"I do" This thing can't go wrong

Jolene & Marlon ➹ At night when the stars shine I pray in you I'll find a love so true when morning awakes me will you come and take me I'll wait for you ,you know how I feel I won't stop until I hear your voice saying "I do" .This feeling's so strong Well, my life ain't worth living if I can't be with you I just can't stop loving you I just can't stop loving you and if I stop then tell me just what will I do I just can't stop loving you we can sing songs of yesterday I can say, hey...farewell to sorrow. This is my life and I, want to see you for always I just can't stop loving you

Des journées comme ça a courir de droite a gauche, Jolene pourrait bien s’en passer. Tout d’abord ce matin, elle n’avait qu’a peine pu passer du temps avec Marlon, tout les deux un peu pressé, lui devait certainement avoir des comptes a faire au bar et elle…et bien elle avait cours. C’était la dernière ligne droite pour Jolene qui avait validé quasiment tout ses critères pour l’obtention de son diplôme, sa conference et son mémoire avaient été acclamé par ses professeurs , il ne lui restait plus que le fameux examen final, ce qui faisait que la jeune femme était d’autant plus assidue et attentive en cours. Jolene avait passé la matinée dans un amphitheatre a prendre des notes et son après midi…Et bien avec des recruteurs qui étaient venu aujourd’hui a l’université, les études se terminant bientôt pour les quatrième années dont Jolene faisait partie, elle avait été selectionner parmis les élèves meritant qui pourraient ainsi passer en entretien avec des patrons de boite. De très grand journaux, des editeurs connu…bref, tout le gratin de l’Etat et même plus encore étaient là et si il y avait bien quelque chose que Jolene avait en tête, c’était qu’elle devait leur plaire absolument. Jolene avait sortit le grand jeu en abandonnant ses tenues habituelle decontracté voir bohème pour un peu plus de classe. Oui il en fallait beaucoup pour que Jolene sorte en tailleurs et escarpins ce qui prouvait que ces entretiens étaient vraiment extremement important pour elle. D’ailleurs elle ne sortit même pas une fois son téléphone, elle savait très bien que tout ses amis allaient lui envoyer des « bonnes chances ! » « bon courage ! » « tu va y arriver ! » et autres « je te dit merde ! ». Elle n’oublieraient pas de les remercier a la fin mais elle savait que les lire maintenant n’allait rien faire d’autre que la stresser davantage et c’était ce qu’elle voulait eviter ! Elle voulait juste passer pour une fille très sur d’elle tout en étant un minimum modeste (oui elle n’allait pas non plus les prendres de haut !). La belle brune eu son premier examen (qui se passa bien) avec un editeur, puis plusieurs grands patrons tout autant dans l’edition que dans le journalisme bien que c’était dans cette dernière branche qu’elle se voyait plus tard. L’ecossaise était en grand partie satisfaite de ce que était sortit de tout ses entretiens, elle avait été professionnelle et était passé pour la jeune femme la plus saine du monde (oui même Jolene reussissait a faire penser ça a d’autres, son petit coté manipulatrice était d’une très grande aide parfois). La belle brune decida de ne pas rentrer tout de suite chez elle, de toute façon, elle se doutait que Marlon n’allait pas encore être a la maison et glander jusqu’à son arrivé n’était pas trop son truc. Elle se doutait déjà que ce soir, ils se retrouveraient, commenderaient une pizza et se poseraient tranquillement devant un film en racontant leurs journée respective, elle ne se voyait pas attendre cela a la maison, quitte a rentrer plus tard, la demoiselle malgré le mal de pied que ses escarpins lui procuraient, se dirigea vers la bibliothèque pour étudier encore un peu, de plus cela lui eviterait très certainement de culpabiliser ce soir quand dans leur lit avec Marlon elle allait se rendre compte qu’elle n’avait pas ouvert un bouquin. Elle resta donc dans la grande bibliothèque universitaire pendant quelque temps avant de se rendre compte que la nuit commençait a tomber et que les quelques étudiants restant…Et bien avaient l’air de ne pas avoir ouvert un livre de l’année donc de beaucoup revisé ou de toute façon n’avoir rien de mieux a faire. Jolene avait mieux a faire, c’était indeniable, a cette heure-ci , Marlon devait être rentré et donc une soirée dans ses bras possible. Autrefois, Jolene en aurait profiter pour sortir avec ses amis, dans un bar ou dans une boite a la mode, bien sur, elle continuait a frequenter ce genre d’endroit une a deux fois par semaine, mais les autres soirs, plutôt que d’aller boire un coup ou encore fumer des joints chez des amis, elle preferait rester avec son petit ami : Marlon, qui avait, il fallait le croire, un effet plutôt positif sur elle vu que la jeune femme indomptable commençait a prendre gout a la vie sedentaire et calme que lui proposait Marlon. Même si quand on y pensait, Jolene était loin d’être le genre de fille a s’être completement rangé…Non elle avait juste elargit ses points de vus, avait commencé a se dire que ce n’était pas si derangeant de rester a la maison un jeudi soir, profiter d’un petit diner en amoureux devant un match de baseball ou un film. Jolene prit un taxi pour rentrer, elle n’avait pas de voiture et Marlon utilisait la sienne. Cela ne la derangeait pas, elle avait l’habitude des taxis, d’ailleurs c’était toujours elle qui faisait conversation avec le chauffeur (tout les chauffeurs de taxi de Phoenix devaient savoir toute sa vie d’ailleurs). Arrivé en bas de l’immeuble de Marlon (elle avait encore du mal a se dire que c’était aussi chez elle et elle disait très souvent « chez Marlon »), elle laissa un genereux pourboire (elle savait très bien ce que c’était de faire un petit metier). Et rentra dans l’immeuble, malgré la presence de l’ascenceur, la jeune femme ne se sentait pas de tenir une minute de plus avec ses escarpins qu’elle prit en main avant de monter. Elle prit ses clefs dans le bordel de son sac a main et ouvrit la porte, elle balança ses chaussures dans le coin ou étaient les autres, se jurant de ne plus les mettres. Elle prit son paquet de cigarette dans son sac avec la ferme attention de s’en griller une, elle retira sa veste puis sentit une odeur particulière, elle s’avança et comprit que Marlon était en train de cuisiner quelque chose. Jolene fronça les sourcils, elle garda sa veste en main et s’avança vers la porte fenetre qui donnait sur la terrasse, elle remarqua que Marlon était dessus. « je peux savoir ce que tu fait… ? »

Il n'était que quinze heure trente quand Marlon quitta le bar dont il était le patron, ou du moins dans lequel il avait un rôle important puisqu'il en était le gérant. Oui, au dessus de lui il y avait toujours son père qui était là pour le surveiller et vérifier chaque semaine comment marchait les choses. D'habitude le brun était l'un des derniers à quitter cet endroit. Les soirs sur semaine, il fermait assez tôt ce qui lui permettait de retrouver son appartement et surtout Jolene. Cependant jamais il n'était rentré si tôt chez lui ! Il avait confier les clé à Josh, le serveur en lequel il avait le plus confiance puis il avait prit sa voiture et après avoir fait quelques courses de dernière minute il était rentré à l'appartement qu'il partageait maintenant avec la brune. Il n'était pas spécialement fatigué ou ni même malade ; de manière général c'est les seules choses qui aurait pu le pousser à partir si tôt mais là c'était différente, là le jeune homme avait juste quelque chose à préparer mais cela lui tenait vraiment à cœur. En effet, il avait pris une grande décision il y a maintenant une semaine : demander à Jolene de l'épouser. C'était quelque chose de complètement fou, surtout vu les dernières conversation qu'ils avaient eu. Elle ne voulait pas de mariage, ni d'enfant, d'ailleurs Marlon avait lui même menti au père de Jolene pour lui faire croire qu'il n'y aurait jamais de belle cérémonie de mariage parce que lui ne voulait pas. C'était faux bien sûr. Le mariage c'était quelque chose à laquelle il tenait et la première fois que sa petite amie lui avait dit qu'elle ne voulait pas, il avait été blessé c'est vrai. Marlon avait essayé de le cacher mais finalement elle avait comprit. C'était comme tirer un trait sur un rêve qu'il avait depuis longtemps et forcément la pilule avait du mal à passer. Ca pouvait paraître un peu fou qu'un jeune homme de vingt trois ans veulent absolument un mariage et plein d'enfant, d'habitude à cet âge là, les jeunes ne pensaient qu'à s'amuser et profiter de la vie.. Oui mais pour lui c'était ça aussi de profiter de la vie et d'avancer. Avoir des enfants, une belle et grande famille c'était ça aussi d'avancer dans la vie ! Enfin c'est comme ça que lui voyait les choses ; Jolene elle était plus réticente mais ce n'est pas pour autant que le brun allait se décourager. Ca avait été le cas pendant un moment, hier encore il était très hésitant et se demandait si il ne faisait pas une erreur mais maintenant qu'il était là au milieu de la cuisine, commençant à préparer un bon repas il se disait que de toute façon il devait franchir ce pas. C'était risqué, très risqué et bizarrement il sentait déjà la déception qui allait l'envahir quand elle lui dirait ''non'' mais au moins il aurait essayer. Tout ce qu'il espérait c'était qu'elle ne parte pas à cause de cette simple demande, qu'elle ne prenne pas peur ou quelque chose comme ça.
