envie tout en déposant mes mains autour de son cou. « T’as pas à t’en faire, c’est réciproque… » me répondit-il. Raison de plus pour que l’envie me prenne d’un coup. Je le pousse délicatement sur le lit où nous avions l’habitude de faire nos débats et je me rapproche de lui jusqu’à ce qu’il commence à m’attraper pour que je viennes sur lui. Je m’assoie à califourchon, collant encore nos corps ensemble. J’ai l’impression qu’il n’y a plus rien autour de nous. Seules dans ce monde. Un réel bonheur. Je sentis ma robe me desserrer, il vient à peine d’ouvrir la fermeture éclaire. C’est mains viennent caresser mes cuisses, je le laissa retirer ma robe avec tendresse. J’ai envie de lui, là, maintenant, tout de suite. On ne peut plus reculer. « Tu es parfaite Cally… » me dit-il tout en admirant ma jolie silhouette fine et sans graisse. Il aimait mon corps et ça me rendait dingue de lui. En tout cas, tout est réciproque. J’avais envie de lui susurré des mots qu’on dit à son amoureux, mais je n’en avais pas le droit. J’aurais trop peur de le perdre, qu’il s’éloigne. Je ne suis pas amoureuse, je ne pense pas en tout cas. En faite, j’en sais trop rien. Je me baisse légèrement afin que ma poitrine colle son torse et je me frottais légèrement contre lui tout en déposant des baisers un peu partout sur son visage. Je me redresse légèrement, Aaron en fit autant pour déposer ses lèvres sur mes seins ainsi qu’au creux de mon cou. « Aaron … » soufflais-je avec un brin d’excitation. Plus rien ne pouvait m’arrêter, cette diablesse qui est en moi est enfin de sortie et pendant un bon bout de temps. Je le laisse me toucher, la douceur de ses mains me donnaient des frissons. C’est quelque chose d’agréable et d’indescriptible. Je fermes les yeux avant de passer mes mains dans le bas de son dos et de lui retire délicatement son tee-shirt. Je voulais vraiment que nos corps se touchent par le biais de nos peaux. Et cette chose arriva tout juste après que son tee-shirt se retrouvait sur le sol. Je serrais mes mains dans son dos. Je ne dois pas lui laisser de marque, alors je me contente simplement de presser les omoplates de son corps musclés.

Je ne sais pas quoi faire actuellement concernant mes sentiments. Bon en toute honnêteté il n’y a encore rien de concret, enfin je ne suis ni amoureuse de Aaron ni de Jackson. Non, loin de là. Avec Aaron on partage simplement du bon temps, du bon temps qui nous couteras chère mais qu’on aime partager tout de même malgré les conséquences. Zooey est une fille bien, elle est une très bonne amie à moi et je sais qu’elle m’en voudra énormément le jour elle va apprendre que j’ai eu de nombreux rapports sexuels avec son petit ami datant de huit ans déjà. Je ne sais pas comment elle réagirais, mais je sais qu’elle le prendrait mal puisqu’après tout je suis une amie et qu’une amie ça ne fait pas ça. Je m’en voulais légèrement, mais d’un autre côté pas vraiment. Aaron en avait envie autant que moi et dans cette histoire, Aaron a également sa part de responsabilité et lorsqu’on fait une erreur il faut en assumer les conséquences ensuite. Chose que je ferais volontiers même si moi-même je serais dégouter de savoir que mon amie se tapait mon petit copain presque sous mes yeux. Imaginez, un jour j’arrive chez eux - oui, car ils habitent ensemble - et je parle avec les deux comme si rien ne s’était passé. Tandis que la petite amie concernée serait super heureuse d’être réunis avec ceux qu’elle aime sans savoir que ces deux là vivent quelque chose en dehors de ses beaux yeux. Je trouve ça à la fois excitant, mais louche.
