Premier cri → Ce n’est pas comme si j’étais l’ainé, mes parents savaient très bien a quoi s’attendre a la naissance de leur neuvième enfant…Oui vous m’avez bien entendu, neuvième…Oui mes parents n’avaient pas peur de voir les choses en grand pour leur « petite » famille. Je suis néanmoins la dernière. Mes parents étaient donc rodé, ma mère était a l’hopital depuis quelques jours et n’était absolument pas stressé…Neuf enfant en douze ans, elle avait l’habitude surtout qu’elle venait d’epouser mon père lorsequ’elle donna naissance a ma première sœur. Elle avait dix huit ans. Il faut preciser que mes parents viennent tout deux de famille très puritaine ecossaise et que eux même ont des principes qui sont très certainement considérer comme depassé par 75% de la population de l’hemisphere nord. Mon père était present comme a chaque fois. Lorse que j’ai pointé le bout de mon nez, je ne savais pas que j’allais debarqué dans une maison avec neuf enfants : Michelle, Diana, Anthony ,Jessie, Suzanne ,Levon, Roxanne ,Floyd….Oui la seule fantaisie qu’ont prit nos parents est de nous appeler par des noms tiré de chanson et j’ai eu la palme en m’appellant « Jolene », mon deuxième prenom : Tennessee vient de l’Etat d’Elvis…Ne pensez pas tout de suite que mes parents étaient ce genre de personne cool qui étaient très branché musique et qui nous emmenez chaque week end a des concert…Parce que avant mes 15 ans, les seuls concert auxquelles j’ai assisté étaient ceux de l’Eglise ou j’ai été enfant de chœur. Bref, l’histoire autour de ma naissance, pas la peine de la ressortir, j’imagine que vous savez comment ça se passe et surtout il n’y a rien d’original. « oh elle est si belle ! on dirait une poupée ! C’est fou ce qu’elle ressemble a Anthony…Exactement la même bouille ! » « tu veux rire ? C’est a Suzanne qu’elle ressemble le plus ! Elles ont toutes les deux les yeux bleus ! » « de toute façon c’est a son père qu’elle ressemble le plus « moi je les fixait, tout ces oncles et tantes –oui mes parents aussi étaient issue de famille nombreuses. Ils essayaient de m’inventer des ressemblances alors que je ressemblait pas vraiment a autre chose qu’un nourisson. J’avais déjà mes grand yeux bleus et déjà je les regardait avec cet air étonné, me demandant a qui pouvaient bien appartenir toutes ces tête qui me scrutaient et esperait me decrocher un sourire. D’ailleurs mes frères et sœurs ont été les derniers a me voir et bien que je ne m’en souvienne pas, on me raconte souvent que dans mes premières années, ils n’y avaient qu’a eux que je souriait….Cela ne m’étonne pas plus que ça d’ailleurs. Ils étaient huit, huit a s’occuper de moi et a me faire avancer.


