AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
version n° 8 ✖ on kife les vioc's de cbl.
commenter la maj' ici.
.
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 9:52

Cléofée Ofélia Livrieri

copyright avatar : weather.

ton âge → 26 printemps..
ton groupe → The lost song.
ton boulot → Ex-ballerine devenue médecin légiste.
ta classe sociale → Aisée.
ton caractère → Perfectionniste, séductrice, fleur bleue, fidèle, calculatrice, gracieuse, égocentrique, brillante, fière, arrogante, lumineuse, pleine de vie, caustique, sarcastique, soucieuse, têtue.
ton pseudo → Moe. Que puis-je vous servir ?
ton âge → 18 ans.

feat : minka kelly.
il faut un début à tout.


« Tout seul on va vite, à deux on va loin. »
« un crétin! C'est un crétin ! » Du haut de mes sept ans je pénétrai avec fracas dans la résidence familiale et ma mauvaise humeur était loin de passer inaperçue. J'essuyais rageusement une larme qui coulait sur ma joue encore brulante. Mon père m'aperçu alors me débattre avec mes souliers remplis de sable. « Doucement ma princesse, tu vas en mettre partout! » « C'est de sa faute! Thomas a détruit mon château de sable !» Je vis mon père esquisser un faible sourire et m'ébouriffer mes tresses. « J'en connais une qui s'est fait un nouveau copain! » « Certainement pas! » je hurlai et me réfugiai dans ma chambre. Si à l'époque on m'avait permis d'entrevoir l'avenir à cet instant précis, jamais au grand jamais je n'aurais pu m'imaginer pouvoir déposer ma main au creux de paume destructrice d'architecture éphémère, sur sa figure en revanche, j'aurais pu le parier!

« Aimer, c'est espérer tout gagner en risquant de tout perdre, et c'est aussi parfois accepter de prendre le risque d'être moins aimé que l'on n'aime. »
Je riais à en perdre haleine, courrais à n'en plus sentir mes jambes, je n'avais aucune idée de l'endroit vers lequel je me dirigeais, ni de ce qui allait se produire si la police arrivait à mettre la main sur nous pour cette histoire de mascotte, tout ce dont j'étais sure, c'est que je serais avec lui. Thomas n'avait pas lâché ma main depuis que nos avions pris la fuite et je ressentis un léger pincement au cœur lorsqu'il rompit le contact pour constater une légère blessure sur mon poignet droit. La chaleur qui émanait de sa peau me quitta afin qu'il puisse sortir un mouchoir de sa poche. Alors que je m'attendais à retrouver cette chaleur familière lorsqu'il attrapa à nouveau ma main, un frisson parcouru mon échine. Les paupières closes je laissais ses doigts parcourir mon poignet avec cette tendresse qui lui était propre. J'en venais à espérer que cet instant s'éternise à jamais. Plus rien ne semblait avoir d'importance, si ce n'est sa peau sur la mienne. Je rouvrais les yeux pour découvrir mon ami terminant d'éponger ma plaie. Mon ami... Je secouait légèrement la tête dans l'espoir de chasser les quelques pensées qui venaient de traverser mon esprit, presque honteuse d'y avoir songé. Merde! Il s'agissait de Thomas. Mon meilleur ami. Comme engourdie je ne bougeais plus, e restais simplement fixée sur les yeux de Thomas, desquels émanait une intensité sans pareille malgré l'obscurité. Il ne me regardait pas, trop concentré sur mon poignet. Le plus naturellement du monde ses mains quittèrent mon poignet pour rejoindre mes hanches. Enfin il releva la tête et je pu lire dans son regard une émotion qui m'habitait depuis quelques temps dès que je songeais à lui : la peur. Oh Dieu que j'avais peur! Une frousse qui me broyais l'estomac et me réduisais à l'état de légume. J'avais envie de me jeter dans ses bras, de m'enfuir, de revenir à l'époque où je n'avais qu'une envie, lui en coller une parce qu'il avait détruit mon château de sable. J'avais envie d'être sienne. Je ne voulais pas gâcher notre si belle amitié. Les paupières à nouveau closes, frissonnante d'espoir, tremblante d'impatience, trépignant de peur, je le laissais décider pour nous deux. Je sentis son souffle chaud sur ma bouche, puis, dans une infinie tendresse ses lèvres s'unirent aux miennes, comme si elles n'avaient été destinées qu'à cela, comme séparées l'une de l'autre depuis bien trop longtemps. Qu'allait-il se passer ? Je n'en avais aucune foutu idée, et une seule pensée me hantait avec délice, celle de Thomas, de ses mains et de ses lèvres, et rien d'autre.