Bref, pour l’instant j’avais autre chose à penser que ma petite Zooey. Je suis actuellement en plein rapport avec un homme super canon, avec un corps de rêve qu’on ne voit pas souvent - bon d’un coter si, dans cette ville il y en a des tonnes de mecs musclés - et là il m’exciter plus intensément comme jamais il ne l’avait fait. Nos rapports se déroule très rapidement. Au début ont mettaient des préservatifs, et oui il nous faut des précautions quand même. Sauf qu’au bout d’un certain temps, ont en avait marre on voulait connaître autre chose et on s’est décidé à retirer le préservatif. Maintenant nos rapports ne sont plus protégés, enfin quoi que je prend tout de même la pilule aucun problème là-dessus. Et puis, je n’aimerais pas me retrouver en cloque une deuxième fois. Non merci. Donc là-dessus, je faisais très attention. Il se mit à me sourire avant de se mettre à genou devant moi, un homme ne m’as jamais fais ça. Je le regarde tout en rigolant et en le fixant dans les yeux pour écouter ce qu’il allait me dire lorsqu’il se lança. « Merci chère maman de Calliope pour lui avoir donné ce corps de déesse grecque, vous devriez être canonisée à votre mort et être élevée au rang de sainte faiseuse d’enfants parfaits ! » Je me mis à ricaner. Il me plaisait beaucoup et j’adorais son petit humour qui pouvait être parfois un peu trop bidon, mais j’adorais quand même. Il se redresse pour me regarder avant de continuer. « Ça te convient comme remerciement ? J’ai l’impression que c’est un tout petit peu trop… » Deuxième sourire, je le regarde tendrement avant de passer mes deux bras autour de son cou. Je le fixe intensément. Il m’a charmée, mais alors complètement et il a du s’en rendre vraiment compte. Dès à présent, je savais que ce moment serait inoubliable. « Pas du tout, je trouve même que ce n’était pas assez … » concluais-je avant de lui tirer la langue tout en rigolant. Evidemment c’était de l’humour. Toute nos journées passés ensemble se sont basés sur des compliments par rapport à mon corps de déesse ou bien même simplement par moi-même. J’aime qu’on me complimente, même si ce n’est que de la comédie j’adorais et Aaron le sait très bien. En même temps, ce beau brun sait tout sur les femmes.
On allait commencer le débat, ce qu’on faisait la plupart du temps qu’on se voyaient. Une sensation intense et provocante qui me manque tant parfois. J’ai parfois besoin de ce moment dans ma semaine sinon, j’aurais très vite du mal à passer une bonne journée. J’ai envie de lui comme lui il a envie de moi. Je le ressentais et de toute façon il ne perdit pas de temps à me le faire savoir. « J’ai jamais eu autant envie de toi Cally… » me dit-il. Entre temps, Aaron avait prit l’initiative de retirer son jean. Je me mordis la lèvres en apercevant un peu plus son corps tout entier. Il ne manquait plus qu’une seule chose pour que je sois à nouveau au paradis. Il en profita pour retirer mon soutien gorge. Je fermais les yeux tout en le laissant effleuré mes épaules avec ses doigts. Lorsque j’ouvris les yeux j’apercevais mon corps presque nue. Il me retourna de suite à fin qu’il se retrouve sur moi. Je déposa des tendres baisers le long de son cou avant de passer mes mains sur ses hanches délicatement en descendant tout doucement vers ses fesses afin de saisir le bout de son caleçon pour le retirer. Il ne pouvait plus reculer à présent. Je colle mon corps à nouveau contre le sien tout en passant mes mains dans son dos, en les agrippant légèrement. « Fais-moi rêver … » soufflais-je délicatement dans le creux de son cou avant de poser mes yeux étincelants dans les siens. Je suis charmée, mais alors complètement envouté par sa jolie face d’ange. Je me contente de le regarder tout en retirant mon string à l’aide d’une de mes mains tout en l’embrassant fougueusement et avec passion.