Les heures passaient et Marlon s'activait en cuisine pour terminé tout ça avant qu'elle ne rentre de cette journée importante pour elle ; d'ailleurs il espérait que tout s'était bien passé pour elle, sinon les choses seraient encore plus difficile pour le jeune homme. Finalement il sortie sur la terrasse ou il prépara une table des plus romantique. Il aurait pu faire simple, une demande banale mais c'était Marlon Levy et comme toujours il faisait tout pour être le plus romantique possible quitte à ce que cela fasse un peu niais ou quelque chose comme ça... de toute façon, Jolene devait commencer à avoir l'habitude à force de vivre avec lui ! Soufflant légèrement comme pour essayer de se calmer, Marlon retourna à l'intérieur de l'appartement pour rejoindre la chambre et enfilé quelque chose d'un peu plus propre – oui il avait l'habitude de cuisiner et se débrouillait très bien mais il avait toujours un côtés très maladroit dès qu'il se retrouver dans une cuisine. Bref, il enfila un jeans noir et une chemise d'une même couleur. Pendant un instant il hésita à mettre une tenue plus complète mais à vrai dire il s'imaginait assez mal accueillir Jolene en costard avec une belle cravate ou un nœud papillon. Elle risquait de se douter de quelque chose et ce n'est pas ce que lui voulait. Maintenant tout était enfin prêt et il ne manquait plus que la principale intéressé qui ne tarderait sûrement pas à rentrer. Marlon lui retourna dans la cuisine pour jeter un coup d'oeil et voir sil n'avait rien oublié sur le feu ou même oublié tout court. Ensuite c'est dans le salon qu'il passa pour ranger quelques coussins qui n'étaient pas à leur place et enfin il retourna sur la terrasse, attrapa son briquet – qu'il avait toujours sur lui comme il était totalement accro' au cigarette – pour allumer quelques bougies qu'il avait placé sur la table mais aussi un peu partout sur la terrasse pour donner à l’endroit quelque chose de plus romantique. « je peux savoir ce que tu fait… ? ». Marlon se retourna subitement surpris par la voix de Jolene, au passage il attrapa une rose rouge qu'il avait acheté en rentrant et lui adressant un large sourire il s'approcha d'elle. « Je me suis dit que ça faisait longtemps qu'on avait pas fait un dîner romantique tous les deux.. » Il lui tendit la rose qu'il avait jusqu'à maintenant cacher dans son dos. « Comment s'est passé ta journée.. ? » demanda t-il timidement en s'approchant encore un peu d'elle pour finalement poser ses mains sur ses hanches. Pour le moment il ne savait pas comment aborder le sujet, comme est ce qu'il allait faire, qu'est ce qu'il allait lui dire.. mais là tout de suite il n'était pas prêt et puis si sa journée c'était mal passé il allait sûrement devoir repousser cette demande à laquelle il tenait pourtant.

Jolene & Marlon ➹ At night when the stars shine I pray in you I'll find a love so true when morning awakes me will you come and take me I'll wait for you ,you know how I feel I won't stop until I hear your voice saying "I do" .This feeling's so strong Well, my life ain't worth living if I can't be with you I just can't stop loving you I just can't stop loving you and if I stop then tell me just what will I do I just can't stop loving you we can sing songs of yesterday I can say, hey...farewell to sorrow. This is my life and I, want to see you for always I just can't stop loving you

Marlon…et bien c’était Marlon, un garçon particulièrement romantique et qui avait cette envie de vouloir impressionné la fille aimé…Jolene ne savait pas vraiment si c’était elle en particulier ou si il avait toujours été comme ça avec les filles. A vrai dire, le sujet des ex n’était pas vraiment a abordé dans le couple même si parfois, cela tombait. Oui, Jolene avait ce petit defaut qui faisait qu’elle aimait se sentir être la seule…Bon bien sur, elle n’était pas stupide, elle savait que Marlon avait eu des ex et qu’il avait même été amoureux de deux d’entre elles (autant que Jolene ce qui dans un sens était très bien vu que cela les mettait sur un pied d’egalité), elle ne s’attendait pas non plus a ce qu’il lui dise qu’elle était la seule, l’unique qu’il eut aimé…Mais elle aimait bien l’entendre dire qu’elle était differente et qu’elle avait une distance d’avance sur les deux autres d’avant. Comme elle essayait de rappeller a Marlon qu’elle l’aimait davantage que Brody, son premier amour, ou Derek, ce garçon qui était son veritable double au masculin, les deux qu’elle aima avant de faire la connaissance du beau brun. Mais après tout, quelle fille n’aimait pas ce sentiment ? Celui ou se sentait être la seule, l’unique, celui ou on se disait que cela ne servait a rien d’être jalouse au niveau des ex de son petit ami vu qu’il les oubliait et ne pensait qu’a vous, qu’il n’osait même pas fait la comparaison. Oui peut être qu’a une époque, Marlon avait aimer Leah d’une manière incroyable, qu’il avait debordé de romantisme et d’amour a son egard, qu’il la regardait avec ces yeux amoureux, buvait ses paroles et tout le reste, oui parfois quand elle y pensait, cela donnait ce sentiment d’insecurité a Jolene, mais au fond elle essayait de se dire qu’aujourd’hui c’était elle qu’il regardait comme ça, c’était elle qui vivait avec lui, qui dormait dans son lit, qui était reveillé par ses baisers, elle seule qui pouvait profiter de son corps, de ses caresses, de ses attentions, elle seule envers qui il avait ces attentions romantique, comme ce soir. Oui en rentrant Jolene ne s’était pas imaginé a prendre son repas sur la terrasse de chez Marlon, elle ne s’était même pas imaginé diner un repas cuisiné, elle s’était attendu a une pizza ou un truc fait rapidement, mais voilà, Marlon était comme ça, ce genre de surprise, il aimait en faire et ce serrait un leurre de dire que Jolene ne les aimait pas…Oui depuis le debut de leur relation, la demoiselle avait fait comprendre a son homme qu’elle n’était pas debordante d’attention romantique, elle avait toujours trouvé ça degoulinant de niaiserie et cul-cul , mais a l’étonnement de tous et elle la première elle s’était prise au jeu et avait commencer a apprecier, même beaucoup trop, ces attentions qu’avait Marlon, après tout, peut être que le romantisme n’était pas si mal…Elle qui adorait la littérature avait parfois l’impression d’être comme ses heroines de livre favoris, dans des scènes incroyable d’amour, qui jusque la l’avait seulement fait rever en silence sans vraiment dire que peut être au fond, elle voulait ce qu’elles avaient, ce preux chevalier, ce gentieman galant…Au fond, c’était toujours plus agréable d’arriver et de trouver une table dressé, des bougies eparpillé et un homme ayant cuisiné pour vous que d’arriver pour trouver son copain sur le canapé a suivre un match de foot avec ses copains en buvant de la bière et ou la seule attention que l’on avait était une claque au cul quand on se baissait pour ramasser une bouteille a jeter. Oui Jolene avait vecu ça la dernière fois qu’elle avait été