Mackenzie-Nina Joy Everdeen est née dans une famille de classe moyenne, elle n'a jamais manqué de rien mais n'a jamais eu le grand luxe. Elle a sauté le CP parce qu'elle savait déjà lire et écrire alors qu'elle était en maternelle et elle a toujours eu de très bons résultats et de grosses facilités pour apprendre les choses. Son grand-frère est parti à la guerre et lorsqu'il est revenu, il n'était plus le même. Lorsqu'il était là-bas, il a abattu quelqu'un à main nu, l'étranglant alors que celui-ci avait son arme pointé sur le meilleur ami du frère de Mack. Depuis ce jour là, Mackenzie s'inquiète pour lui, voulant être certaine que son frère soit toujours celui qu'elle a connu.

Mackenzie arriva en courant, pensant avoir été appelée pour une urgence, mais elle arriva devant un infirmier tout à fait calme, qui l'attendait avec un faux sourire se voulant rassurant ou bienveillant, quoiqu'il en soit, c'était un sourire forcé. "Dr Everdeen, vous êtes demandé pour une suture." Mackenzie leva les yeux au ciel. "On me bippe pour une suture ? Il y a pas des infirmières pour ça ?" L'infirmier resta sans dire un mot tout en montrant le patient de la main, son dossier dans celle-ci. Mackenzie s'avança alors vers la salle, attrapant le dossier au passage tout en soufflant d'énervement. Lorsque la jeune femme entra dans la petite salle immaculé de blanc, elle vit un jeune homme, étendu vulgairement sur le lit d'hôpital, mobilisant des ressources alors que quelqu'un d'autre aurait pu en avoir besoin. Mais soit, il avait besoin d'une suture sur le torse et Mackenzie était visiblement le seul médecin libre et capable de le faire dans les environs. Elle entra en baissant la tête, fixant le dossier médical. "Bonjour Mr Hawthorne, je suis le docteur Everdeen et je vais vous recoudre. Comment vous êtes vous ouvert ?" "Je coupais du bois, avec une machette." "Torse nu ?" Le jeune homme ne put retenir un petit rire nerveux. "Au fait, c'est Nathanael, ou Nate. Mr Hawthorne c'est trop sérieux." "Peu importe, Nathanael." La grande blonde s'approcha du lit, attrapa une grande fiole d'alcool, en versant quelques gouttes sur un morceau de coton, le passant délicatement sur la blessure de Nathanael. Elle prit alors une aiguille et du fil puis recousu la blessure. Mackenzie prit alors un pansement, le posant le plus délicatement et le plus doucement du monde sur le torse musclé du jeune homme. "Tu prends ton temps, n'est-ce pas ?" Mack appuya alors sur les bords du pansement, le faisant adhérer à la peau du jeune homme. "Hu, nous avons fini, vous pouvez y aller.". Nate fit un sourire, tout en attrapant son t-shirt, posé sur une commode puis l'enfila tout en se dirigeant vers la porte. "Appelez-moi quand vous voulez, je sais que vous avez mon numéro dans mon dossier. Bonne journée, Dr Everdeen.". Mackenzie afficha un large sourire, regardant le jeune homme s'en aller à travers la vitre.

que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? →
Pour Mackenzie, l'amour c'est tout ce qu'il faut dans la vie pour se sentir bien, pour vivre sa vie à plein temps à être totalement heureux. Mack n'a pourtant jamais été réellement amoureuse, ce n'était que des passades, des aventures de courtes durées qui ne durent pas plus de quelques mois. Pourtant elle croit aux âmes soeurs et au véritable amour comme personne. Pour elle, chaque pot à son couvercle et doit le trouver pour espérer pouvoir trouver le bonheur.

quel est le statut amoureux de ton personnage ? →
Pour l'instant, Mackenzie est ce qu'il y a de plus libre au monde. Même si elle a eu un petit coup de coeur pour Nathanael, un patient qu'elle a dû recoudre, elle n'est pas en couple ni mariée. Elle n'est pas non plus veuve ou paxée, en clair, elle est libre comme l'air de s'engager avec qui elle le voudrait.

quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? →
Mackenzie est hétérosexuelle.

comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? →
Comme tout le monde sûrement. Avec une petite famille à ses côtés, un mari aimant qui rentrerait du boulot et qui, après avoir serré ses enfants venus lui sauter dans les bras pour lui dire bonjour, prendrait sa petite femme dans ses bras, lui montrant qu'elle importe et qu'elle pourra toujours compter sur lui. Qu'il lui accorde de l'attention, de l'amour, tout ce qu'une femme devrait avoir d'un homme qui se prétend être son mari.