Ma vie c’est toujours résumé à une belle défaite. Tout d’abord mon enfance. Vous ne pouvez même pas imaginer à quel point c’est horrible de venir d’une famille mafieuse d’Italie, les Vicente. J’ai eu pas mal de souci durant mon enfance à me faire embêter par les enfants d’autres mafieux. Genre les débats s’était : « Mon papa il va tuer le tiens. C’est le meilleur. » patati et patata. Enfin voilà le genre de discussion que j’avais quand j’étais petite. Ca n’avait pas que du bon. Et puis, ensuite plus je grandissais et plus mon père devenait méchant avec moi et ça, je n’ai jamais compris. Il a commencé à me frapper, à me foutre des claques alors que je n’avais rien fait. Cela était le pire je crois. Je veux bien prendre une gifle si j’ai fais une bêtise, mais lorsque je n’ai commis aucun acte je ne voyais pas l’intérêt. Bref, je n’ai jamais compris pourquoi. Ensuite il y a eu cette fameuse histoire avec Jackson. Je l’aimais, on s’aimait, j’ai vraiment craqué pour lui … seulement mon frère s’était fourré dans une sacrée affaire dont Jack faisait également partie. Pour éviter la prison à perpétuité pour mon frère j’ai dû dénoncé les trafiquants de drogue. Malheureusement, ce jour-là il était là et il a été envoyé en prison à la place de mon frère pendant presque un an et demi. Je m’en suis voulue à un point inimaginable et en toute honnêteté je m’en veux toujours. Cela m’a permit de me rapprocher encore plus de mon frangin que je ne l’étais déjà. Puis j’ai fuis mon père en faisant croire à ma mort, j’étais enceinte en plus. Le pire c’est que c’est mon ancienne meilleure amie qui en est décédé. Les policiers n’ont jamais vraiment chercher qui s’était car cela faisait un mois que j’étais portée disparu, pour eux c’était claire et net. De plus, le corps était carbonisé alors rien de concret pouvait nous faire dire que c’était moi, mise à part une pièce d’identité que j’avais perdu. Bref, ma vie est un lourd fardeaux que j’arrive à supporter. Alors il est évident qu’avec Aaron sa va foirer à un moment ou l’autre … et pourtant, dieu seul sait à quelle point ce n’est pas mon envie du moment et encore moins pour les quelques mois voir années à venir.
Aaron se mit à me parler, à me disputer enfin ce n’était pas vraiment le mot mais disons que ça ferait l’affaire. « Pas assez ?! » me dit-il en ricanant. Oui, ce n’était pas assez pour me faire encore plus craquée ! Mais non gogole, c’est juste parfait. Il a cette façon de me parler, j’appréciais vraiment. J’ai l’impression d’être très bien entretenue avec lui, d’être une fille bien et attachante. Finalement je suis peut-être ce genre de femmes. « Et me montre pas ta langue de cette façon-là sinon je la mange ! » me dit-il à nouveau. Je mis à ricaner tout en l’entourant de mes deux bras. Son humour est si débile, mais qu’Est-ce que j’adore quand il me sort des trucs futiles comme ça. Je ne sais pas pourquoi il me fait autant d’effet mais quoi qu’il arrive c’est certain que je ne pourrais jamais me passer de son brin d’humour.

Ce moment qui se déroulait entre nous me donnait des frissons. Une sensation que je n’avais peu ressentit jusque là, une sensation qui me fait tant de bien. Ce moment si intense et sensuelle qui se passe actuellement m’exciter d’avantage. De plus, Aaron a une bouille vraiment attirante quand il commence à entrer en moi. J’adore le voir prendre plaisir à me faire l’amour, à me faire du bien, me faire plaisir. Ces baisers sont si doux, j’aime la douceur de ses lèvres contre mon cou, ma poitrine et tout mon corps. Je suis si bien dans ses bras où je m’évade à chaque fois. Un rapport sexuel banale, peut-être, mais cela ne l’était pas pour moi. Je prenais vraiment plaisir à le laisser entrer en moi et à continuer ses petits vas et vient. Il s’empressa de m’embrasser aussi sensuellement que tout à l’heure tout en me pénétrant. La chaleur augmentait, j’ai vraiment très chaud et le plaisir se fait vraiment ressentir au point que je fermais les yeux tout en laissant échapper de léger gémissements. Je n’avais aucune hâte de retourner travailler à présent.

Le temps allait bientôt s’arrêter, ces moments intense aller conclure et c’est avec déception que j’allais devoir retourner travailler. Je n’avais aucune hâte de quitter la chambre d’hôtel mais en particulier Aaron avec qui je passe un agréablement moment actuellement. Tout est si compliqué, j’aurais vraiment voulue appuyer sur pause et retourner en arrière pour vivre ce moment de tendresse autant de fois que possible mais là c’était strictement impossible. Les machines à remonter le temps n’existe pas malheureusement. J’ai peur de devoir le quitter, car oui je l’aime vraiment beaucoup mais pas amoureusement seulement amicalement enfin … dire d’expliquer un tel sentiment qui n’est certainement pas aussi réciproque. Quoi qu’il en soit dans quelques instants on allaient se quitter pour mieux se retrouver un jour … enfin peut-être. Aaron tiens à Zooey je le sais très bien et moi-même je tiens beaucoup à elle, mais si je devais choisir entre une des deux j’aurais vraiment beaucoup de mal. Tous les deux sont géniaux et je partage des moments vraiment à en rire que j’aurais peur de devoir abandonné l’un d’eux. C’était strictement impossible pour moi de faire un choix.

