Keegan-Arsher Samuel Warthington copyright avatar : guerlain. ton âge → Vingt-six ans ton groupe → ton boulot → Hériter de la famille Worthington ta classe sociale → Aisée ton caractère → Enfant dont les parents trop absent on comblé un vide par un gain d'argent de poche colossal, tu es le stéréotype du gamin pourri gâté. D'une jalousie maladive, tu tiens pour acquis tout ce à quoi tu tient ne serait-ce qu'un peu. Déclenchant alors chez toi un comportement excessivement violent dont les sentiments dévastateurs prennent le pas sur la raison. Tu n'as alors plus aucune limite et te permets les pires horreurs. Pourtant, au délà de ça, si ta jalousie est grande, tu refuses d'être la véritable propriété de quiconque, ainsi tu t'octrois égoïstement le droit de flirter avec qui te chante quand bien même ne serais-tu pas libre. Et malgré ça, tu affiches un sourire courtois pour la bienséance qu'on t'a apprise et tu ne courbes l'échine devant aucune âmes qui vivent. ton pseudo → * ton âge → Chut. feat : Kevin Flamme

Mais qui sans amour existe ? .

que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → L’amour, par définition, n’est qu’un sentiment visant à rapprocher physiquement et psychiquement deux êtres. Pour toi, toutefois, cela représente bien plus. C’est l’appartenance total d’un être à l’autre et quand bien même vous écarteriez vous de temps à autres du bon chemin, il n’en demeure pas moins que les sentiments amoureux pourront surpasser tout cela. Tu vois l’amour comme l’antidote aux peines et aux mauvais coups, comme la solution à des tas de problèmes. Avec l’amour, les fautes les plus graves sont pardonnées, grâce à ses simples sentiments. Grâce à l’amour, tout semble plus complexe mais souvent plus beau également. L’amour est un tableau de couleur entaché de gris sous certains de ses aspects.

quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Par définition, tu es en couple. Avec Dylan qui plus est. Tu n’as, par ailleurs, jamais douté qu’elle était la femme de ta vie, pourtant, votre relation n’a jamais été des plus simples et, si tu ne te gêne pas pour occulter sa présence en soirée, tu refuses pourtant qu’elle en fasse de même. Votre relation vous détruit par vos caractères différents et vos sentiments sans doute trop grands. Aucun de vous ne sais correctement gérer tout cela et, lentement, vous réduisez à néant un bonheur que vous pourriez atteindre. Tu n’en demeures pourtant pas moins en couple avec elle depuis près de quatre ans et demi, pourtant.

quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Hétérosexuel. Pour plusieurs raisons, en réalité. La première étant que ta famille n’aurait jamais pu ne serais-ce qu’entrevoir la possibilité que leur fils unique soit un homosexuel affirmé. Ensuite, parce que ton égocentrisme se serait vu entaché par cette nouvelle qui détruit bien des relations. Puis, parce que tu venais d’un monde ou, malgré le vingt-et-unième siècle, être gay restais mal vu. Enfin, tout simplement parce que tu n’avais jamais songé à d’autres corps que ceux des femmes.

comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Malgré les cicatrices encore brûlante de votre relation chancelante, tu ne te vois avec nulle autre que Dylan, que ce soit dans cinq, dix, quinze ou vingt ans. Il demeure une place dans ton cœur que seule elle peut atteindre, une place unique, mise sur un piédestal. Tu te vois héritier de toute la fortune des Worthington habitant dans un luxe plus grand encore que celui dans lequel tu vis. Tu t’idéalises heureux, tout comme le serait Dylan. En vérité, tu n’aspires pas à grand-chose de plus que ce que tu n’as déjà. Tu te satisfait de ce que tu détiens comme si tout t’étais déjà acquis et que ça te convient bien, pour l’instant.

il faut un début à tout.

« Sous tes airs d’ange endormis, tu portes le poids d’une douleur sans nom, causé par ma seule présence et mon seule amour. Pardonne à mes maux ta souffrance et offre à mon cœur un bonheur qui, certes n’est peut-être pas mérité mais engendrera le tien par sa grandeur. Tend une main qui ne m’est que destinée et n’oublie pas, qu’en chemin, je suis le seul sur qui tu ais pu compter. »

Jetant un œil hagard à Dylan qui, sans vergogne s’ose à s’approcher de trop prêt d’un homme dont tu ne connais rien, tu demeures silencieux, jouant avec un verre de scotch qui perd de sa saveur tandis que tu bouillonnes. Tu te souviens encore d’une existence trop terne qui, sans la présence de la jolie brune, n’avait pas lieu d’être. De ces matinées insignifiantes et de ses nuits sans sa chaleur. De chacun de vos pas qui étaient dissocié. De ses sourires dont tu ne connaissais rien et de son corps que tu ne connaissais pas encore. Doucement, tout afflux et tu laisses les souvenirs t’envahir avec sérénité.