« Est-ce l'amour qui rend idiot, ou n'ya-t-il que les crétins pour tomber amoureux? »
« Oui! » je m'écriais le souffle coupé par l'émotion. « Oui, sans l'ombre d'un doute, sans aucune hésitation. Oui, en écoutant mon cœur, en écoutant ma tête, car toi seul arrive à les mettre d'accord sur un point. Oui, sans songer un instant que tu es fou, que nous n'avons que dix-sept ans, que nous sommes trop jeunes, que nous avons la vie devant nous. Oui, sans me soucier de ce que penseront les autres, mes parents, tes parents, nos amis. Oui, parce que je sais que c'est avec toi que je veux passe le restant de mes jours, alors pourquoi attendre ? Oui, parce que la vie est trop courte, et que je veux gouter à ses présents quotidiens en pouvant clamer être ta femme. Oui parce que tu es et sera le seul et unique homme de ma vie. Oui parce que je ne veux que toi comme seul et unique homme dans ma vie. Oui Thomas Dunbar, je veux t'épouser et devenir ta femme. Je le veux, je le veux ! Je le veux plus que tout au monde. Je le veux parce que... Parce que je t'aime ! »

« Pourquoi croise-t-on des milliers de personnes et ne s'éprend-on que d'une seule? »
« Une bourse ? » « Oui! J'ai encore du mal à le croire! » « Mais, tu ne m'a jamais parlé d'une bourse pour aller étudier à New-York?!» J'entendais déjà dans sa voix de la colère. Mais pire que tout, de l'inquiétude... « C'est normal, je ne t'en avais pas encore parlé... » J'espérais que mes yeux puissent traduire au combien je me sentais mal de lui avoir caché cela. Il attendait posément une explication bien que ses poings crispés tendent à clamer le contraire. « Ecoute... j'ai envoyé ma candidature sans trop y croire... C'est un rêve de petite fille, mais s'il ne se réalisait pas, j'aurais pu m'en remettre. Seulement... Je n'aurais pas supporter échouer devant toi. Ne m'en veux pas Thomas. » « Toi et ta fierté... » Cela claqua dans l'air comme un reproche, mais je le recu sans broncher, je l'avais mérité. « Alors tu pars ? A des centaines de kilomètres de moi...? » « Thomas ! Je suis désolée de ne pas t'en avoir parlé, sincèrement. Mais...es-ce que tu réalises? J'ai été sélectionnée pour étudier la danse classique dans l'une des meilleures écoles au monde! Je vais avoir la chance de me produire au Metropolitan Opera. Thomas est-ce que tu réalises ? » « Et tes tudes de médecine ? » Il avait baissé les yeux, comme pour fuir la réalité. « Je suivrais des cours par correspondance, au ca ou ca ne marcherait pas, mais Thomas, j'ai franchis la plus grande étape. Etre ballerine, c'est... mon rêve, après toi, la danse est ce qui me tient le plus à cœur! » « Je...je sais Cléofée, j'ai été égoïste de réagir de la sorte. J'ai tellement peur de te perdre... » Ses yeux étaient ourlés de larmes, les miennes n'allaient pas tarder à rouler le long de mes joues. « Cela n'arrivera pas!! » J'avais crié, dans l'espoir de chasser cette idée, pour que jamais elle ne se réalise. J'attrapais son visage entre mes deux mains et venais planter mon regard dans le sien. « Thomas, écoute moi bien, rie ni personne, pas même la distance ne pourra ébranler ce que nous avons construit tous les deux. Je t'aime trop pour permettre à quiconque ou à quoique ce soit de s'immiscer entre nous. Est-ce que je suis bien claire? » Et j'y croyais dur comme fer.