Première chute → Le liquide pourpre coulait le long de ma jambe presque aussi vite que les larmes de mes yeux, je tremblais, je ne pouvais plus bouger…Pourtant ce n’était rien, c’était juste une petite chute de velo, on avait vu pire dans l’histoire des blessures de guerre. Pourtant on m’aurait dit que j’allais perdre ma jambe ça aurait été pareil. Je devais avoir sept ans, je me souviens de la panique dans les yeux de Levon, c’était lui qui était responsable de nous. On était toujours ensemble : Levon, Diana, Floyd et moi, les quatres petits derniers. Les autres étaient plus grand, Michelle était même déjà fiancée et n’étaient pas très interesser par le fait de jouer avec nous. D'ailleurs si je me souviens bien, tout les grand étaient a la maison a regarder un match de foot, maillot de l'équipe regionale sur le dos pour les hommes et femmes dans la cuisine. Je me souviens de la panique : Levon qui essayait de bander la blessure avec sa chemise, Diana qui était partit chercher de l’aide et Floyd qui était en train de trembler « on va se faire tuer !! » « Floyd tais toi, tu vois pas que je galère déjà ? » « maman nous a dit de pas descendre cette pente en velo ! On va mourir ! » « je vais mourir Levon ? » « Mais non ma puce, il raconte n’importe quoi…Floyd la ferme ! » « Diana prend trop de temps…Elle doit être en train de se faire hurler dessus » « mais putain Floyd ta gueule ! » Il y eu un moment de silence pendant lequel Floyd et moi regardions Levon…Il avait douze ans a l’epoque mais il n’avait jamais juré…C’était interdit chez nous. Même Anthony et Jessie qui étaient un peu les deux jumeaux forte tête ne disaient pas de jurons a la maison. Il faut dire que l’education qu’on nous avait inculqué était assez strict : des enfants modèles (du moins devant nos parents), l’Eglise le dimanche matin et la prière avant chaque repas. Comme nos parents étaient n’étaient pas vraiment riche et que surtout neuf enfants leur donnaient beaucoup de travail, nous avons échappé a l’école privée catholique faute de moyens. Je ne me plaignais pas a l’époque de cette instruction, je pensais que ça marchait comme ça dans tout les foyers. Finalement Diana et mon père arrivèrent. Mon père me prit dans ses bras et me ramena a la maison ou ma mère me soigna. On fut privé de télévision et de velo pendant deux semaines…Ce qui était le pire des chatiments pour nous ! Le soir je tripotais mon pensement. Je me souviens que mon père est rentrée dans la chambre, il m’embrassa sur le front et regarda mon genoux…J’ai toujours été la petite favorite de notre père, il a toujours été completement gaga de moi et je le savais, pourtant ce soir, ce n’était pas pour me bercer qu’il était venu. « Jolene…Es-ce que Levon a fait ou dit quelque chose de mal ? » je le regarda quelques secondes « non papa » « tu es sur ? j’ai entendu tes frères se disputer… » je soupira « Levon a un peu trop appuyer sur ma blessure et Floyd a crier en disant de faire plus attention…Ils devaient être en train d’en reparler » « d’accord….Tu ne me mens pas… ? » « bien sur que non papa » C’était la première fois que je mentais, on nous a toujours dit que mentir était la pire chose au monde et je venais de le faire, a mon propre père…Je savais cependant que si je disais que Levon avait juré, il aurait été encore plus puni … A l’epoque, notre bonheur reposait sur quelques heures de velo et de television…Et si le bonheur d’un de mes frères reposait sur le fait que je mente, il n’y avait aucune hésitation.


Le premier baiser → J’avais 13 ans, c’était un vendredi. Je rentrais avec Brody. Broderick Gordon était un ami de mon frère Floyd, il avait deux ans de plus que moi. Je voyais de plus en plus mes frères et sœurs partir de la maison. Roxanne était la dernière a avoir quitté la maison pour vivre avec son mari. Il ne restait que Levon, Diana, Floyd et moi, les quatres petit dernier. Quand Floyd m’a presenté a Brody, j’étais toute timide, il était plus vieux, plus a l’aise…Moi j’étais la petite fille parfaite. Après tout, j’étais une Pallenberg, j’étais une fille sage un peu coincé sur les bords (enfin très coincé a vrai dire), je m’habillais en ecolière modèle, j’avais de bonnes notes et consacrait mes heures aux études et a l’écriture plutôt qu’aux garçons comme les autres filles de mon age. Mais il trouvait ça drôle et mignon...puis j'étais la petite sœur de Floyd et mes frères bien que considerer comme puritain aussi, étaient très respecté dans notre petit patelin. Il m’aimait bien, je l’aimais bien, et ce jour la, il decida de rentrer