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 (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained.

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MessageSujet: (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained.   (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. Icon_minitimeVen 8 Juin - 22:45

tybalt ulrik - tobias nom au choix

copyright avatar : bazzart.

son âge → soit vingt trois, soit vingt quatre ans
son groupe → the unfortunates
son boulot → étudiant en fac de sport. & petit boulot en tant que serveur dans une boite de nuit.
son caractère → joueur - sarcastique - charmeur - souriant - calme - réfléchi - gentil - taquin - séducteur - indépendant - bon enfant - déroutant - curieux - téméraire - tétû - acharné.
son histoire → assez libre, dans l'ensemble, mais tout de même quelques points à respecter histoire que le lien tienne debout (a).
- il a toujours vécu ici, soit il est en ville depuis un bon moment.
- il a plusieurs frères, mais pas aucune frangine.
- sa mère est, à la base, italienne. Son père est américain.
- il est passionné de sport depuis tout petit, et tout particulièrement attiré par l'un d'entre eux (j'aurai pensé le football américain, mais c'est au choix).

avatar négociable ? → très peu négociable. J'aime particulièrement buzolic, et je trouve qu'il pourrait y avoir une certaine alchimie entre les deux. Ils formeraient un bon duo, je pense. Malgré ça, si vous ne l'appréciez vraiment pas, on peut toujours essayer de s'arranger, je ne mords pas si fort que ça.
pseudo négociable ? → tout à fait. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 783041104 J'avoue ne pas avoir été très inspirée, sur le coup ! Du coup, en ce qui concerne le nom de famille, je vous laisse champ libre, à condition qu'il soit d'origine américaine. En ce qui concerne les prénoms, j'aime bien Tybalt, j'ai toujours aimé ce prénom, c'est pourquoi je l'ai tout naturellement choisi. Mais si vous ne l'aimez pas, ne vous forcez surtout pas. J'aime bien le prénom Ulrik aussi, en second prénom. Quant à Tobias, je l'aime bien aussi, mais moins que les deux autres. J'aime bien Peter, aussi. Enfin, vous l'aurez compris, il y a beaucoup de prénoms que j'aime bien. Dans tous les cas, le pseudo est négociable, tant que vous apportez une petite touche d'originalité. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 945058907
exigences rp ? → je ne demande pas non plus la lune avec 2500 mots et tout le toutim, rassurez vous de suite (a). Cela dit, je dois avouer : en général, j'écris beaucoup ... Mais je n'exige pas pour autant que mon partenaire rédige autant. Un minimum de 25 lignes me suffira largement pour parvenir à broder. Je m'adapte assez.
mot du créateur → si vous avez lu tout ça, c'est que vous êtes - un minimum - interessé par mon petit tybalt. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 174662343 je sais que j'ai l'air d'être méchante héhé (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 340908721 mais ne vous inquietez pas, je suis douce comme un agneau, ou presque (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 2829010660 tout ce qu'il me faut, c'est quelqu'un d'adorable, de motivé par le lien, qui soigne l'esthétisme de son profil, et qui ne partira pas au bout de trois jours. Pour ce lien, je recherche vraiment quelqu'un de sympathique, d'actif, et qui accroche vraiment au lien que j'ai inventé. Et aussi qui respecte le caractère de ce jeune homme si particuliers. Tout simplement parce que Tybalt est très important pour ma petite Falbala. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 783041104 Je ne veux en aucun cas vous effrayer, c'est juste que j'ai déjà connu le syndrome de je-suis-venue-j'ai-vu-j'y-suis-plus. En gros, la personne s'inscrit, fait sa présentation, et on ne la revoit plus. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 2277528959 ne me faites pas ça (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 572352419 Pour finir, si vous décidez de prendre cette gueule d'amour, c'est simple comme tout : je vous saute dessus, je vous noie de bisous, et je vous étouffe de calins. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 1822059364 Je vous offre une lune de miel, le tour du monde, une année de vacances à bora bora, bref, le bonheur. (m) nathaniel buzolic → there are things that can not be explained. 3863477503

feat : nathaniel buzolic.
Peter Pan & la trainée.