« Certains disent qu'on reconnaît le grand amour lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal.»
Une violente dispute, des larmes, des cris. Je n'arrivais pas à me souvenir ce qui avait déclenché notre accrochage. J'entendais juste la voix de Thomas emplies de reproches, de jalousie. Il ne me croyait pas lorsque je lui certifiais devoir rester à New-York pour travailler des ballets. Ca me mettait hors de moi. Cette nuit là, je m'étais rendu à la salle de danse pour répéter, mais je ne cessais de songer à Thomas. Son absence me pesait. Et notre dernière conversation avait été si orageuse. J'étais triste, terriblement mal même. Il me manquait. Mais je lui en voulais. Je lui en voulais de ne pas comprendre, de ne pas se mettre à ma place. Pourquoi ? Pourquoi tout était si compliqué ? J'avais le sentiment que nous n'arrivions plus à communiquer sans nous quereller. J'étais en colère. J'en avais assez. J'avais besoin d'oublier. Je lançais la musique. Toute cette pression... La vie dans cette école était si rude, j'en bavais à chaque seconde. Et Thomas qui ne me soutenait pas. J'étais seule, et si mal. Je voulais me vider la tête. Et cette fatigue qui ne semblait pas vouloir me quitter. Je tourbillonnais au son des violons. Mes muscles semblaient êtres plongés dans un constant endolorissement. Et je virevoltais au rythme du piano. Mes pieds en sang témoignaient chaque soir lorsque j'ôtais mes pointes de la rudesse de ce métier que je souhaitais exercer. Pirouette, simple, double, triple. Plus vite ! Toujours plus vite. J'avais si mal... Mais je n'arrivais plus a discerner si cette douleur était davantage morale ou physique. Peut-être tat-ce le deux ? Entrechats. Plus rapide Cléofée, plus vite! Et sans cesse tournaient en boucle ces quelques phrases : « Ce n'est pas de ma faute ! » « Et c'est de la mienne peut-être ? Ce n'est pas moi qui suis partie continuer mes études à l'autre bout du pays ! » Etais-ce de ma faute si tout allait de mal en pis ? La musique s'accélère, mes pieds aussi. Je n'étais pas responsable! N'avais-je pas le droit de vouloir poursuivre mon rêve ? N'en avais-je pas le droit ?! Plus vite, toujours plus vite, vas-y Cléofée. Ce n'était pas de ma faute! Ce n'était pas de ma faute! Plus vite encore! Ce... N'était... Pas... « AAAAH! » Une violente douleur me vrilla la cuisse en plein pirouette. Je tombais au sol à toute vitesse, ma cuisse heurtant le parquet de plein fouet, m'arrachant a nouveau un cri effroyable. Je hurlais de douleur, seule dans la salle de danse. J'avais l'impression de me faire lacérer chaque muscle de ma cuisse. Chaque respiration était un nouveau supplice, et me relever s'apparentait à un miracle. Pleurant toutes les larmes de mon corps, hurlant comme jamais, je réussis a me trainer jusqu'à mon sac pour appeler les secours. Ils allaient bientôt arriver. Et tendis que je souffrais le martyr, je ne pus m'empêcher de poser les yeux sur mon fond d'écran. Thomas. Toute tremblante de douleur, et avec une violence que je ne me connaissais pas, je lançais le téléphone contre le mur en hurlant : « Ce n'est pas de ma faute ! »

Tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer. »
« Une fois rétablie, pourrais-je re-danser ? » « Je regrette mademoiselle, mais... Je ne peux que vous promettre de pouvoir danser en boite de nuit après de très longs mois de ré-éducation... »