de l’école avec moi. Il me raccompagna jusqu’au coin de ma rue, il me regarda avec ses yeux verts et passa une main sur ma joue, je sentais mon cœur battre plus fort que d’habitude et je ne savais pas vraiment quoi faire…Je n’avais aucune conaissance des garçons même si j’avais quatre frères, je savais quel genre de trucs ils aimaient mais quand on en venait aux relations amoureuses, j’étais novice et ne me reportait qu’a ce que je voyais dans les films. Je ne savais même pas comment les relations charnelles fonctionnait, j’avais un soir entendu derrière la porte, deux de mes plus grandes sœurs en parler mais ce n’est qu’en cours que je « comprit » comment ça fonctionnait. Mes parents auraient été les derniers a me le dire. Brody me regarda dans les yeux avant d’approcher son visage du miens pour poser ses lèvres contre les miennes. Je n’avais bien entendu jamais embrasser un garçon avant. Quand il recula son visage il me regarda et sourit « ça va… ? » « euh…oui… » « t’es toute rouge » « ah bon ? euh…désolée…euh » il rit « t’es belle » je rougis davantage et il reposa a nouveaux ses lèvres sur les miennes, après quelques minutes et d’autre baisers, il me laissa partir, je descendit la rue un peu retourné avant de passer la porte de chez moi. Après l’avoir fermé, je soupira et me mit a sourire comme une idiote avant de commencer a crier a travers la maison « DIANNNNAAA ! VIENS J’AI QUELQUE CHOSE A TE RACONTER !!!! ». Oui je me voyais difficilement raconter ça a mes frères bien que j’en fut très proche et encore moins a mes parents, il restait donc ma sœur alors agé de 17 ans qui fit office de confidente pour moi.


La première fois → Je n’étais pas comme toutes les autres filles de 16 ans, j’étais sage, le genre de fille que les mères voulaient pour le fils. Mais moi je n’en avais que pour Brody, cela faisait deux ans que l’on était ensemble, deux ans qu’on s’aimait, deux ans qu’il venait me chercher en cours, qu’il dinait une fois de temps en temps a la maison, qu’on se promenait ensemble main dans la main, qu’on s’embrassait a n’en plus finir. Deux ans egalement qu’il attendait. Qu’il attendait que je couche avec lui. J’avais été clair, j’attendais de me marier, j’avais fait une promesse a mes parents que je voulais tenir. Il fallait donc attendre mon dix huitième anniverssaire avant de pouvoir passer a l’acte. Il ne m’a jamais dit que cela l’enervait et a toujours dit qu’il respectait mon choix. C’est pour ça que quand une de mes amies m’a dit qu’il avait une autre fille dans sa vie, je ne l’ai pas cru…Pourtant je suis aller voir quand elle m’a donné une heure et un jour precis ou je devais debarquer dans son appartement…C’était une intuition. J’ai frapper a sa porte : schema cliché et habituel : il était torse nu tout sourire et son visage s’est decomposé quand il m’a vu, je vois la fille a moitié nue passé derrière lui, je ne dit rien malgré ses « je vais tout t’expliquer » je m’en vais. Je pleure, toutes les larmes de mon corps, pendant deux jours, j’ignore ses appel…Je ne raconte rien a ma famille, j’ai honte, je pensais que c’était l’homme de ma vie. Puis prise de colère, je met les quelques affaires que je gardais de lui dans ma chambre dans un carton, je vais chez lui. Il est seul, je rentre dans l’appartement, je lui balance a la figure. Je lui hurle dessus « comment t’as pu me faire ça ??? » « comprend moi merde ! je suis un mec comme les autres ! j’ai des envies ! » « Alors t’avait qu’a me quitter si c’était trop dur ! Tu sais quoi ?! ça m’aurait fait mal mais moins que ça ! Tu m’a fait passé pour une idiote » On se hurle dessus , pendant plusieurs minutes , je ne l’avais jamais vu autant en colère et je ne l’avais jamais été a ce point non plus et tu croyais que j’allais le prendre comment ? Tu croyais que j’allais prendre comment que tu t’en tape une autre ? » « Ah c’est ça hein ?! T’ose pas l’avouer tu voulais être a sa place ! T’es jalouse ! En faite tu veux que je couche avec toi ! » « tu raconte n’importe quoi ! Tu sais que j’ai fait une promesse que je veux tenir ! » « on va regler ça tout de suite d’ailleurs » Il se jeta sur moi pour m’embrasser, je le repousse, il me gifle…Cela n’était jamais arrivé, j’essaie de m’enfuir, il me colle violamment contre le mur et fait en sorte que je ne puisse plus bouger. Il arrache mon chemisier…Je comprend ce qu’il voulait me faire, je panique, je hurle, il colle sa main contre ma bouche, je pleure alors qu’il balade sa main la ou je ne voulais pas être touché …Oui j’ai comprit ce qu’il voulait faire et il l’a fait.