amoureuse. Marlon s’approcha alors de Jolene tendis qu’elle regarda la table dressé pour eux, pour ce qu’elle avait comprit être un diner romantique en tête a tête. « Je me suis dit que ça faisait longtemps qu'on avait pas fait un dîner romantique tous les deux.. » Il lui tendit alors une rose, elle ne put s’empecher de rire, oui il en faisait beaucoup mais au fond ce n’était pas desagréable, elle prit la rose et la porta vers son nez pour la humer lègèrement, appreciant ainsi son parfum qui lui decrocha un nouveau sourire. « tu ne fait decidemment pas les choses a moitié toi… » elle rit de nouveau et regarda autour d’elle , les bougies eparpillé « Comment s'est passé ta journée.. ? » elle reposa son regard sur lui alors qu’il posa ses mains sur ses hanches elle sourit lègèrement, « bien…un peu fatiguante, j’ai courru partout en escarpins, enfin l’horreur, mais au fond j’en suis assez contente…j’ai rencontré pleins de gerant de journeaux et de maison d’edition et je crois que je leur ai plu…puis je me suis bien avancé pour mon examen…bref un peu fatiguante mais très productive donc je suis contente ! » dit-elle, en effet le fait d’avoir quelques ampoules au pied était bien maigre face au faite qu’elle allait certainement enfin faire le metier qui lui plaisait. Elle releva les yeux vers Marlon « et toi… ? parce que même si j’avoue être épaté, je me doute que tu n’as pas passé ta journée a preparer cette petite soirée en tête a tête… » elle porta a nouveau la rose vers son nez « d’ailleurs c’est une très agréable surprise monsieur Levy » dit-elle avec un regard qui en disait long, elle s’avança par ailleurs pour deposer ses lèvres sur la joue du jeune homme avant de les deplacer vers les siennes pour leur premier baiser de la soirée.

En faisait-il trop ? Avec cette rose, ces bougies et cette table préparé à la perfection. Peut être oui, sûrement même mais à vrai dire Marlon avait toujours été comme ça avec les filles, y comprit quand il était plus petit ! En effet, le petit brun haut comme trois pomme adorait déjà offrir des petits cadeaux à celle qui le faisait rougir, bien évidemment, à cette époque ce n'était que de simples dessins ou bien des fleurs arrachés dans son propre jardin mais le geste et l'idée était déjà là. Aujourd'hui il avait grandit et surtout il avait les moyen de payer de vraies bouquet de fleur ainsi qu'un tas d'autre chose plus ou moins luxueux. Contrairement à ce qu'on pouvait penser, lorsqu'il rentrait avec un magnifique bracelet à offrir à Jolene ce n'était pas pour étaler son argent, juste parce que ça lui faisait plaisir à lui qui avait du mal à voir ce qui avait beaucoup de valeur ou non, sans doute un défaut des enfants qui venait d'une famille riche. En tout cas, une chose était sûre, pour cette soirée, Marlon avait voulu mettre toutes les chances de son côtés en préparant lui même tout les mets que Jolene appréciait, quand à la bague elle, celle qui se trouvait encore de la poche de son jeans, elle était comme tout les autres bijou qu'il pouvait lui offrir. Il n'avait pas fait attention au prix et avait juste acheter celle qui conviendrait le mieux à sa petite amie, du moins c'est ce qu'il espérait. Un peu mal à l'aise en entendant le rire de Jolene à laquelle il venait d'offrir la fleur, le brun ne pu s'empêcher de baisser légèrement les yeux, comme le ferait un gosse qui venait de faire une bêtise. « Tu ne fait décidément pas les choses a moitié toi… » Il se contenta de hausser les épaules en affichant un très léger sourire, un peu gêné. « Tu me connais.. » C'est vrai qu'à force de vivre avec lui elle devait en avoir l'habitude – même si il ne lui préparait pas des soirées comme ça tous le temps. En fait, c'était même la première fois qu'il en faisant autant, mais d'un côtés c'était aussi parce que cette soirée serait de toute façon très différentes des autres. Marlon se rapprocha un peu d'elle et tenta de changer de conversation pour en venir à un autre point important et sûrement déterminant de la suite de cette soirée : la journée de Jolene. « Bien…un peu fatigante, j’ai couru partout en escarpins, enfin l’horreur, mais au fond j’en suis assez contente…j’ai rencontré pleins de gérant de journaux et de maison d’édition et je crois que je leur ai plu…puis je me suis bien avancé pour mon examen…bref un peu fatigante mais très productive donc je suis contente ! » Un sourire franc réapparut enfin sur le visage du jeune homme, soulagé. Certes il était très content pour elle mais il était surtout content de partir sur quelque chose de positif pour elle. Après tout, peut être que cela l'aiderait à accepté plus facilement sa demande que si toute sa journée n'avait été qu'une catastrophe. « Cool. J'en étais sûr que t'allais y arriver » En effet, il n'avait pas douter une seule seconde de ses capacités pour cette journée quelques peu spéciale. « Et toi… ? Parce que même si j’avoue être épaté, je me doute que tu n’as pas passé ta journée à préparer cette petite soirée en tête a tête… » « A vrai dire je suis rentré assez tôt... Sinon j'ai été au bar, j'ai bossé.. enfin rien de très intéressant comme d'habitude » Marlon n'avait surtout pas envie de s'étendre sur le sujet et puis en fin de compte toute cette journée il l'avait passé en pensant à ce moment dont il voulait absolument profiter, même si le stresse et l'angoisse commençait à le gagner. « D’ailleurs c’est une très agréable surprise monsieur Levy » Plutôt fier de lui maintenant qu'elle lui avait avouer cela, Marlon ne pu s'empêcher de sourire. En fait, même si il en faisait trop ça avait l'air de lui plaire, du moins elle ne lui avait encore jamais dit qu'elle en avait assez de lui et de ce romantisme débordant ! En même temps, se serait quelque chose d'assez bizarre qu'elle lui dise cela en sachant que la plupart des femmes sur cette terre se plaignait justement du manque de romantisme des hommes.. mais bon, Jolene c'était Jolene, cette jeune femme imprévisible qu'il aimait pourtant plus que tout avec ses qualités et ses défauts. « Je suis content que ça te plaise » lâcha t-il avant que leur lèvre ne se rejoignent enfin. La serrant un peu plus contre lui il prolongea ce tendre baiser encore un peu avant de se détacher d'elle, un peu à conte cœur. Marlon la regarda, souriant puis il attrapa la veste que la jeune femme avait gardé en main. « T'as bien bossé aujourd'hui alors ce soir je m'occupe de toi, que tu te détendes un peu » Il sortit le briquet de sa poche et alluma la cigarette que la jeune femme avait aussi garder en main, sans l'allumer. Autant il détestait qu'elle prenne de la drogue même si ce n'était pas quelque chose de fort, autant le fait qu'elle fume ne le dérangeait pas ; de toute façon il était mal placer pour lui dire quelque chose comme lui fumait énormément aussi. Finalement, il attrapa sa main et l'emmena jusqu'à la table, lui tirant la chaise pour qu'elle s’assoit. « J'espère que t'as faim.. » lui glissa t-il à l'oreille avant de déposer un baiser dans son cou.