Le temps ferme toutes les blessures, même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices. »
Hermès était un véritable gentleman. Je l'avais rencontré à l'hôpital alors qu'il venait quotidiennement divertir sa petite sœur souffrant d'une leucémie. Attachant, doux, protecteur, positif, charmant. Un cocktail de bonne humeur qui avait jeté son dévolu sur ma personne. Les médecin parlaient beaucoup de moi, ils ne savaient pas où me placer si bien que mon lit se trouvait dans le couloir, a mi chemin entre le bloc pour ma jambe et la psychiatrie pour ma dépressions naissante. Chaque jour, Hermès s'arrêtait pour parler avec moi. Chaque jour je m'abstenais de tout commentaire, ne songeant qu'à une chose, mon propre malheur. Oui j'étais malheureuse, terriblement ébranlée par mon accident, ma rupture avec Thomas, et tous ces malades au quotidien qui me rappelais au combien la vie était injuste. Et puis je l'avais vu, sa petite sœur, et son sourire que rien n'aurait pu effacer. Et lui. Son rayon de soleil. Et j'ai cédé. J'ai laissé Hermès entrer dans ma vie, illuminer mes journée, pour me faire comprendre qu'il y aura toujours plus malheureuse que moi. Il resta présent pour moi comme pour sa sœur durant de très longs moi, me sortant progressivement de mon autarcie, de mon mal-être, tout doucement. Lentement, mais surement. Hermès était persévérant. Il croyait en moi. Il croyait en... nous? J'avais été abasourdie lorsque sept mois après notre rencontre ses lèvres avaient cherché le chemin des miennes, je ne l'avais pas repoussé, au contraire. Hermès m'aimait d'un amour ardent. Il était mon roc, lequel me permettait de ne pas reculer. Hermès était mon sauveur, mon remède, mon ami, mon confident. Mon amour ? J'avais cessé de croire en l'amour depuis que ce dernier avait brisé mes rêves. Hermès le savait pertinemment. Hermès savait tout de moi. Et il était intimement convaincu de pouvoir a nouveau me faire croire en l'amour. il était sans aucun doute amoureux. Je n'avais rien à y perdre, tout a gagner. Hèmes avait si bien réussi a me ramener à la vie, il m'était impossible de m'imaginer une vie sans lui. Comme ami, c'était certain, comme amant, c'était à lui de m le prouver. C'est d'ailleurs ce qu'il s'efforce à faire depuis cinq ans. Il a même réussi à faire de moi une future mariée. Oui, je suis fiancée. Suis-je amoureuse ? Je ne sais pas, mais je suis heureuse, et c'est tout ce qui compte. Il reste juste un dernier détail à régler : je suis mariée et fiancée en même temps. Cher passé, me voila !




Mais qui sans amour existe ? .


que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → Auparavant il signifiait beaucoup et s'apparentait en tout point à une passion ardente. Désormais pour Cléofée, cela se rattache davantage a une relation de tendresse et de confiance commune. Du moins c'est ce qu'elle considère comme étant de l'amour. La vérité c'est qu'elle ne l'a connu qu'une seule et unique fois, et que rien ne pourra égaler ce sentiment, car c'était ça, l'amour.

quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Il est assez atypique, en effet, elle est à la fois mariée depuis ses dix sept ans à un certain Thomas Dunbar qu'elle n'a pas revu depuis cinq ans, mais également fiancée à son nouveau compagnon Hermès, lequel souhaite l'épouser bientôt. Elle risque de bientôt être divorcée.

quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Hétérosexuelle.

comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Certainement mariée à l'homme qui partage sa vie actuellement, c'est à dire Hermès, après avoir divorcé de Thomas. Elle s'imagine former un couple paisible avec Hermès, basé sur la confiance et la tendresse, sans nouveaux drame dans sa vie. Une relation stable et fiable, a l'abri de la douleur et des larmes. Elle s'imagine même peut-être amoureuse, elle croit en sa future union.



Dernière édition par Cléofée O. Livrieri le Lun 20 Fév - 10:50, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 9:53

t'as un nom genre trop bizarre, mais putain... j'aime ! Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104
et minka est purement et simplement magnifique Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 3863477503

bienvenue à l'asile chérie ! et bon courage pour ta fichette, même si à l'évidence tu as déjà pas mal avancé Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 945058907
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 9:55

Merci beaucoup Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 298349742 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587
Yes j'ai presque fini ! (nuitproductive/bonsoir.com)
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 9:58

Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4211560377 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 2364584393
Re-bienvenue à toi mi amor !
Bon courage pour la fin de ta fiche !
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 9:58

Bienvenue sur cbl :)
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:03

Merci tous les deux Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 945058907 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 1587684827
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:15