Le premier depart → Je n’avais jamais quitté Linwood, ma petite ville ecossaise. Cela faisait un an que je n’avais plus parler a Brody, depuis ce fameux soir ou il m’a prit ce que j’avais. Je me suis renfermée sur moi-même, je ne parlais plus et ne faisait que travailler, mes parents ne comprenaient pas. J’avais 17 ans et je ne revais que d’une chose : partir, partir loin. Mon rêve, c’était les Etats-Unis. Je voulais aller la-bas, étudier le journalisme, dans n’importe quel ville. Je voulais quitter l’Ecosse, quitter cet environnement dans lequel je vivais. Diana venait de partir de la maison, il ne restait que Floyd et moi. Personne ne savait ce qui m’étais arrivé, du coup je revoyais Brody quand il trainait avec mon frère. A chaque fois ça faisait mal. J’ai eu ma bourse d’étude, mes parents n’étaient pas d’accord, je leur ai promis que je reviendrai…Une promesse en l’air. Je partais , arrivé dans ma chambre d’étudiante, je me mit en tête de changer. Je n’étais plus cette petite fille sage , c’était Brody qui l’avait tuer en me prenant mon innocence. De plus je ne supportais pas l’idée d’avoir été victime d’un viol, je voulais recuperer mon corps et ma paix interieur. La jeune première de la banlieue de Glasgow se transforma alors en une fetarde sexy et audacieuse. J’ai du beaucoup prendre sur moi mais j’ai reussit, personne a Linwood ne sait que je boit , fume et couche avec de beaux étudiant, personne ici a la fac ne sait que j’ai été une petite fille modèle et pure. « mais…t’as couché avec ? » « t’es tarée ? jamais je couche avec un type pareil…mais disons que je l’ai fait languir…. » « oui ça tu sais faire…et au faite ça va avec Bret ? » « il m’a rappeller pour une soirée, j’y suis aller , on a un peu bu, m’a proposé de recoucher avec lui, j’ai quand même trouver la force de l’envoyer paitre » Cela me prit un an avant de pouvoir être completement transformé, maintenant alors que j’ai 22 ans et que je suis en dernière année a la fac, j’ai du mal a me souvenir de ce que j’étais avant d’être ici. Je me sens bien et a l’aise, j’ai mon appart’ avec mes colocataires avec qui je ris souvent, j’ai de bonnes notes en cours sans être une virtuose de la dissertation mais je m’amuse le soir aussi allant a des soirées toutes plus folle les unes que les autres (l'une des plus memorables est peut être celle d'octobre 2010 ou je me souviens juste d'une boisson rose, d'une licorne et d'un drag queen en passe de devenir un vrai transexuel nommé Della Catessen qui jouait de la flute traversière...) …Pourtant, il y a toujours cette fissure en moi, cette chose qu’il a brisé et dont je ne me remettrai jamais.