« Tu me connais.. » ah oui, ça pour le connaitre, elle le connaissait, c’était d’ailleurs amusant car quand on regardait le couple, on avait l’impression que ça faisait un petit moment qu’ils partageaient leur vie, or cela ne faisait pas si longtemps. Ils étaient peut être aller vite en besogne vu qu’ils habitaient ensemble et avaient déjà leur petit quotidien a eux, mais cela ne derangeait pas Jolene. Aller vite ou pas, ce n’était pas vraiment quelque chose qui l’importait…Si on faisait confiance et qu’on était bien avec une personne ? Pourquoi attendre ? La seule chose qui avait retardé leur colocation était le fait qu’avant, Jolene vivait déjà avec une amie a elle, qui n’acceptait que moyennement la relation entre Marlon et Jolene. Mais a part ça, tout avait fonctionner. Jolene avait de nombreuses amies qui fonctionnaient pas étape , elle s’en fichait un peu elle, attendre avant de coucher avec un garçon ou le reste c’était pas son truc, elle le faisait comme elle le sentait pas comme certaines règles le disait. Elle ne voyait pas pourquoi c’était le troisième rendez vous qui était determinant et le cinquième qui disait qu’on était ensemble…Non elle ne comprenait pas tout ça. Puis même si elle connaissait bien Marlon et vivait en sa compagnie, il y avait encore tout pleins de chose qui faisait que leur couple n’était pas vieux avant l’age (le problème souvent quand on allait trop vite), elle decouvrait tout les jours des petits detail sur lui et inversement…La preuve, il y a encore quelques semaines, elle apprenait qu’il portait des lunettes de temps a autre, il ne l’avait jamais fait en compagnie de Jolene, elle ne le savait donc pas et cela l’avait amusé sur le coup…Toutes ses petites choses qu’ils ne savaient pas et faisaient que chaque jour, ils apprenaient encore a se connaitre tout en étant la personne la plus proche de l’autre. Jolene aujourd’hui était surprise, bien qu’elle connaissait le temperament romantique de Marlon, c’était toujours agréable qu’il essaye de la surprendre de cette façon …Elle, elle était nulle pour ça, elle était quasiment sur qu’elle aurait mit le feu a la nape, aurait mit le couteau a la place de la fourchette, aurait acheté le pire vin ou champagne du magasin (quoique ça, elle s’y connaissait un minimum pour s’être souler de nombreuse fois dans des soirées plus ou moins folle)…La seule chose qu’elle aurait pu reussir aurait été le repas…oui quand on voyait Jolene on se disait que c’était le genre de fille a tout faire bruler, a ne pas savoir cuisiner autre chose que du surgeler et qui ratait même un œuf au plat…Mais non, la jeune femme était a vrai dire un vrai cordon bleue, mais ses talents, elle ne les montrait pas, ou très rarement, elle savait que ça n’allait pas avec l’image de jeune femme libre et sauvage qu’elle essayait de montrer…Pourtant avant de l’être, c’était une jeune fille innocente et docile qui adorait passer du temps en cuisine avec sa mère et ses sœurs…Et elle gardait toujours cette experience culinaire et ce savoir-faire assez impressionnant quand elle en faisait preuve pour la première fois…Marlon se mit alors a sourire a Jolene « Cool. J'en étais sûr que t'allais y arriver » elle lui rendit son sourire, elle aimait le fait qu’il croit en elle de cette manière, et puis il était bien au courant de ce que cela representait, ses etudes, sa futur carrière, pour Jolene…C’était quelque chose qui lui donnait tout les jours envie d’avancer, d’en faire plus, de se battre. « je sais je suis geniale ! » dit-elle sur le ton de la plaisanterie , elle demanda alors a Marlon comment sa journée a lui s’était déroulée, il repondit « A vrai dire je suis rentré assez tôt... Sinon j'ai été au bar, j'ai bossé.. enfin rien de très intéressant comme d'habitude ». Jolene hocha la tête, elle travaillait toujours a mi-temps au bar de Marlon, elle y aimait l’ambiance, puis elle s’entendait avec tout le monde maintenant. Mais cependant, elle savait que c’était de courte durée, que bientôt, elle n’allait plus y aller pour servir des verres mais pour s’en faire servir eventuellement..Elle avait toujours dit a Marlon que quand elle aurait finit ses études, elle arreterait le bar… Bon elle avait un peu revu son jugement et s’était dit qu’elle quitterait ce job seulement quand elle trouvera un autre, mais Jolene comptait bien se bouger , ce qui faisait que son temps en tant que barmaid au bar de Marlon était veritablement compté. « Je suis content que ça te plaise » dit-alors Marlon en reference a la surprise qu’il lui avait faite. « je ne vois pas comment l’inverse aurait été possible ! » dit-elle dans un grand sourire , Marlon prit alors la veste de Jolene ,celle qu’elle avait dans les mains « T'as bien bossé aujourd'hui alors ce soir je m'occupe de toi, que tu te détendes un peu » Sur ce, il alluma la cigarette de Jolene, donnant une petite impression a la demoiselle d’être une de ces heroines de film des années 40, elle tira sur sa cigarette et regarda son petit ami tout sourire « et bien…ce programme se revèle être fort interessant monsieur Levy…j’ai hate de voir ce que vous me reservez… » dit-elle lui jetant un regard espiègle avant que celui-ci ne tire la chaise sur laquelle la demoiselle s’asseya « J'espère que t'as faim.. » dit-il lui deposant un baiser dans le cou , Jolene ne put s’empecher de sourire et de repondre d’une voix lascive « je meurt de faim… » elle sourit a nouveau et Marlon s’éloigna, la demoiselle soupira , non pas par ennuie mais parce qu’elle se disait qu’enfin elle allait avoir un moment relaxant pendant sa journée, juste diner avec Marlon en tête a tête, c’était ce qu’elle voulait. Elle ne voulait plus penser a toutes ces demarches post université et le reste, ce soir, c’était Marlon et elle.