Nous sommes actuellement en pleins débats sexuels et je jouissais de plaisir pour ses vas et vient qu’il n’arrêtait pas de me donner. Plus intense les uns que les autres, parfois lent et parfois rapide, que les meilleures en réalité. J’avais oublié à quel point il était aussi doué pour ce genre de chose, j’adore quand il me prend comme ça contre lui que l’on essaye tout un tas de position pour rigoler et aussi pour agrandir notre expérience car oui, nous avons beaucoup de chose à apprendre sur le sexe encore et je serais ravis d’en savoir plus grâce à lui. Donner du plaisir à un homme c’est tout ce qui m’importe. Je suis avec Aaron actuellement et il me donnait du plaisir comme à chaque fois que l’on couchaient ensemble dans cette chambre d’hôtel entièrement à notre disposition, d’ailleurs on avait testé toutes les pièces et c’était tout autant excitant. C’était un plus et c’était vraiment du pure bonheur. J’avais déjà hâte de la prochaine fois, enfin s’il y en avait une et je l’espérais au plus profond de moi car je ne peux pas me passer de son corps, de son sexe, de sa voix, de son romantisme. Qui pourrait prendre sa place sincèrement ? Personne je crois. Cet homme il est vraiment unique et il comble ce vide en moi. Avec lui je m’évade et plus rien ne m’atteint, comme s’il me protégée pour ne pas qu’on me touche, comme si je n’étais que pour lui. Mon père ne m’aurait pas atteint si j’étais avec lui autrefois, si je partageais ses moments de tendresse en sa compagnie. J’aurais certainement eu la belle vie autrefois, mais Zooey la trouver avant moi et en réalité, je n’en suis pas mécontente. Je ne suis pas jalouse, loin de là. « Cally… C’était vraiment génial… J’avais oublié à quel point tu étais délicieuse… » me dit-il avec la voix la plus douce qu’il avait en réserve. Je fermais les yeux pour apprécier ses quelques mots qui venait réchauffer mon cœur. Je n’avais pas envie qu’il parte comme s’il venait d’avoir ce qu’il voulait, comme si je n’étais qu’un simple objet. Il en profite pour rouler sur le lit et venir me caresser avec le bout de ses doigts ma peau. Je frissonnais, j’adorais quand il posais ses doigts sur moi. Je tourne légèrement la tête pour apercevoir son doux visage, avant de venir déposer un baiser au coin de ses lèvres. « Et toi, tu es vraiment doué … Aaron, j’ai vraiment apprécié. C'était tellement bon ... » soufflais-je légèrement, j’étais légèrement essoufflé notre débat sexuel avait durer une bonne heure et ce n’est pas que j’en avais marre loin de là, mais il m’avait pas mal fatigué. En tout cas, je suis sur que je péterais la forme quand j’irais retourner accueillir les nouveaux arrivants. Je dépose une nouvelle fois un baiser sur son front avant de poser ma main gauche sur sa joue pour la lui caresser tendrement. « Ne pars pas maintenant … s'il te plaît. » demandais-je en faisant une triste mine. En temps normal il restait, mais est-ce qu’aujourd’hui les choses vont changer ?

Je n’ai jamais passé un aussi agréable moment depuis des années. Aaron est un homme vraiment agréable et quand il fait des petit bruits - car oui, ça lui arrive - ça m’excite encore bien plus lors de nos rapports sexuels. J’aime passé du temps à ses côtés, poser ma tête contre son torse et regarder le plafond en parlant de la pluie et du beau temps également de nos vies. Aaron est le seul à savoir que mon père me battait autrefois, mais il ne sait pas que je suis censé être morte enfin en Italie c’Est-ce que tout le monde croit. Hors, me voilà bien vivante tout simplement pour ne pas que mon père me retrouve à cause de ses magouilles de mafieux. Des histoires que je déteste. Quand j’étais petite, je me méfiais de rester seule à chaque coin de rue. J’avais tout le temps peur qu’un homme vienne me kidnappé à cause de l’argent que mon père n’aurait pas rendu, enfin vous voyez à peu près le genre. J’ai eu du mal à vivre là-bas, même si j’aimerais retourner vivre dans ce magnifique pays que j’admire tant et pour qui j’ai beaucoup de respect. Fière de mon pays tout simplement.