Tu te souviens de ces soirées, ou, à peine plus haut que trois pommes ont t’affublais un costard version miniature et ou on t’assignait à une chaise pour un long repas familiale qui durait bien trop longtemps pour le vif bambin que tu étais. Tu te souviens de ta mère qui parfois passait une main dans les cheveux sans que ça ne te fasse quoique ce soit car, il y a bien longtemps que tes parents n’étaient plus réellement tes parents. Tu fus vite le stéréotype de l’enfant qu’on avait créé pour avoir une suite dans la famille mais dont on délaissait l’existence au profit du businesse fleurissant que traitant ton père ou des défilés des modes qu’organisait ta mère. Dans ta vie, seule Jenna avait une place importance. Certains appelle ça un genre de fille au pair, elle s’occupait du gamin que tu étais avec attention et prenait soin de t’aider sitôt que tu en avais besoin. Mais en réalité, Jenna était bin plus que cela, elle représentait à elle seule l’unique figure parentale dont tu disposais. Elle était aussi bien ton amie que ta tutrice, l’oreille attentive à chacune de tes paroles et celle auprès de qui tu pouvais rire. Pourtant, vint le jour ou la matrone avec son air hautain avait osé dire devant toi que Jenna n’était rien d’autre qu’une banale tutrice. Le jour ou, de ta voix enfantine tu avais rétorqué que non, il n’en était rien, elle représentait bien plus ta mère qu’elle. Que Jenna était de loin, celle que tu aimais le plus. Ce fut la seule fois ou tu écopas d’une claque de la part de ta mère tandis que, une heure plus tard, tu voyais Jenna plier bagage et quitter la maison. Ce fut de loin l’une des plus grande fissure de ton existence et si, pour bien des gens, cela ne représentait rien, qu’on t’enlève la seule personne que tu aimais vraiment, comme une mère, avait provoqué chez toi ce côté si possessif et jaloux de ton caractère. En grandissant, tu développas un goût prononcé pour la boxe, tu passais pour un frêle jeune homme et finalement, tu te révélais bien plus redoutable que cela. Hargneux et sans limite, tu extériorisais ta haine à travers le sport. Serrant les dents, tu supportais les repas de famille et autres soirées mondaines avec un sourire poli sur les lèvres, prétendant aimer tes parents. Dans l’unique but, toutefois, d’être sur de rester sur le testament sitôt qu’ils mourront. Oh tu les aimais, tes parents représentaient une grande partie de ta vie. Mais un aspect dont tu n’aimais rien. Et la relation qu’ils avaient avec toi était inexistante, tu souriais lorsqu’ils étaient là et, lorsque, les trois quarts du temps, ils étaient on ne sait ou, tu vivais ta vie comme tu l’entendais.

Puis tu l’avais rencontré. Halo de lumière dans la pénombre. Crépuscule signe de renaissance dans une nuit éternelle. Dylan, de sa candeur c’était immiscer en douceur dans ton existence. Vos premiers instants furent magiques, comme une mélodieuse symphonie dont on ne voulait effacer aucune note de sa mémoire. De sa simple présence elle égayait toute ton existence, elle devenait l’air dont tu avais besoin pour vivre. Pourtant, tu ne cesses de te voiler la face, amouraché de votre utopique relation, tu ne vois pas que tu vous détruis. Tu ne remarque par la folie qui suinte dans ton regard chaque fois qu’un homme pose son regard sur son corps de femme. Tu ne vois pas la violence dans tes coups chaque fois que ton poing s’abat sur elle. Tu ne prête pas attention à l’éclat de folie qui est apparut en elle à force de souffrir de son amour pour toi. Tu ne discernes pas les troubles anorexiques qui lentement prennent place en elle. Tu idéalises votre relation, tu visualises le tout avec des œillères, feignant de ne pas voir le désastre dans lequel vous êtes désormais car malgré tout, il y a l’amour, cet amour qui vous fait vivre, qui vous détruit mais vous garde vivant. Il a ses sentiments dont vous ne pouvez vous détacher et ce bonheur, non loin de vous. Tu préfère croire qu’elle est heureuse, que chaque jour qui passe la rend plus belle et étincelante alors que son éclat se ternit à mesure que tu brises ce qui faisait d’elle un diamant.

Pourtant, à travers la douleur subsiste ses quelques instants de bonheur, ces infimes signes d’espoirs, les quelques moments qui vous donnent encore la force de croire que votre relation ne sera pas étouffé par vos faux pas. Un espoir certes, minime, mais qui vous suffit à rester ensemble. Parce que nul n’a jamais plus compté pour toi que Dylan. Et que nul n’aura le loisir de seulement entrevoir l’espoir de l’aimer plus que tu ne l’aimes. Parce que Dylan t’appartient et t’appartiendra toujours.

Ta main agrippée au verre lâche enfin prise lorsque tu quitte le flot de souvenir. Tu rejoins la terre ferme et discerne à ton côté le doux visage de Dylan qui, bienveillante, t’offre un sourire contrit, sachant pertinemment qu’elle a fauté. Qu’elle a une nouvelle fois provoquée ta colère. Etrangement, tu ne dis rien. Tu achèves ton verre et le claque sur le comptoir avant de partir. Tu sais qu’elle te suivra. Qu’elle rentrera avec toi. Parce que quoi que tu fasses, qu’importe ta faute, Dylan sera toujours là, meurtrie ou non, elle persistera à t’aimer autant que tu l’aimes, même si ça la détruit. Et dans le fond, c’est bien la seule chose qui te tienne en vie.

sous tous tes comptes, tu gères pareil .

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

euh, j'ai envie de dire.. pardon ? . c'est genre euh... une putain de blague ? . eh, tu t'rends pas compte de l'écriture que tu as. J'suis à deux doigts de t'appeler dieu. une pure merveille, une splendeur ! je lutte pour garder les yeux ouverts, pourtant ton histoire m'a captivée . un pur bonheur. t'as une plume de dingue, j'le dirais jamais assez . bon là par contre j'vais arrêter, parce que tu vas prendre la grosse tête
héritier, comme job, c'plutôt sympa hein . bref, je te valide avec joie, mais te demande quand même ton avis pour le groupe (t'as pas rempli )