« Je sais je suis géniale ! » En effet, cette fille était géniale, tout bonnement parfaite. Lui en tout cas c'est comme ça qu'il la voyait car même ses petits défauts il arrivait à les transformer en qualité, et leur dispute il finissait toujours par se dire qu'elle venait de lui. Peut être qu'il avait parfois tord, qu'il s'en voulait à lui même pour rien, mais peu importe, il était bien comme ça et c'était d'ailleurs pour cette raison entre autre que ce soir il allait faire le grand pas ! Marlon leva les yeux au ciel comme exaspéré par cette phrase qui l'amusa surtout. Jolene c'était pas le genre de fille à se la pété, à dire à tout le monde qu'elle n'avait aucun défauts et qu'elle était bourré de qualité. Certes, des fois elle acceptait mal la critique – mais comme la plupart des filles non ? - mais dans le fond c'était juste une jeune femme adorable, souriante, amusante,... bref la femme idéale selon Marlon qui était, comme vous l'aurez compris, totalement fou de cette fille. Il faut dire que même si ils n'étaient pas ensemble depuis si longtemps que ça, les événements avaient fait qu'aujourd'hui, ils s'aimaient et s'entendaient si bien qu'ils vivaient déjà ensemble et même que Marlon allait faire ce sur quoi il avait tirer un trait au début de leur idylle ! C'est fou comme les choses pouvaient changer, c'est fou comme Marlon lui même avait changer avec son arrivée. La preuve en était son travail. Reprendre l'un des bars de son père ça lui avait toujours parut comme une évidence, et d'ailleurs il avait suivit toute les études qu'il fallait pour le former à gérer un bar, du personnel, des comptes.. Ça lui convenait, au début. Maintenant il avait envie de quelque chose de nouveau, d'un peu plus excitant que ce travail qu'il trouvait monotone et ennuyant. Quel était le rapport avec Jolene ? Et bien peut être qu'elle ne s'en rendait pas compte mais c'était en partie elle qui l'avait amené à changer d'avis, sans doute de manière inconsciente ; il la voyait elle, heureuse et épanouie dans ses études qui lui plaisait beaucoup et puis elle avait cette petite graine de folie que lui n'avait jamais vraiment eu.. Cette folie elle lui avait en quelques sorte transmise et c'était pour cette raison que dernièrement, Marlon pensait sérieusement à reprendre ses études, pour faire ce dont il avait rêver au fond de lui, de la médecine. Ce n'était pas extraordinaire, et loin de ce que l'on pourrait entendre par ''folie'', mais pour lui, cela signifiait pourtant énormément. « Je ne vois pas comment l’inverse aurait été possible ! » « Trop de romantisme peut-être. » lâcha t-il en haussant les épaules et laissant apparaître sur son visage une légère grimace. Pour le moment il n'avait pas l'impression d'avoir fait des erreurs mais il préférait tout de même en être sûr. « Et bien…ce programme se révèle être fort intéressant monsieur Levy…j’ai hâte de voir ce que vous me resservez… » « Je pense que tu vas être surprise.. » Un léger sourire s'afficha sur le visage du jeune homme qui récupéré alors la veste de Jolene. En effet, ce qu'il lui préparait c'était une secret surprise, sans doute la dernière à laquelle elle pouvait penser en ce moment. Le jeune homme la fit s'installer à la table après avoir allumer sa cigarette ; oui ce soir c'était elle la reine, et il ferait tout pour qu'elle passe un bon moment. « Je meurs de faim… » lui répondit-elle alors qu'il déposait un autre baiser dans son cou. « Tant mieux, parce que j'ai passé des heures derrières les fourneaux. » il passa sa main sur ses épaules comme pour lui prodiguer un petit massage histoire de la détendre encore un peu plus « Je reviens.. » Marlon récupéra la veste qu'il avait poser sur l'autre chaise et se glissa à l'intérieur. Il rangea le vêtement dans l'entrée, au porte manteau – oui, il était très maniaque, surtout avec les vêtements – puis d'un pas pressé il rejoignit la cuisine. A peine arrivé à l'intérieur il laissa s'échapper un long soupire de soulagement. Une première étape était passé. Mais le plus difficile restait à faire. Sa main se glissa dans la poche de son jean de laquelle il ressortit une petite boite qui contenait la bague qu'il regarda un instant.. quelque secondes, peut être quelques minutes. A vrai dire pendant ce moment il perdit toute notion du temps, perdu dans ses pensées envahit par un tas de questions et de doutes. Soufflant un nouveau, il referma la boite et la remit à sa place dans sa poche. Il ne la ressortirait que pour faire sa demande. Quand ? Lui même ne le savait pas trop encore, il ferait sûrement ça au feeling. Finalement, Marlon reprit un peu ses esprits et s’attela à la préparation de ses assiettes pour ce qu'il avait prévu en entré. Quelques minutes plus tard, il retournait sur la terrasse, deux assiettes en main qu'il déposa sur la table. Il reparti pour revenir rapidement, une bouteille de champagne à la main – le meilleur qu'il avait pu trouver. Il la déboucha et versa le liquide dans deux coupes posé sur la table. « J'ai un petit cadeau pour toi » annonça t-il en s'asseyant face à Jolene. Il plongea la main dans sa poche non pas pour en sortir la bague, mais un écrin un peu plus large qui contenait un collier acheté sur la route lorsqu'il rentrait du bar. Il déposa la boite sur la table et la fit glisser jusqu'à Jolene, un léger sourire affiché sur les lèvres, espérant que ce premier bijou lui plaise.

Jolene sourit, amusée par Marlon. Beaucoup pourraient penser que ces deux là n’étaient pas fait pour être ensemble, Marlon devait certainement cherché une fille simple, douce, qui s’occuperait parfaitement de lui et aspirerait a une vie simple et saine, quand a Jolene, on l’imaginait plutôt avec un garçon bout-en-train toujours en train de deconner et de faire le fou, un type au sang chaud. Mais non, les deux touteraux étaient très bien ensemble, elle était peut être ce petit grain de folie dont il avait besoin, lui , lui apportait la maturité dont elle manquait. Après les extrèmes n’étaient pas vraiment caractèristiques de Marlon et Jolene, cette dernière en effet, aimait faire la fête, boire a outrance, fumer , parler mal et employer des termes comme « baiser » ou « sauter » que Marlon avait parfois du mal a supporter quand elle decrivait leur ebats, mais Jolene avait ses limites, et c’était d’ailleurs drôle de voir la fille qu’elle était au bar par exemple ou dans le milieu scolaire. Oui Jolene parlait mal mais pourtant elle n’avait pas besoin d’un gros effort pour montrer l’étendu de sa richesse intellectuel, d’ailleurs ça la faisait bien rire quand on commençait a l’ennuyer tout en parlant comme un chartier et que la demoiselle après avoir fait croire que c’était egalement sa manière de parler, sortait un vocabulaire tout a fait fleurit et soutenu ce qui avait tendance a destabilisé la personne en face d’elle, oui elle aimait ça jouer un peu avec les personnes…pas de manière mechante bien entendu, mais surprendre et montrer que les apparances étaient trompeuses la faisait rire. D’ailleurs elle en avait surprit plus d’un quand elle faisait comprendre qu’elle était une étudiante aussi passionée qu’acharner. Marlon aussi pouvait surprendre, il donnait l’impression d’un garçon serieux , calme, sympathique, qui savait s’amuser mais avait ses priorités. C’était en general vrai, Marlon était loin d’être un type barbant au contraire, mais il était c’est vrai, un garçon qui savait faire la hiérarchisation de ses priorités et trouvait un temps pour tout…Puis il était calme et pas vraiment du genre a partir au quart de tour quand on le froissait un peu (bien sur ça restait quelqu’un d’humain qui s’enervait quand on touchait le point sensible) pourtant il avait bien surprit Jolene il y a de cela quelques semaines quand il s’était violemment battu avec Brody, premier amour de la jeune femme mais celui qui lui avait fait le plus de mal lors d’un soir ou il l’avait obligé a coucher avec lui. Marlon était un garçon calme, sauf qu’il s’agissait de l’honneur de Jolene et ça, ça plaisait fortement a l’écossaise qui se sentait ainsi defendu et protègé, et Dieu sait que c’est un sentiment que la belle aimait ressentir : se sentir en securité dans les bras de Marlon, savoir qu’on ne lui ferrait plus jamais rien tant qu’elle était avec lui parce qu’il serrait là pour la defendre. « Trop de romantisme peut-être. » la belle regarda au ciel en voyant la grimace de Marlon « mieux vaut trop que pas assez ! » elle ne put s’empecher de sourire a nouveau , c’est vrai qu’elle preferait davantage trop de romantisme qu’aucun romantisme du tout, elle preferait ce petit diner aux chandelles plutôt qu’un vulgaire plat surgelé devant un match de baseball bien sur…et oui ce n’était pas