« Salut, Falbala ! Je ne savais pas que tu étais en athlétisme aujourd'hui. » La jolie brune était en train de s'échauffer, dix minutes avant la course. Suite à cette phrase qui lui était adressée, elle leva son regard vers le bel homme qui se trouvait en face d'elle. Voyant de qui il s'agissait, elle roula des yeux en soupirant, avant de lui lancer : « Qu'est ce que tu fiches ici, toi ? T'es pas censé aller faire joujou avec la baballe sur le parc, loin, trèèèès loin d'ici ? » Tybalt était connu pour être spécialisé en football américain, et le stade se trouvait à l'opposé du bâtiment, d'où la réplique qu'elle venait de lui servir sur un plateau d'argent et de cruauté. Voilà un des moments typiques de la relation falbala/tybalt. Ces deux là n'ont jamais été amants, ni ennemis, et encore moins amis. A vrai dire, ils ne se connaissent pas vraiment. Enfin, juste de vue. Suivant tous les deux un parcours universitaire sportif, ils sont dans la même faculté. Des spécialisés différentes, mais des sports en commun, obligatoirement. Et cela les pousse à se voir régulièrement et à se connaître, de nom et de réputation, en tout cas. A la fac, tout le monde se connait, et il n'est pas difficile de dire que les deux jeunes gens n'ont absolument rien à voir. Falbala est connue pour être assez aguicheuse, volage, affirmée, au caractère bien trempée et aux idées fofolles. Tybalt, lui, vit dans un autre monde. Non, il n'est pas soumis, loin de là, mais il vit sa vie. Un cercle d'amis, des connaissances, comme tout le monde. Il préfère, néanmoins, se mettre en retrait, contrairement à Falbala qui n'hésite pas à aller vers les gens, et à connaître le plus de monde possible. De l'extérieure, cette fille pourrait être seulement perçue comme une fille capricieuse, pourrie gatée, convoitée et sédutrice. Pourtant, Tybalt a du mal à la voir comme ça. Il ne sait pas pourquoi, mais il la trouve attachante. Chose qu'il n'arrive toujours pas à expliquer. Il est le seul, à la fac, à considérer Falbala de cette manière là, une manière très spéciale, contrairement aux autres sportifs de la faculté, qui seraient plutôt tenter de la voir comme une belle fille populaire, un beau morceau de steack de premier choix, en quelques sortes. Il est en retrait, mais ne peut s'empêcher de l'aborder quelques fois. Sauf que, voilà, Falbala est comme ça : elle le jette. A chaque fois. Il sait qu'elle est comme ça. C'est pourquoi il ne réplique pas, il se contente de sourire, et il continue son petit manège les jours suivants. Jeu qui déconcerte la jeune femme. Il n'est pas du tout vexé par les propos qu'elle tient à chaque fois. En règle général, son mauvais caractère a le don d'attirer des petites répliques de la part des filles, et de l'intérêt sexuel de la part des garçons. Mais, lui, il se contente de lui parler. Et elle ne comprenait pas pourquoi.