Premiere fin heureuse ? – « Allez Jo’ magne toi y a les clients qui attendent » « tu vois pas que je suis au maximum ? » servir des gens dans un bar ce ça jamais été mon rêve, et si ma famille catho et conservatrice me voyait dans mon pantalon en cuir et mon decolleté plongeant, ils ferraient une crise cardiaque sur place. Josh n’arrète pas de me dire de m’activer, je sais que c’est pour m’embeter, me foutre la pression. A mon arrivé aux Etats-Unis, étant donné que je n’avais rien en poche, j’ai du très vite travailler, un magasin de fringue par ici, un restaurent par la, une boite de temps en temps…J’ai souvent démissionné a cause d’une ambiance qui ne me correspondait pas, dite que je suis difficile mais je pense qu’il faut un bon feeling entre tout le monde pour que ça marche et eviter de venir au travail comme on irait au bagne. Depuis que je travaille dans ce bar coté de la ville, je me sens plutôt a l’aise. Les autres employés sont sympa avec moi, je fait du bon travail puis y a lui… Je suis pas le genre de fille qui se pame devant un garçon, je me suis pamer devant Brody, je l’ai aimer et lui ai fait comprendre, j’étais aux abois et totalement a sa merci. J’ai appris de mes erreurs et je ne les referrai plus. Depuis que je suis arrivée dans ce pays, aucun garçon n’a été assez fort pour faire de moi sa chose, je suis sortit avec un garçon pendant quelques temps (mais c’était different , une relation sur qui criera le plus fort) mais a part ça, personne n’a pu pretendre savoir apprivoiser Jolene Pallenberg et encore moins la faire tomber amoureuse. Quand je suis rentrée dans cette salle pour mon entretien d’embauche, je n’avais pas d’appriori sur le chef du bar, que ce soit un mec classe et pleins aux as ou un vieux cowboy qui a vu son bar devenir coté malgré lui…Je n’avais rien imaginé de particulier….mais j’ai été tout de même suprise de decouvrir que mon supérieur allait être ce beau brun a peine plus agé que moi. Au depart, je le trouvais très a mon gout mais sans plus…puis il m’a embauché et on a commencé a se croiser tout les soirs au bar… « Jolene, une bière pour monsieur » « j’arrive tout de suite » Je me baisse pour prendre la fameuse bière commandé quand en me relevant je tombe nez a nez avec lui : avec le patron « ça s'active dis donc » « désolée monsieur Levy mais je suis un peu trop occupé » « je vois...je vais vous laisser travailler alors mademoiselle Pallenberg ...», j'approche alors mon visage du sien pour lui glisser a l'oreille « mais si avez quelconque revendication quand a mon travail ou a moi même, je vous propose de m'en parler a la fin de mon service... » il sourit d'un air entendu et je lui lance un regard charmeur, je detourne alors les yeux vers mon fameux client a la bière, decapsule la bouteille et la pose sur le comptoire avant de passer a quelqu’un d’autre. La soirée est terminée, je regarde l’heure a la pendule, j’ai encore dix minutes a peine avant de pouvoir plier bagages et rentrer chez moi, j’essuie les derniers verres, je suis seul dans le bar, tout le monde est rentré au bercaille. C’est alors que j’entend une porte claqué, c’est lui, « le patron », il est tout seul…A vrai dire nous sommes tout les deux seul dans le bar a cette heure la, il s’approche de moi « tu me sert un Bernardo ? » « un quoi ? » « attend je vais te montrer » bien sur que je sais comment on fait et sert un Bernardo mais il faut dire qu’il a un sacré talent pour ce qui est d’apprendre. Marlon passa derrière le bar, il sortit les bouteilles dont nous avions besoin et mit derrière moi, posant ses mains sur mes hanches alors nus a cause de ce haut court « alors tu prend la glace, tu la met dans le verre…puis le gin, ensuite le triple sec…voila…tu met deux cuillère a café de citron et…hop dans le shaker » il me disait petit a petit quoi faire , je ferma le shaker et il me prit alors les mains sur le recipient pour m’aider a le secouer, je ne put m’empecher de sourire, on arreta de la secouer et il versa le contenu du shaker dans un verre avec de la glace, il sourit et me le tendit pour que je puisse un gouter, j’y trempa mes lèvres « mmh…Pas mal » il sourit a nouveau et bu une gorgée du breuvage « je t’en fait un ? » je soupira et regarda la pendule « tu compte m’enivrer ? » il leva les yeux au ciel, amusé « comme si j'en avais besoin » je ne put m’empecher de sourire, je me rapprocha de lui et il posa ses lèvres sur les miennes pour notre premier baiser de la soirée « y avait tellement de monde ce soir, j'ai même pas pu te surveiller ! » « oui d'ailleurs ça m'a été plutot utile, y avait cette jolie blonde qui...hé ! » dit-il après que je lui ai frapper l'épaule pour avoir "osé" sous entendre ça « mais tu sais que je plaisante ! » « j'espère bien ! » « je te raccompagne...? a moins que tu préfère qu'on aille chez moi » « chez toi c'est plus pret » « je sais me tenir tu sais » « pas moi... » dis-je d'un air aguicheur, il ne repondit pas et me saisit la main, j’attrapa mon sac par la hanse et nous sortimes du bar...priant juste pour qu'il n'y ai pas encore un mot de travers avant que nous arrivions chez lui qui nous obligerait une enième discution sur le seul sujet sensible de notre couple... .