Bienvenue parmi nous ! Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587
J'aime ton titre Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 418230605
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:17

Et moi j'adore ton prénom! Merci Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4211560377
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:23

Quelqu'un qui cite du Woody Allen, ça vend du rêve Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4209083858
Bienvenue parmi nous ! I love you
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:27

Citation :
« La dernière fois que j'ai pénétré une femme, c'était en visitant la statue de la Liberté. »

C'est cadeau ;)

Merci I love you
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:29

Ahah tu connais tes classiques Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 418230605

Réserve-moi un lien siteuplait Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:34

D'accourd je te garde ça bien au chaud Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 945058907
Revenir en haut Aller en bas

ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
i. lou-ann thompson

i. lou-ann thompson
ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
Féminin ◭ messages : 2432
◭ arrivé(e) le : 06/01/2012
◭ âge : eighteen years old
◭ statut : en couple avec timéon..
◭ études/métier : étudiante en langues et serveuse dans un bar le week-end.


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:38

HAAAAN Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104
j'ai envie de dire que t'as tout de parfait ! Déjà, ton avatar est juste Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4205929361 ton prénom, il est super original, super beau, j'aime j'aime j'aime ! ♥️
en plus, t'es médecin légiste et ta fiche, je l'ai lue en diagonale mais elle me parait déjà super Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104

bref, biiiiienvenuuue et bonne chance pour le reste de ta fiche Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:41

Hannw' merci pour les compliments Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104

lou-ann h. foster a écrit:
en plus, t'es médecin légiste
Tu comptes mourir bientôt Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 298349742 ?

J'ai d'ailleurs quasiment fini Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 1587684827

Merci beaucoup Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587
Revenir en haut Aller en bas

ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
i. lou-ann thompson

i. lou-ann thompson
ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
Féminin ◭ messages : 2432
◭ arrivé(e) le : 06/01/2012
◭ âge : eighteen years old
◭ statut : en couple avec timéon..
◭ études/métier : étudiante en langues et serveuse dans un bar le week-end.


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:42

non Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 418230605 mais je trouve ce métier trop cool Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 1822059364
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:43

Ton métier est pas mal non plus I love you
Revenir en haut Aller en bas

ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
i. lou-ann thompson

i. lou-ann thompson
ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
Féminin ◭ messages : 2432
◭ arrivé(e) le : 06/01/2012
◭ âge : eighteen years old
◭ statut : en couple avec timéon..
◭ études/métier : étudiante en langues et serveuse dans un bar le week-end.


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:45

oui mais bon, médecin légiste, ca déchiiiire Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 1822059364
bon, c't'un peu morbide mais bon Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 418230605
allez, allez, j'arrête de flooder, t'as vu comment tu m'influences ? Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 418230605
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 10:51

Légèrement morbide je te l'accorde Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 298349742
J'ai rien faiiiiiiiiiiiiiiis Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 3458505197
J'ai finis ma présentation d'abord ! Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 186467446
Revenir en haut Aller en bas

ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
i. lou-ann thompson

i. lou-ann thompson
ADMIN ❧ « I forgot what we felt like and I feel homeless. »
Féminin ◭ messages : 2432
◭ arrivé(e) le : 06/01/2012
◭ âge : eighteen years old
◭ statut : en couple avec timéon..
◭ études/métier : étudiante en langues et serveuse dans un bar le week-end.


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 11:02

Si si, t'es qu'une méchante !
et ta fiche mon dieu Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 c'est très très très bien écrit, j'ai adoré le passage où elle danse, honnêtement, j'aime beaucoup beaucoup (a)

JE TE VALIIIIIIIDE Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 4091866587
amuse-toi bien sur le fo' ♥️
Revenir en haut Aller en bas


∞ Invité
Invité


MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitimeLun 20 Fév - 11:08

Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 si vite, merci beaucoup c’est super gentil Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104 Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée 783041104
Revenir en haut Aller en bas


∞ Contenu sponsorisé



MessageSujet: Re: Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée   Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Les ennuis, c’est comme le papier hygiénique: on en tire un, il en vient dix. | Cléofée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
CARRIED BY LOVE. ™ :: chapter five ◭ when you were young. :: The way you left me. :: Présentations abandonnées.-