six jours plus tard, agacée par une nouvelle qui avait gâché le début de sa journée, Falbala arriva à la fac relativement triste. Mais elle ne le montrait pas, bien entendu. Tandis qu'elle ouvrit son casier, elle attrapa son uniforme sportif pour le cours d'athlétisme. Soudain, une main vint se plaquer en haut du casier voisin, l'emprisonnant entre la porte et un corps étranger. Elle leva la tête vers l'individu. Greghorian, un des meilleurs éléments de l'équipe de basket, son ex petit ami, qui s'affichait avec son sourire débile. « Coucou ma belle. » elle ne le supportait plus. Vantard au possible, arrogant, collant comme pas possible. Le mélange de tous les défauts possibles. Elle s'en était vite lassée. Elle soupira en continuant de fouiller dans son casier : « qu'est ce que tu veux, greg ? » Elle ne se forçait jamais à être gentille avec les gens. Encore moins lorsqu'ils l'ennuyaient. Une chose est sûre : on ne pouvait jamais repprocher à la demoiselle son manque de fragile. Mais le sportif était habitué et - surtout - particulièrement aveugle aux signaux que pouvaient lancer les femmes : « On pourrait aller chez moi, cette aprem'. » Mais bien sûr. Elle releva les yeux vers lui, fit un sourire désabusé en affirmant : « non, merci. Je crois que ça ira. » Le jeune homme ne se démonta pas : « Allez, viens, on va s'amuser ... » Falbala se contenta de soupirer en affirmant séchèment : « je t'ai dis non. » Elle rangea un bouquin dans son casier, imperturbable, même si cette histoire commençait à l'agacer. Elle sentit alors la main de l'étudiant se poser sur ses hanches pour la rapprocher de lui, croyant certainement que la chercher physiquement était une solution : « Me cherche pas, Greg. C'est VRAIMENT pas le jour. » sourd à ses désirs, il ne semblait pas lâcher l'affaire, la regardant avec un petit sourire qu'il pensait irrésistible. C'est alors que Tybalt intervint : « Tu l'as entendu ? Elle t'a dit que ce n'était pas le jour. » Tybalt, la force tranquille qui impose du respect. L'intervention de Tybalt n'était pas prévue, loin de là. Pourtant, il avait tout entendu, rangeant son casier à deux mètres de là. Il n'avait pas pu s'en empêcher. Il ne s'enervait jamais. C'était quelqu'un de calme, de réfléchi, de posé, qui réglait les problèmes au lieu d'en créer. Mais cela n'empêchait pas le fait qu'il savait se faire respecter quand il le fallait, autrement dit, quand il défendait des principes qu'il pensait fondamentaux. Personne ne le connaissait vraiment à la fac, tout simplement parce qu'il avait assez de valeur pour ne pas s'ouvrir à n'importe qui. Par conséquent, les étudiants ne le cernaient pas forcément, et ne connaissaient pas vraiment ses capacités ou ses réactions. Faire face à une personne - habituellement calme et posée - ui commence à s'enerver et s'interpose, c'est déroutant. A vrai dire, ne connaissait pas les limites ou les capacités de la personne, on serait enclin à plus craindre ces personnes qui paraissent douces et posées, car ce sont les pires, au final. De plus, Tybalt était quelqu'un qui avait du charisme, de la présence, et qui imposait le respect. C'est ce que s'est certainement dit Greghorian. En effet, après quelques répliques, il finit par laisser tomber, et rebroussa chemin. N'en croyant ni ses yeux ni ses oreilles, encore surprise, Falbala leva les yeux vers son sauveur avant de déclarer : « Non mais de quoi j'me mêle ?! » Le regard froid toujours braqué sur lui, la jeune tempête claqua la porte de son casier avant de quitter les lieux. Elle eut tout de même le temps d'entendre Tybalt lui dire sincèremment : « J'espère qu'il ne s'est rien passé de grave et que tu vas bien. » Il faisait référence à la réplique de Falbala "c'est pas le jour", oui. La belle demoiselle était enervée, excédée. Pourquoi avait - il fait ça ? ça ne le regardait pas. Et, surtout, elle était assez grande pour se débrouiller toute seule ! Oui, c'était absolument ce qu'elle pensait, mais pas seulement ... Elle était surtout enervée pour une raison qu'elle refusait de s'avouer : elle était prise aux dépourvus. Jamais un garçon ne cherchait à la protéger sincèremment des mauvaises intentions d'un autre. Jusque là, elle n'avait connu que des garçons populaires, pompeux, aux intentions lubriques et passionnelles, des garçons de son milieu, en d'autres termes. Lui, il était venu, là, alors que cela ne le concernait pas, et il s'est inquieté pour elle. Il esperait qu'il n'y avait pas de "mauvaise nouvelle", parce qu'il avait compris que, derrière ce "c'est pas le jour", il y avait quelque chose qui n'allait pas. Même son ex, Greghorian, n'avait pas compris ça. Ou plutôt, il n'avait pas cherché à comprendre. Tybalt, lui, l'avait fait. Alors qu'elle passait son temps à le jeter. Il était rare qu'elle ressente ce sentiment de protection. Elle demeurait dans l'incompréhension totale, et c'était bel et bien ça qui l'avait enervé, mais elle le cachait derrière une autre raison, une raison qu'elle utilise sans arrêt : un orgeuil immense.