La journée se déroulait dans le calme, dans la joie et la bonne humeur. Nous venions à peine de terminer le sport de chambre que j’avais déjà hâte de le revoir la prochaine fois pour mettre en place le même projet. J’ai encore envie de lui, oui, en même temps c’est l’effet qu’il me fait à chaque fois qu’on se voit et qu’il entre en moi. J’aime sentir nos corps se coller, s’entrelacer. Je n’arrive plus à me passer de cette chaleur qui m’est capitale à l’heure actuel. M’éloigner de sa présence me ferait tellement de mal. Il me fait tellement de bien qu’aucun autre homme n’arriverait à a cheville même si j’ai déjà goûter à ce même genre de plaisir. Aaron avait une façon de le faire très différent de celles des autres et ça me rendait folle. Avec lui, je suis épanouie sexuellement. Zooey doit être vraiment heureuse, peut-être que ce n’est que pour ça qu’elle reste avec lui après ses multiples tromperie, qui sait ? « Merci ma puce… Tu sais, c’est toujours un plaisir de te voir, de redécouvrir ta peau, j’adore ta façon de crier mon nom… Ça flatte mon égo » me dit-il tout en rigolant niaisement. Je suis un bon coup, enfin j’imagine que je le suis. En tout cas, de ce côté-là Aaron ne s’est jamais plein et encore moins un autre homme c’est donc certainement parce que je conviens à leur besoin tout entier. Et puis, j’ai pas mal d’expérience, car oui j’ai déjà tout essayé et Aaron y est en partie responsable. Je le regarde tout en lui souriant. « J’essaierais de faire un peu moins fort la prochaine fois, l’hôtel complet risquerait de m’entendre. J’aime tellement ton prénom, le susurrer quand tu me fais du bien ça m’excite tellement … » avouais-je tout en me mordillant légèrement la lèvre. Il a un prénom si agréable à entendre et lorsqu’on fait l’amour j’adore le prononcer. Cela m’excite d’avantage et ça me donne encore plus envie de le crier. Et en plus il aime ça, raison de plus quitte à ce que tout l’hôtel m’entendent. Maintenant qu’on a couché ensemble, j’avais l’impression qu’il allait partir comme une fusée, me laissant en plan dans cette chambre. Comme si c’était un salop qui partirait après avoir obtenue ce qu’il voulait. Hors, Aaron m’a toujours montrer le contraire. Il restait tout le temps près de moi et ça me donnait envie de m’accrocher à lui. Je sais très bien que je ne devrais pas … « Tu ne te débarrassera pas de moi aussi facilement Cally… Tu peux en être certaine ! » Il s’approche tout doucement près de moi, se mettant à ma hauteur pour venir coller ses lèvres aux miennes. Je fermais les yeux tendrement laissant se baiser sensuel et tentateur me faire des frissons dans le dos. Il reste vers moi et j’en suis heureuse. Il se leva du lit, me regardant avec un sourire aguicheur. Je fis le même tout en l’écoutant lorsqu’il montra de son doigt la direction de la salle de bains. « Toi, moi, un bain ? Ça te dit ? » proposa-t-il. Je le regarde avec mon plus grand sourire. J’étais d’accord et il l’avait très bien compris. Il se rendit dans la salle de bain afin de préparer la baignoire. Je le rejoignis, m’arrêtant à la hauteur de la porte, y déposant mon épaule sur le côté ainsi qu’une main sur ma hanche pour le regarder. « Si on prend un bain tous les deux, attends-toi à devoir me faire l’amour dedans. » terminais-je tout en le fixant. Je me rapproche pas à pas de lui, collant mon cœur contre le sien. Je sentis des gouttes se sueur se coller contre mes seins. Je m’en fichais. Je passe mes deux mains dans son dos avant de lui déposer un baiser dans le cou. « J’aime tellement être avec toi … je ne veux pas que notre histoire s’arrête. » avouais-je. J’aime être son amante, quitte à ce que je perde l’amitié de Zooey. J’en ai plus vraiment rien à faire, même si ça pourrait me déstabiliser par la suite.

