Jolene était un peu stresser, sur les nerfs, il faut dire que ce la jeune femme était en train de faire, elle n’en avait pas l’habitude, a vrai dire ça ne lui était jamais arrivé…De toute sa vie ! La demoiselle était tout bonnement en train de…defaire ses cartons. Bon oui a vrai dire ça lui était déjà arrivé une fois quand elle était arrivée aux Etats-Unis. Cette sedentaire (qui même si elle se disignait elle-même comme ayant l’esprit bohème et peu d’attache) avait toute sa vie vecue dans la même maison, la residence Pallenberg, ou avant elle , son père vivait avec toute sa famille, veritable heritage depuis des generations dans la famille, avant de venir vivre en Arizona, chez sa colocataire et meilleure amie…Enfin, ex meilleure amie si on prenait en compte leur reçente dispute…L’objet de cette dispute ? Exactement ce que Jolene était en train de faire aujourd’hui : demenager. Pourquoi cette jeune étudiante de 21 ans, voudrait-elle quitter l’appartement qu’elle partageait avec sa meilleure amie, provoquant ainsi une dispute et alors qu’elle n’avait clairement pas les moyens de vivre toute seule ? C’était simple : ce n’était pas toute seule qu’elle allait vivre mais en compagnie de lui. Lui c’était Marlon, le petit ami de Jolene, celui qui était en train de faire le grand menage dans la vie de la demoiselle. Allait-il la transformer en jeune femme respectable, en épouse et mère de famille parfaite ? Pas sur du tout. Mais en attendant, il calmait clairement les habitudes un peu excessives de Jolene dont les passe temps avant l’officialisation de leur couple était de sortir, draguer et se retrouver entre amis pour boire et fumer…Pas vraiment le modèle même de la demoiselle parfaite en somme. Mais depuis qu’ils étaient ensemble, certains details changeaient, déjà elle ne draguait plus, il n’y avait plus d’utilité a ça. Elle flirtait juste avec quelques clients au bar ou elle travaillait mais c’était juste pour faire consommer et sans aller loin, tout ça sous l’œil avisé de Marlon qui n’était autre que son superieur et le gerant du bar en question. Bon elle continuait de faire la fête , mais elle emmenait Marlon avec elle ou parfois même ne s’y rendait pas pour pouvoir passer la soirée avec son cher et tendre, pour ce qui était de fumer et boire, elle avait promis a Marlon de lourdement se calmer…Malgré tout cela bien sur, la demoiselle continuait de clamer haut et fort qu’elle n’était pas en train de se ranger (était-elle la seule a ne pas le voir ?). La dernière preuve en date, Jolene avait accepté de vivre avec Marlon , d’emmenager dans son appartement, beaucoup plus grand et spacieux certes mais ou ils pourraient commencer a vraiment partager une intimité de couple qui d’après Marlon allait le rendre encore plus fort et meilleur…Elle avait accepté après de nombreuses tentative échouté du jeune homme mais encore a l’heure qu’il était alors que tous ses cartons étaient dans le salon de Marlon, elle avait encore un peu peur de ce que toute cela impliquait . Mais là, l’heure n’était pas aux hesitations, elle voulait les laisser de coté et profiter de ce moment, aujourd’hui, c’était leur première journée en tant que couple colocataire, quelque chose que Jolene n’avait jamais fait avec un garçon. Après avoir charger les cartons de Jolene dans la voiture du jeune homme et tout emmener dans l’appartement, la tache « physique » de l’operation était terminée ce qui permit a la belle de souffler un peu. Même si sportive de nature, elle était contente que ce soit seulement ses affaires et qu’il n’y ai pas enormement de chose ou du moins pas de meuble ou autre. Une autre étape se mettait devant eux : celle de deballer les cartons. A peine le dernier emmener dans l’appartement et la porte fermer, la jeune femme en deballa un, elle se conaissait si elle laissait les cartons de coté et se « reposait » , elle n’allait jamais les deballer et Marlon n’allait pas vraiment apprecier de voir une pile de carton au beau milieu de son appartement. « bon aller on attaque ! » dit-elle en dechirant le scotch d’un carton au hasard qui contenait des vetements « j’espère que t’as fait de la place dans ta penderie parce que des comme ça j’en ai des tas ! » dit-elle dans un sourire en prenant le dit carton dans les bras et se dirigeant vers la chambre de Marlon ou se trouvait bien evidemment la penderie.