Jeudi. Quelques jours après l'accident du casier. Comme tous les soirs quasiment, Falbala travaillait en tant que serveuse dans une boite de nuit. Loin d'elle l'idée de se faire de l'argent, elle n'était pas vraiment en manque, puisqu'elle venait d'un milieu relativement ... très aisée. Mais disons que le monde de la nuit lui plaisait, et elle aimait bien son job. Aujourd'hui, sous ordre du patron, elle était venue plus tôt, à dix huit heures. Elle devait, selon les propos de son supérieur, "formait un nouveau venu". Un nouveau serveur venait d'être embauché. Elle essuyait les verres derrière le comptoir lorsque son patron arriva pour lui présenter le nouvel employé : « Tybalt, je te présente Falbala, une des serveuses qui travaille ici. Falbala, voici Tybalt, c'est le nouveau serveut dont je t'ai parlé » décontenancée, la jeune femme ne savait pas quoi dire : « Oui ... 'enfin, on se connait. » Suite à cela, le patron laissa Tybalt entre les mains de Falbala, qui se précipita de dire : « Mais j'hallucine. Tu me suis ou quoi ? » Elle n'en revenait pas, le destin l'amenait toujours à tomber sur ce garçon qu'elle n'arrivait pas à cerner. Fichu destin. Néanmoins, elle avait promis de former le nouveau, et c'est ce qu'elle fit. A contre coeur, en tout cas, au début, elle lui présenta toutes les pièces, le comptoir, les différentes spécialitées, et toutes les petites choses à savoir. Elle lui présenta les cuisines, qui servait majoritairement à conserver la nourriture pour les soirées spéciales. Tybalt avait envie de la connaître. Il ne savait pas pourquoi, mais sous cette carapace de mauvaise fille, il avait l'impression qu'elle était une fille incroyable avec qui il pourrait bien s'entendre. Seulement, il savait très bien que la dompter serait pas facile, mais il se promit de le faire. Il allait y aller doucement, à son rythme, et selon ses méthodes. Tout en la respectant, bien sûr. Car, pour lui, elle était bien plus qu'un morceau de viande au beau décoleté et au sourire enjôleur. Elle avait quelque chose. Lui qui était très "enfantin", voulait lui faire redecouvrir le bonheur des plaisirs simples. Et il se mit au travail plus vite que prévu. Tandis qu'elle était dans les cuisines à lui présenter les différentes fonctions, il apperçut le jet d'eau. Un sourire de gamin heureux vint se loger sur ses lèvres. Il n'allait tout de même pas le faire ? Pas à elle ? Et bien si. Il prit le jet en main, le dirigea vers Falbala et l'arosa d'un grand jet d'eau froide. Poussant un petit cri de surprise, suite à cette dernière, elle le regarda, la bouche ouverte. Sur le point de s'enerver comme jamais, trempée comme un chaton tombé dans un sceau d'eau, d'elle lui lança un froid : « Mais tu es suicidaire, ma parole ! » Il avait devant lui une falbala mouillée de la tête aux pieds, enervée. Il ne put s'empêcher de rire. Elle ouvrit encore plus la bouche : « et en plus, ça te fait rire ! » d'un geste rapide, elle attrapa le jet d'eau etlui envoya la dose. Suite à cela, petit silence de quelques secondes. Elle ne put s'empêcher de rire. Lui aussi. Bataille d'eau comme jamais ils n'en avaient connu, ni l'un ni l'autre. Une vraie piscine dans la cuisine. Bien entendu, la boite allait ouvrir après, du coup, petit séchage rapide avec une serviette, et hop, au boulot. Pourtant, quelque chose avait changé. Des petits regards complices entre les deux, par rapport à ce petit moment de rires partagés. Bien évidemment, Tybalt savait qu'il restait encore tout à faire, mais il avait fait un pas, un sacré pas. Il avait réussi à l'approcher, à la faire sourire. Toute la soirée, elle l'aida à travailler, lui montra comment faire, l'ambiance était plus détendu entre les deux, et les cheveux encore mouillés de Falbala leur rappellait leur folle épopée de la cuisine. Ils travaillèrent jusqu'à cinq heures du matin.