parce qu’elle n’était pas doué pour ça qu’elle n’appreciait pas que son petit ami en fasse preuve avec elle ! Elle restait tout de même une femme non ? « Je pense que tu vas être surprise.. » Jolene arqua un sourcils, elle se demandait bien ce qu’il pouvait preparer de plus, certainement un plat qu’elle aimait tout droit sortit d’un livre de recette ecossais histoire de dire a la jeune femme qu’il arrivait a maitriser la cuisine de son pays natal, ou peut être allait-il lui annoncer une nouvelle, comme quoi il était accepté dans tel ou tel faculté de medecine, bien qu’elle trouvait ça étrange qu’il ai trouvé aussi rapidement parce qu’elle ne l’avait pas vu , ni preparer de dossier, ni ressortir des affaires de cours et de plus il ne lui en avait même pas parler ce qui aurait été surprenant vu qu’elle était en pleins cursus scolaire (bon elle était plutôt vers la fin en effet) et aurait pu l’aider pour ce qui était des demarches et autres, vu qu’elle n’avait qu’a demander a un de ses profs comment faire pour reprendre ses études après en avoir fait d’autre et travailler, par soucis de se reorienté. Jolene tira alors sur sa cigarette sans quitter des yeux Marlon « mmh…on verra bien ! » dit-elle toujours en le regardant. Marlon embrassa une nouvelle fois Jolene dans le cou « Tant mieux, parce que j'ai passé des heures derrières les fourneaux. » Jolene ne put s’empecher de se mordre la lèvre alors qu’il passa ses mains sur ses épaules les massant lègèrement. Le beau brun quitta ensuite la terrasse pour l’interieur de l’appartement, surement allant chercher les mets que le jeune couple allait deguster. Jolene continua elle de fumer sa cigarette, attendant patiemment le jeune homme, elle regarda autour d’elle, malgré la nuit qui s’était declaré, la terrasse était éclairé par les lumières exterieur accompagner des nombreuses bougies que Marlon avait disposé un peu partout,de plus l’air chaud de Phoenix rendait la soirée particulièrement agreable. Marlon revint avec deux assiettes, tendis qu’il partit chercher encore une bouteille de champagne, Jolene ecrasa sa cigarette sur le cendrier posé sur la table pour observer l’assiette, elle ne put s’empecher de sourire devant les efforts prodiguer par Marlon, de plus ça avait veritablement delicieux. Après que Marlon ai servit du champagne, il s’asseya a son tour « J'ai un petit cadeau pour toi » Jolene leva les yeux au ciel et soupira cependant sans qu’un leger sourire ne la quitte « t’es vraiment pas croyable ! » elle saisit alors la boite qu’il avait fait glisser jusqu’à elle et l’ouvrit pour decouvrir un collier, son sourire s’elargit alors « c’est magnifique Marlon… » elle le regarda quelques secondes, elle n’était pas habitué aux cadeaux avant Marlon et même si pour elle cadeaux ou pas, cela ne changeait pas l’amour qu’elle portait pour lui, elle devait admettre que cela lui faisait tout de même plaisir « merci , je l’adore » dit-elle , se penchant pour deposer un baiser sur ses lèvres, une fois sur sa chaise a nouveau elle defit le collier de son écrin pour mettre le collier. Une fois fait elle regarda Marlon « il me va au moins ? » dit-elle dans un rire

Marlon était un garçon généreux ça tout le monde le savait. Cela venait peut être du fait qu'il avait beaucoup d'argent.. enfin ses cousins aussi avaient de l'argent et pourtant ils n'étaient pas du genre à mettre la main à la poche, sauf pour se faire des cadeaux personnels bien évidemment. Non, il faut croire que le brun était comme ça et c'est tout. Lui, ça lui faisait plaisir de voir un sourire sur le visage des gens et peut importe ce que ça avait pu lui coûter. Bien évidemment, lorsqu'il s'agissait de ses petites amies – et surtout de Jolene – Marlon pouvait se montrer encore plus dépensier ! Elle lui disait souvent que ce n'était pas son argent qui l'attirait – et il la croyait parfaitement – mais lui il aimait lui faire des petits cadeaux. Non ce n'était pas pour qu'elle l'aime encore plus ou quelque chose comme ça mais il voulait juste lui faire plaisir.. et elle pouvait dire ce qu'elle voulait, le jeune homme savait qu'un collier lui ferait plaisir. « T'es vraiment pas croyable ! » Il laissa s'échapper un léger rire en haussant les épaules. De toute façon il était persuader que le jour ou elle en aurait marre de ce romantisme débordant elle lui ferait comprendre d'une façon ou d'une autre. « c’est magnifique Marlon… merci , je l’adore » Flatté de savoir que ce petit présent plaisait à Jolene, Marlon fit un sourire timide alors que ses yeux se baissaient légèrement, un peu comme si il était gêné. « Je suis content que ça te plaise.. » Marlon ferma quelques secondes les yeux pour apprécié un peu plus ce court baiser « Il me va au moins ? » il la regarda, fit mine de réfléchir en prenant un air des plus sérieux puis finalement il hocha la tête en retrouvant le sourire. « T'es magnifique. J'ai vraiment assuré ! » lâcha t-il dans un rire. Il la trouvait de toute façon magnifique mais c'est vrai que ce collier qu'il avait choisit lui allait particulièrement bien. Il avait plus qu'à espérer que la bague lui plairait également. Finalement, Marlon lui tendit un verre remplit de champagne, et attrapa le deuxième, avant de faire s'entre choquer les deux bords. « J'espère que ce que j'ai préparé va te plaire.. J'ai plus l'habitude de la cuisine française mais je me suis dit que ça te ferais peut être plus plaisir de manger des trucs Écossais. » Il avala une première gorgée de ce champagne qu'il avait lui aussi payé une petite fortune – mais comme il le disait, pour Jolene rien n'était trop cher ! « Mais je me doute que à côtés de ta mère je suis un peu ridicule.. » lâcha t-il dans un léger rire gêné. C'est vrai que chaque repas qu'il avait passé dans la famille Pallenberg avait été un moment d'exception pour ses papilles ! Au moins maintenant il savait de qui Jolene tenait son don pour la cuisine.
Le reste de cette soirée se déroula plutôt bien du moins au sens de Marlon. Il n'y avait pas eu de dérapage de mots malheureux qui aurait pu faire partir l'un d'eux au quart de tour. Il faisait encore bon sur la terrasse bien qu'un petit vent se soit maintenant levé. Pour ce qui était des plats il en était assez fier – bien que sûrement bien loin de ce que la mère de Jolene pouvait préparer.. en fait pour lui, ça avait un peu été une phase d'expérimentation ! Un peu risqué certes de faire ça pour un tel événement, mais en même temps il ne se voyait pas faire sa demande en plein milieu d'un restaurant. D'ailleurs il était temps. Le stresse, la peur, la pression.. tout était à son comble alors qu'ils venaient de terminé le dessert. A la base, le brun ne s'était pas donné de moment précis pour le faire, il s'était dit que ça viendrait quand ça viendrait.. mais voilà, la fin de leur petit dîner était là et il fallait qu'il se décide. « J'ai un autre petit cadeau pour toi.. enfin, j'espère que ça va te plaire.. » lança t-il doucement en se levant de sa chaise alors que sa main était aller fouiller dans sa poche pour en ressortir l'écrin contenant la bague. Il souffla doucement et vint se placer à côtés de Jolene qu'il regarda un instant. Sa main passa sur la joue de la jeune femme avant qu'il ne se décide enfin à poser à genoux au sol. « Je sais que c'est pas quelque chose que tu veux, tu me le dis depuis le début de notre relation. Pas de mariage, pas de famille.. Je t'ai dit que j'acceptais mais c'est faux parce que je veux que tu portes mon nom. » S'arrêtant quelques instants, Marlon finit par ouvrir la petite boite pour lui montrer ce ''cadeau'' qu'il lui avait donc acheter pour l'occasion. Il reposa son regard sur elle et reprit. « Quand on était au mariage de ton frère, j'ai parlé avec ton père et il m'a dit que le mariage c'est la plus belle preuve d'amour qu'on pouvait donner à quelqu'un, et il a raison. Je sais pas si toi tu penses la même chose mais pour moi c'est vrai. Je t'en voudrais pas si tu refuses, je veux pas que tu fasses ça pour me faire plaisir, par dépit.. quoique de toute façon ça te ressemble pas vraiment » un léger rire crispe s'échappa des lèvre du brun qui reprit finalement son sérieux. « Ne m'en veux pas de te demander ça s'il te plait.. Je t'aime Jolene, je t'aime plus que tout et c'est avec toi que je veux faire ma vie. Je sais que te demander ça c'est aller à l'encontre de la promesse que je t'ai faite et de tes principes mais.. Est ce que tu veux m'épouser ? » Le regard plein d'espoir, il serrait doucement la boite dans sa main. Tout ce qu'il voulait maintenant c'était de ne pas avoir à la refermer alors que la bague était encore à l'intérieur. Cette bague c'est autour du doigts de Jolene qu'il voulait la voir et pas ailleurs.