La journée fut agréable à passer, Cally se sentait à son aise avec la compagnie du jeune homme. Elle adorait passer du temps avec lui, lui parler, se chatouiller, rigoler, se pousser, se chamailler, faire l’amour, le toucher, le sentir … toutes ses choses qu’elle ne parvient pas à faire aussi bien avec un autre homme. Aaron est quelqu’un de bien, attachant, romantique et très doux avec les femmes. Enfin en tout cas il l’était avec Cally et c’est ça qui l’avait charmée totalement. Il l’avait séduite, elle a succomber. Maintenant, si un brin de sentiment naissait, il ne pouvait que s’en prendre à lui-même. Cally avait du mal à se dire qu’elle pourrait vivre quelque chose avec lui, car il ne faut quand même pas se voiler la face, il couche certainement avec elle par intérêt ou juste par envie, mais pas parce qu’il ressentirait quelque chose pour elle. Non, Aaron est bien trop fidèle à Zooey pour ça. Bon, là il faut rire pour le sens de ma phrase, mais quand je dis fidèle, je parle plus précisément fidèle du cœur. Car sinon, là il aurait complètement échoué. Zooey a été trompé un bon nombre de fois, comment fait-elle pour pardonner autant ? A croire qu’elle aime ça. Cally, à sa place, l’aurait déjà virer de la maison depuis belle lurette. Car Cally, quand elle aime quelqu’un elle ne fait pas les choses à moitié, elle fait confiance une fois mais pas deux. Alors si le garçon fait un seul mauvais pas, alors elle lui fera payer comme elle le pourrait bien qu’elle en soit amoureuse. Et oui, elle est comme ça notre jolie blonde. Ce fort caractère qu’on aime tous. Disons simplement que ce n’est pas le genre de femme qu’on traite comme une merde, avec qui on joue sur les sentiments et qu’on marche sur les pieds. Calliope est une femme sincère, franche, honnête et qui a horreur qu’on se paie sa tête. Elle pardonne peut-être une fois selon les circonstances, mais sinon c’est bye bye.

La journée s’est très vite écoulé, les deux jeunes gens ont pu passé un agréable moment dans les bras l’un de l’autre parcourant tous les désirs qui existaient. Cally avait chaud tout comme Aaron qui transpirait comme une vache qui pisse. C’est alors qu’il propose un bon bain, mais il ne sait pas ce qui l’attend. Calliope ne compte pas rester assise dans cette baignoire à lui frotter le dos pour le simple fait de poser la paume de sa main sur sa douce peau. Alors s’en suit une petite discussion de ce qu’ils pourraient bien faire dans cette jolie baignoire. Cally adore le sexe, elle ne s’en cache pas et avec Aaron elle en demande toujours plus, car oui, c’est un bon coup ! « Je dois t’avouer que ça me plait aussi, tu as une jolie voix d’ailleurs… T’as jamais pensé à chanter ou un truc comme ça ? » dit-il sur le ton de la rigolade. Cally se mit à rire à son tour. Son analyse était recherché, mais complètement débile. C’est pour ça qu’elle l’appréciait et qu’elle adorait sa présence. Avec lui, on ne s’ennuie jamais. La jeune femme se rapprocha dangereusement de lui, posant alors ses deux mains sur son dos pour les faire revenir sur le torse du garçon. « Non, j’aime écouter les voix des autres, quand je m’écoute j’ai envie de me tué. » dit-elle avec tendresse avant de lui déposer un baiser sur la nuque. Cally appréciait les douceurs qu’ils se donnaient mutuellement. Une fois proche de la baignoire, le garçon commençait à se retourner, Cally en profite pour lui voler un baiser d’un air amusé. Une vraie gamine, mais tellement resplendissante. Il est claire qu’on ne peut pas résister à une beauté pareille. « Je me doutais que tu voudrais recommencer, je commence à pas mal te connaitre ma puce ! » dit-il en lui souriant. Et oui, Cally est comme ça et elle n’y pouvait pas grand-chose. Le sexe est une de ses plus grande passion après son boulot et sa fille. Ironique de dire ça, mais tellement vrai. Elle adorait ça et elle en redemandait à chaque fois qu’elle avait un rapport et surtout quand c’est avec Aaron. « En même temps, tu fais l’amour comme un dieu, comment veux-tu que je m’arrête après … » dit-elle tout tranquillement avec son plus jolie sourire. La jeune femme colla son corps à celui du jeune homme, la température augmentait à chaque fois qu’ils étaient collés. Elle le regarde dans les yeux avant de lui avoué qu’elle n’avait aucune envie que tout ça se termine, qu’elle était très bien avec lui. Il avait l’air un peu perdu. Peut-être l’avait-il mal prit. « Cally… Je… Moi aussi… » dit-il en bégayant assez légèrement. Cally avait compris qu’elle l’avait mis mal à l’aise. Elle se recula doucement de lui. Gêner, elle l’était vraiment. La jolie blonde ne savait même plus où se mettre. Elle baissa légèrement les yeux et s’approcha de la baignoire sans dire un mot. Elle trempe sa main pour sentir la chaleur de l’eau, qui fut assez tiède et plutôt bonne. « Je … je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. » dit-elle tout simplement sans même poser un œil sur lui. Elle était plutôt très mal, une parole de travers certainement. Mais elle disait ce qu’elle pensait, c’est tout. Il n’y avait rien de mal là-dedans. Et rien de concret non plus après tout. Et là, elle avait envie de lui sortir quelque chose, mais elle n’avait aucune envie de gâcher ce moment, alors elle ne disait rien de plus qui pourrait nuire à la situation.