« je dois admettre que tu t'es bien débrouillé ! » il lui fit une révérence théâtrale pour la remercier ce qui, bizarrement, la fit sourire. Il enchaina alors : « Tu me laisserai me faire pardonner du jet d'eau ? » Surprise, Falbala leva un sourcil, amusé : « Et comment comptes tu t'y prendre ? » Suite à sa question, le beau jeune homme souria avant de déclarer fièremment et tout simplement : « Un billard. » Sérieusement ? Elle le regarda, dubitative : « Un billard ? » il hocha la tête, toujours sûr de lui : « Oui. » Elle faillit rejeter cette idée de manière monumentale, mais se retint. Après tout ... Elle accepta sans le dire réellement, à la manière falbala, tout simplement : « De toutes façons, j'ai pas sommeil. Et ça va m'amuser, tiens, de te voir essayer de te racheter d'une manière aussi bizarre et lamentable. » Elle prit sa veste, tandis que le jeune homme avait le sourire. Cette nuit là, les deux jeunes étudiants qui n'étaient encore que des inconnus jusque là étaient allés faire une partie de billard. Et petit à petit, les barrières de Falbala commençaient à tomber. Le chemin n'était pas fait, bien entendu. Dompter la jeune femme n'est pas chose facile. Mais Tybalt était quelqu'un de simple, de sincère, de complet. Il avait des instincts d'enfants, et s'emerveillait d'un rien. Il était tellement différent. Elle ne savait, d'ailleurs, pas joué au billard. Il lui apprit en restant près d'elle, en lui apprenant comment se placer. Après plus d'une heure tente, ils décidèrent de sortir de quitter les lieux. Une fois à l'extérieur, marchant sur le trottoirs aux côtés du jeune étudiant, Falbala déclara avec humour : « C'est officiel : je suis vraiment nulle au billard ! » Elle avait assez galéré, et elle l'admettait. Elle était petit à petit à l'aise avec lui, sans s'en rendre compte. Il lui fit un beau sourire, avant de faire référence à ce qu'elle lui avait dit dans la soirée : « je dois admettre que tu t'es bien débrouillé ! » ils s'échangèrent alors un sourire complice. Mais la soirée n'était pas finie. Les boulevards qu'ils traversaient étaient illuminés par des centaines de lumière, et exposaient beaucoup d'activité qui s'apparentait à des stands de fête foraine. Tybalt s'amusa d'ailleurs à essayer une partie qui constistait à viser des cibles avec un arc et des flèches. Hors du temps, et affichant un caractère différent de celui qu'elle exposait en règle générale, Falbala lui lança avec le sourire, en tant que suportrice : « Tu t'improvises Robin des bois ? » Suite à sa remarque qui le fit rire, Tybalt prit la pause avec son arc en déclarant devant toute la ruelle dans un cri de fierté : « Prince des voleurs ! » La jolie brune ne put s'empêcher de partir dans un grand éclat de rire. Suite à cela, Tybalt remporta une petite peluche, une petite biche aux grands yeux verts. Il lui tendit comme s'il lui offrait son coeur : « Tiens, pour toi. » La jeune femme releva un regard incrédule vers lui : « Une peluche ... T'es sérieux ? » Il hocha la tête avec un sourire en ajoutant : « Je trouve qu'il te ressemble. Il a les mêmes yeux que toi. » Suite à cette déclaration, pour la première fois de sa vie, elle ne sut que dire. Elle se contenta, au bout de plusieurs secondes, d'attraper la peluche entre ses mains, signe qu'elle l'acceptait un peu. Ce geste était très spécial pour elle. Jamais on ne lui avait offert une peluche. La dernière fois qu'on garçon avait du lui prêter ce genre d'attention, c'était lors de ses 14 ans. Il y a quelques semaines, elle aurait trouver ce geste tellement puéril, et aurait ri. Mais, ici et maintenant, ce geste la touchait, et elle refusait de se l'avouer. Jamais un garçon ne l'avait considéré de cette manière, jusqu'à maintenant. Tybalt, lui, l'appréciait vraiment. Bien plus que ça. Il n'était pas du genre à s'attacher à tout le monde et n'importe qui, mais lorsqu'il s'attachait à quelqu'un, c'était quelque chose de réellement puissant. Il se passait quelque chose entre ces deux là, pourtant, à la base, si foncièremment différent. Un Peter Pan et une trainée, en quelques sortes. A présent, ils entretiennent une sorte de complicité, pourtant encore très fragile : ils ne se connaissent pas encore vraiment bien, et leur relation navigue entre des moments de complicité et les moments où la répartie et le caractère de Falbala reprend le dessus, comme au début. Mais Tybalt est patient. Il a parfaitement conscience qu'il n'arrivera pas à approcher la jeune femme si vite. Je n'arrive pas très bien à expliquer leur relation actuelle, du coup, si vous prenez le scénario, je vous expliquerai mieux en mp (a)
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