« J'espère que ce que j'ai préparé va te plaire.. J'ai plus l'habitude de la cuisine française mais je me suis dit que ça te ferais peut être plus plaisir de manger des trucs Écossais. Mais je me doute que à côtés de ta mère je suis un peu ridicule.. » Jolene ne put s’empecher d’afficher un grand sourire, Marlon avait fait l’effort de cuisiner un plat ecossais, pays d’origine de Jolene. Elle n’était pas la fille la plus patriote du monde et ne chantait pas l’hymne a chaque fois qu’elle se levait le matin, mais comme toute personne qui avait quitté son pays (pour Jolene, il y a maintenant quatre ans), certaines choses lui manquait…D’ailleurs, Marlon l’avait bien remarqué quand ils étaient aller la-bas, Jolene reprenait automatiquement son accent, ses expressions, sa culture, tout ce qui avait fait son identité patriotique pendant de nombreuses années. Le reste du repas se passa dans la joie et la bonne humeur, Jolene trouvait que cela leur faisait du bien de passer une petite soirée en amoureux de cette façon. Histoire de veritablement partager un moment a eux, a se sourire, se raconter leur deboires au travail ou avec leurs amis, comme n’importe quel couple a vrai dire. De plus Marlon s’était plutôt bien debrouiller pour tout ce qui était de la cuisine, Jolene qui était particulièrement honnète et n’hésiterait pas a dire ,même a son petit ami, que tel ou tel plat ne se cuisinait pas ainsi, n’avait rien trouvé a redire (bon peut être une fois par rapport aux quantité , mais il n’était aller que deux fois en Ecosse elle comprenait !). Le repas était alors terminé, c’est alors que Jolene nota un peu de stress dans le comportement de Marlon, elle ne savait pas trop pourquoi et s’appretait a l’interroger quand Marlon prit lui-même la parole « J'ai un autre petit cadeau pour toi.. enfin, j'espère que ça va te plaire.. » Jolene se mordit la lèvre « Mais j’en suis sur ! » dit-elle. C’est alors que Marlon se leva, elle ne comprit pas vraiment pourquoi, surement pour chercher cet autre cadeau que Jolene avait hate de voir, cependant non, il resta sur place et sortit un petit ecrin de sa poche, Jolene fronça les sourcils quand elle vit l’ecrin et qu’il s’approcha d’elle pour la regarder puis lui caresser la joue…Cependant elle ne perda pas le sourire, non elle ne le perdit qu’a un moment precis : quand il posa le genoux a terre. Là Jolene, comprit. « Je sais que c'est pas quelque chose que tu veux, tu me le dis depuis le début de notre relation. Pas de mariage, pas de famille.. Je t'ai dit que j'acceptais mais c'est faux parce que je veux que tu portes mon nom. » Oui ce que Jolene craignait s’avera vrai. Il était en train de faire sa demande, en train de lui demander de l’épouser, d’être sa femme. Jolene ne voulait pas y croire, elle avait pourtant été claire : elle ne voulait pas de tout ça, il ne s’était pas mit avec la fille qu’il fallait, oui Jolene ne manquait pas pour ce qui était de faire la folle, de s’enfuir une semaine a l’étranger, pour faire du saut a l’elastique (quoique elle tenait quand même a sa vie) et autre…Mais pour la jolie petite maison avec mariage et tripoté d’enfant…Ce n’était pas elle, et ça ne venait même pas du fait qu’elle ne veuille pas, mais plutôt aussi et surtout parce qu’elle ne se voyait pas capable d’assumer un tel rôle. « Quand on était au mariage de ton frère, j'ai parlé avec ton père et il m'a dit que le mariage c'est la plus belle preuve d'amour qu'on pouvait donner à quelqu'un, et il a raison. Je sais pas si toi tu penses la même chose mais pour moi c'est vrai. Je t'en voudrais pas si tu refuses, je veux pas que tu fasses ça pour me faire plaisir, par dépit.. quoique de toute façon ça te ressemble pas vraiment » Jolene continua de regarder Marlon, toujours completement destabilisé, ne sachant pas quoi dire ou quoi faire, elle ne regarda même pas la bague qui était dans l’écrin qu’il avait ouvert, ne voulait même pas avoir idée de ce qu’il avait pu depenser pour cette occasion « Ne m'en veux pas de te demander ça s'il te plait.. Je t'aime Jolene, je t'aime plus que tout et c'est avec toi que je veux faire ma vie. Je sais que te demander ça c'est aller à l'encontre de la promesse que je t'ai faite et de tes principes mais.. Est ce que tu veux m'épouser ? » La question fatidique était tombé, Jolene le regarda ne sachant pas quoi faire. Elle soupira et passa une main sur son front, regardant aileurs pour ne pas avoir a voir la deception qu’elle allait lui causer «pourquoi tu fait ça…» chuchota t-elle, presque pour elle-même, elle attrapa sa coupe de champagne et en avala une gorgée comme si l’alcool qu’elle contenait allait l’aider a se sentir mieux, elle soupira levant les yeux toujours eviter de regarder Marlon « Je t’ai déjà dit que je suis pas une fille qui te rendra heureux en menage …» elle secoua la tête puis se tourna vers lui , prète a decliner cette offre « Je suis déso…» elle s’arreta, croisant le regard de Marlon, elle vit ses yeux pleins d’espoir…Il avait un rêve : epouser Jolene. Elle ne le comprenait pas mais elle était flatté…Plus que flatté d’ailleurs, honorer, elle n’arrivait pas a croire qu’un garçon aussi genial que Marlon puisse avoir comme aspiration dans la vie de vouloir d’elle comme femme. Puis outre ce simple regard, elle vit l’homme en face d’elle, celui qui la rendait heureuse chaque jour un peu plus, que Jolene, même aussi sur d’elle qu’elle pouvait paraitre avait peur d’un jour decevoir…Le mariage, Jolene ne se voyait pas en avoir un, être une epouse comme on dit…Mais les quelques mots que Marlon avait dit plus tôt lui revint pour la simple et bonne raison qu’elle les avait déjà entendu : le mariage est la plus belle preuve d’amour, oui son père l’avait dit et redit au cours de sa jeunesse..D’ailleurs jusqu’à son arrivée aux Etats-Unis, ou plutôt jusqu’à son viol, Jolene était sur qu’elle trouverait le prince charmant, un garçon qui l’epouserait et avec qui elle aurait une multitude d’enfant. Ses ambitions professionnelles avaient freiner ses envies d’un jour pouponner et ce drame avec Brody, sa confiance envers les hommes…Mais Marlon sortait du lot, il avait vengé Jolene, lui avait fait comprendre qu’il condamnait cet acte…Et que lui, il était la pour la proteger…n’était-ce pas ce que l’on demandait a un mari ? Peut être son père avait raison après tout, peut être que le mariage était cette grande preuve d’amour et peut être était-il aussi ce en quoi sa mère le definissait : le passage a l’age adulte…Jolene s’était amusé pendant ses quatre années étudiante, dans quelques semaines a peine, c’était terminé, elle allait rentré dans le monde des adultes et devenir une femme professionnellement…alors peut être que personnellement, il était temps aussi. « Tu sais mon père est quelqu’un d’une grande sagesse …un peu trop reactionnaire et attaché a ses convictions religieuses mais très sage au fond…Et il y a certaines choses qu’il a dite que je ne peux indeniablement pas contesté…je crois que ce que tu viens de me dire c’est l’une d’entre elles…» elle sourit timidement et baissa les yeux, sentant comme une boule dans la gorge « Tu sais j’ai vu chacune de mes sœurs partir…se marier avec l’homme qu’elle aime et…devenir des femmes et jusque là je m’étais dit que c’était pas pour moi, j’étais effrayé…alors que peut être au fond…et bien c’est mon tour…parce que je suis amoureuse moi aussi a present…» elle releva les yeux vers Marlon, ceux-ci s’étant humidifié et certaines petite larmes d’emotion que Jolene aurait voulu empecher de venir tant elle detestait ça, s’étant échappé « Tu me connait, je suis nulle pour les longs discours romantique alors je vais simplement te dire que… je t’aime…plus que tout au monde et que oui je veux devenir ta femme…» elle lui sourit, n’en revenant pas de ce qu’elle venait de faire, de la decision qu’elle venait de prendre, elle regarda alors la fameuse bague dans son ecrin et lui tendis alors la main gauche, tendis que la droite était plaqué contre sa propre bouche comme pour empecher l’emotion de s’accentuer davantage