Cally n’a jamais réellement souffert en amour, elle ne tentait jamais une vraie histoire. Pour tout vous dire, elle n’est jamais tombée amoureuse. Certes elle s’attachait au personnes, mais ça n’allait jamais plus loin pour elle. Un brin de sentiment qu’elle ressentait, mais rien d’autres, rien ne signifiant de l’amour intense et fort. Alors pourquoi tomberait-elle amoureuse maintenant ? Surtout du petit-ami d’une de ses amies ? Pourquoi ça tomberait sur Aaron ? Non … il ne fallait pas et dans tout les cas, Cally sait pertinemment qu’elle aurait le cœur brisée avec lui. En fin de compte, ce n’est pas un mec bien ? C’est bien ce qu’elle croit, même si au fond d’elle, elle a toujours cette impression d’homme romantique, attentionnée et charmeur à plein fouet. Elle s’attachait petit à petit à lui, mais ce n’est pas encore de l’amour … et ça le serait sans doute jamais. Dans cet hôtel, il n’y a jamais eu plus. Cally ne voulait pas tenter, quant à Aaron il n’en a pas du tout envie et c’est loin d’être ses pensées ces derniers temps. Non, il pense certainement plus à Zooey. La relation qu’il entretient avec elle ces temps-ci est plus que catastrophique. Calliope n’attend rien de lui, elle sait qu’il ne tombera jamais amoureux d’elle. Il ne voit que ses courbes parfaites, c’est tout. Il devrait creuser le fond … peut-être qu’il tomberait sous le charme encore plus qu’il ne l’a était lors de leur rencontre.

Alors qu’ils s’apprêtaient à prendre un bain tous les deux, comme des amants, s’en suit une discussion qui tourne au drame. Calliope ne s’attendait pas du tout à une telle réaction. En réalité, elle en fut carrément choquée. Comme si on venait lui plantée un couteau en pleine poitrine. Est-ce cette sensation lorsque l’on a le cœur brisée ? Aucune idée, mais en tout cas ça fait bien mal. Cally se relève instinctivement cherchant à ouvrir la bouche pour dire quelque chose, mais là c’était vraiment impossible. Il lui a fait du mal, beaucoup de mal et il le regrettera un jour où l’autre. Elle croisa les bras, suivant son regard, ses gestes et ses pas. Il décide de partir après avoir lâché ses paroles monstrueuses. Cally ne voulait jamais voir ce personnage, ce nouveau caractère. L’homme rebelle, l’homme salop. Un con quoi. Cally avait envie de lui sauter au cou et de le frapper tellement il venait de lui faire du mal, par de simple mots proposé. Ce n’était peut-être pas dans son intention … Non, ça l’était. Il paraît soulagé, un poids en moins à supporter. Calliope lâcha un rire des plus ironiques après qu’il est claqué la porte. Elle n’avait rien trouvé à dire, tout simplement parce qu’elle a été déçue par ce qu’il vient de faire. Elle éteint l’eau qui coulait encore dans la baignoire, avant d’attraper sa robe sur le sol de la chambre. Elle parvient à l’enfiler correctement, elle en profite pour se recoiffer pour ne pas paraître trop suspecte. La jeune italienne retourna travailler comme si rien ne s’était jamais produit. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’aura plus de problème avec Cally car cette histoire est maintenant bel et bien terminée.