que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → Pour Jolene, l'amour a toujours été une idée, un concept très interessant a étudier dans les livres mais comme beaucoup d'objet litteraire, idealisé. A vrai dire elle a deja été amoureuse, mais ces relations se sont extremement mal terminé, elle s'est mise a croire que les sentiments amoureux sont donc des illusions qu'on se crée sur une personne avant de voir son vrai visage. On a envie de tomber amoureux de la personne, de vivre une romance comme dans les films ou les livres donc quand on croise quelqu'un d'un peu plus interessant que la moyenne, on se dit qu'on en tombe amoureux. Mais la conception de l'amour que Jolene s'est faite au cours des dernières années est mise a rude epreuve par un garçon qui semble bien different de tout ce qu'a connu la jeune femme.

quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Jolene n'a jamais été doué pour être en couple, enfin si, quand elle était très jeune mais cela s'est tellement mal terminé qu'elle s'est dit qu'elle avait perdu la recette. Sa dernière relation avait été un veritable desastre vu qu'elle et son compagnon se hurlaient dessus entre deux partie de jambe en l'air. Elle est donc longtemps resté celibataire jusqu'a l'arrivé de Marlon dans sa vie, bien sur ils se sont longtemps tourné autour, rendant la jeune femme folle de jalousie si il s'approchait trop d'une autre fille, mais finalement tout s'est concretiser et les deux jeunes gens sont devenu un couple. Jolene doit alors reapprendre (voir même apprendre) ce qu'un couple (et une relation saine surtout) signifie, chose qu'elle a parfois encore du mal a faire.

quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Jolene est hétérosexuelle, elle n'a eu que des relations de la sorte en tout cas. Elle peut néanmoins apprecier la beauté d'une femme et ne prend pas en insulte qu'une fille vienne la draguer, d'ailleurs elle a deja eu des experiences avec des filles, c'était sympa le temps que ça a durer mais elle ne se voit pas partager une relation avec une femme, elle aime beaucoup trop les hommes, leur temperament, leur manière d'être avec elle pour vouloir changer.

comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Voila donc le gros soucis de Jolene : incapable de se fixer dans l'avenir. Bien sur pour sa famille, d'ici 5 ans, Jolene devrait être mariée et mère, une chose qu'elle a toujours (sans leur avoir dit) refuser de respecter. Passionée de lettres et avec l'envie de devenir journaliste, la seule chose que Jolene voudrait c'est vivre comme dans un roman, voyager , voir le monde...Et du point de vue amoureux ? Elle n'en sait rien, depuis un moment elle voit Marlon a son bras dans 5 ans, vivant d'amour et d'eau fraiche, mais elle sait que lui, c'est a autre chose qu'il aspire, il rêve de se marier et de devenir père. Jolene ne repousse pas cette hypothése avec haine mais cela la fait reflechir, peut être plus qu'elle n'ose l'admettre...Après tout qu-est-ce que le bonheur ? Voyager, faire la fête, n'appartenir a rien ? ou alors avoir un lieu, des personnes, une famille a qui s'attacher, a aimer ?