Une telle demande était un parie risqué, très risqué même ; Marlon risquait non seulement d'être déçu à cause d'un refus mais peut être aussi allait il perdre Jolene parc qu'il avait osé faire ce qu'elle lui avait pourtant interdit. Faire quelque chose d'aussi hasardeux ne lui ressemblait pas, lui qui aimait les choses sûres, les trucs qui filait droit et ne posait aucun problème. Tout était régler à la minute près, tout devait être organisé et bien arrangé ; mais voilà c'était Jolene et comme depuis le début de leur relation, cette fille l'obligeait à changer des choses, à modifier son style de vie. Maniaque comme il était, il avait dû accepter de voir des hauts et des pantalons traîner un peu partout dans la chambre quand elle avait emménager avec lui. Il avait aussi été d'accord pour qu'elle modifie quelques trucs dans l'appartement histoire qu'elle s'y sente vraiment bien, pour chamboulé sa vie de célibataire et ses soirées passé devant la télévision. Mais c'était ça aussi être en couple, c'était le fait d'accepter l'autre, les modifications qu'il apportait. C'était avant tout un échange. Alors certes cette demande n'avait rien à avoir avec une simple paire de chaussure laissé malencontreusement dans le salon mais peut être qu'il était temps pour elle aussi d'accepter cette part de Marlon, cette envie de fonder une famille qui le rongeait depuis si longtemps mais à laquelle, Jolene avait vite mis un frein. C'est vrai qu'ils étaient jeunes, qu'ils ne se connaissait pas depuis autant de temps qu'un couple moyen qui décidait de se marier. Mais peu importe le temps, peu importe ce qu'on pourrait dire sur eux. Marlon voulait qu'elle porte son nom, qu'elle soit vêtue de cette belle robe blanche et que devant leur famille et leur amis elle lui dise ''oui''. Il lui avait maintenant demandé, les cartes étaient dans les mains de Jolene. « Pourquoi tu fait ça…» lança t-elle doucement avant d'avaler d'un seul coup le contenue de son verre. Ca commençait mal, très mal même. Marlon sentit son cœur qui commençait à se fissuré, ses rêves qui se brisait.. il avait même déjà l'impression de voir la fin de leur couple se profiler doucement. Ses mains tremblaient. Et pourtant il avait toujours envie d'y croire. Lui qui ne croyait pas en dieu, priait intérieurement pour qu'elle lui dise oui. « Je t’ai déjà dit que je suis pas une fille qui te rendra heureux en ménage … Je suis déso…» Il croisa son regard et blessé, déçu.. même totalement dévasté il baissa la tête. Il aurait dû s'y préparé, après tout elle lui avait dit des centaines de fois que le mariage ce n'était pas pour elle. Lui il pensait le contraire mais en fin de compte, elle était la seule juge de tout ça. Gêné il resta sans bouger, sans rien dire.. Sa gorge se serrait, ses pensées se bousculaient toute et il ne savait quoi faire. Essayer de la convaincre ne servirait absolument à rien quand Jolene avait une idée en tête c'était très difficile de la faire changer d'avis alors, il n'avait plus qu'à accepter et espérer que ce faux pas ne mette pas en péril leur couple.. bien que cela semblait difficile. En fait ça semblait peut être même un peu égoïste et vaniteux de faire une telle demande à une fille comme elle. Comment avait il pu penser qu'il serrait celui qui la ferait changer d'avis et renoncer à ses principe.. « Tu sais mon père est quelqu’un d’une grande sagesse …un peu trop reactionnaire et attaché a ses convictions religieuses mais très sage au fond…Et il y a certaines choses qu’il a dite que je ne peux indéniablement pas contesté…je crois que ce que tu viens de me dire c’est l’une d’entre elles…» Doucement, Marlon releva la tête vers elle. Il avait jusqu'à maintenant essayé de retenir ses larme face à la déception et la blessure mais quelque une s'était échappé de se yeux. Il ne comprenait plus rien, ne savait plus ou se mettre, ne savait pas ce qu'il devait faire.. si il devait se lever s'excuser et faire comme si de rien n'était pour que leur couple n'en souffre pas trop. « Tu sais j’ai vu chacune de mes sœurs partir…se marier avec l’homme qu’elle aime et…devenir des femmes et jusque là je m’étais dit que c’était pas pour moi, j’étais effrayé…alors que peut être au fond…et bien c’est mon tour…parce que je suis amoureuse moi aussi a present…» La regardant, Marlon cherchait une réponse dans ses yeux, il essayait de comprendre où est ce qu'elle voulait en venir. Il avait envie d'y croire encore un peu mais pourtant il avait toujours peur qu'à la fin d'une phrase elle finisse par le fait qu'elle ne voulait tout simplement pas se marier avec lui « Tu me connait, je suis nulle pour les longs discours romantique alors je vais simplement te dire que… je t’aime…plus que tout au monde et que oui je veux devenir ta femme…» Sous le choc de cette annonce qu'il avait pourtant tant attendue mais à laquelle il ne croyait plus, le brun resta un instant sans rien dire, à moitié bouche bée devant cette main qu'elle lui tendait. Il avait rêver ou est ce qu'elle avait bien dit qu'elle voulait devenir sa femme ? Il ne savait pas, il ne savait plus si il était dans un rêve ou bien si tout ça c'était la réalité.. mais il y eu ce vent qui vint souffler sur son visage. Non ce n'était pas un rêve. C'est avec des mains tremblantes qu'il attrapa la bague pour aller la mettre sur le doigts de Jolene alors qu'un léger sourire commençait tout juste à se dessiner sur son visage. Il réalisait ce que ce geste voulait dire. Maintenant ils étaient fiancés et dans quelques mois, ils seraient enfin marié. Le jeune homme attrapa la main de Jolene pour y déposer un baiser. « Merci. » Il se releva enfin et la fit également se lever pour la prendre contre lui. « J'ai jamais été aussi heureux. Merci. » Il déposa un baiser sur sa joue avant d'aller coller son front contre le sien. « Je te promets que tout se passera bien et qu'on serra heureux. Je ferais tout pour que tu sois heureuse » Il lui adressa un sourire avant d'aller poser ses lèvres contre les siennes. Un immense soulagement s'emparait de lui prenant la place de toute cette pression et cette angoisse qu'il avait accumulé depuis qu'il savait qu'il allait lui faire sa demande. Il recula légèrement on visage pour pouvoir la regarder puis il attrapa sa main sur laquelle se trouvait maintenant la bague. « J'ai encore du mal à y croire.. » lâcha t-il dans un léger rire. Il avait imaginer de dizaine de fois cette scène mais jamais il n'avait penser que ça pourrait être aussi bien.