Johanna Muller copyright avatar : guerlain. son âge → Aux alentours des 23/24 ans son groupe → Au choix. son boulot → Au choix. son caractère → Autrefois femme au sourire d’ange, tu as désormais déchanté, déchue de ton piédestal, tu es à terre mais pire encore, tu te laisses sombrer et renies tout sentiment autre que la colère qui, déjà, à prit l’entière possession de ton corps meurtris. Droguée comme nulle autre, refusant le soutient, tu sombres lentement dans des abîmes infernaux desquels tu ne sembles pas décidée à sortir. Cynique et sans sentiments apparent, tu masques derrière ta maîtrise factice de ton existence le manque de confiance que tu as, la foi que tu as perdue et la haine qui jaillit de chacun de tes gestes et de tes mots. Tu es une loque, femme détruite, collier de perle brisé. son histoire → Avide d'une vengeance qui t'obsède, tu te détruis, réduisant ton existence à l’état de champ de bataille dans lequel tu mènes une guerre contre tes propres démons mais surtout, contre le monde entier. Autrefois, tu étais de ces femmes qui rêvaient d’aventure et d’une existence parfaite. Désormais, tu n’es plus rien. Perdue dans les poudres qui te procure des instants de bonheur et d’oublis et dans les draps d’hommes dont tu ne te souviens plus du visage au matin, tu ne veux qu’une chose : te venger. Tu es terrifiante, attirante et dévastatrice. Emportant sur ton passage tout ceux qui t’approchent, prête à les détruire sans vergogne (et souvent, même sans en avoir conscience) et ce, dans le seul but de retrouver la personne qui a dévasté tout ton existence. Le feu dans cette maison n’était aucunement accidentel, on l’avait provoqué. On avait tué cette famille que tu avais enfin retrouvé et ce, en tout impunité. Ce qui était, à tes yeux, bien trop horrible pour être supportable. avatar négociable ? → Il est déjà au choix alors comme ça x) Cela dit, je suis plus penché sur les mannequins que sur les actrices même si j'aime bien certaine d'entre elles. Bref, pour ce scénario, j'avoue que je voyais assez une femme comme Sigrid Agren ou encore Tiera Skovbye Cela dit, si vous avez d'autres idée, j'écoute ! ♥ pseudo négociable ? → Oui, s'il ne vous plaît pas (a) mot du créateur → feat : nom de l'avatar.

Aitana-Solweig Venety-M (here) → Les flammes léchaient les murs de la bâtisse, s’extirpant par les fenêtres ouvertes du rez-de-chaussée tandis que les cris résonnaient à l’étage. Silencieuse, tu demeurais insensible au spectacle, retirant de ta bouche la sucette que tu avais prise avant de jeter l’allumette dans le salon ou l’essence avait été versée peu de temps avant. Tu détruisais un monde, une famille. Leur famille. Plus la tienne non, uniquement la leur. Au loin, tu distingues deux ombres qui s’échappent dans la fumée grisâtre, sans trop savoir qui sont les rescapés de ton massacre. Tu recules de quelques pas, ne faisant alors qu’un avec l’obscurité de cette nuit sans lune. La vérité, c’est que tu détestais les Venety-Muller, cette famille recomposée qui s’avérait bien trop envahissante à ton goût. Avec ces deux fils et sa fille qui portait le nom de Johanna, monsieur Muller c’était marié à ta mère, une mère qui fut soudain partager entre sa fille biologique, qui depuis qu’elle avait apprit sa maladie c’était soudainement éloigné, et cette nouvelle fille, jolie Johanna pleine de vie qui n’attendais que les bras chaleureux d’une mère qu’elle n’avait jamais connu. Sans doute étais-tu folle, ou encore totalement désorienté mais ce soir là, lorsque tu avais jeté l’allumette dans le salon, tu n’avais eut aucun regret, c’était comme si tu avais crut faire une bonne action, comme si ton geste était celui qu’il fallait avoir. Sombre folle, tu t’es laissé aller à faire ce massacre. Peu de temps après, tu quittais la ville, intégrait Phoenix, laissant derrière toi les cendres encore chaudes et une demi-sœur avide de vengeance.

Rhett Hawtorn (here) → Silencieux, tu fumes. Tu observes. Tu scrutes. Tu vois la femme qui au loin titube, dépravée au cœur brisé, à l’âme souillée. Elle s’effondre sur le sol telle une épave, un long silence survient, puis elle rit. Comme si elle se fichait de sa douleur. Droguée. Elle n’a plus d’espoirs si ce n’est celui de la retrouver, celle qui a détruit sa vie. En attendant, elle meurt en tentant de continuer de vivre. Ombre spectrale, elle rôde, sniffe et baise en pensant que ça lui suffit. Amusé, tu jettes ta clope. Tu avances. Tu l’attrapes. Tu ne sais pas vraiment pour quelles obscures raisons tu fais cela, ce n’est pas ton genre. Tu n’es pas un héro, tu es un démon. Pourtant, elle te fait pitié, petite perle perdue dans l’océan de cruauté de ce monde dévasté. Elle s’effondre. Elle s’endort. Elle se laisse aller à ces bras qui l’emportent, qu’importe qui tu es. […] Tu entends ces grognements lorsqu’elle se réveille, sortant de sa torpeur en fanfare, s’étirant sur le matelas miteux qui te sers de lit. Silencieux, tu bois. Tu bois encore. Tu l’observes. Elle croise ton regard et semble être stupéfaite de voir que quelqu’un puisse être à son côté, elle ne tarde pas à ce rendre compte de l’endroit de lequel elle se trouve, un appartement. Tout du moins, un appartement du genre de ceux qui pourrait accueillir des filles kidnapper tant il est pitoyable. Mais elle comprend, que pour une fois, on n’a pas profité d’elle et de son nez blanchis par la poudre. Ca t’énerve d’ailleurs, d’avoir aidé une inconnue qui, sans doute, n’en vaut pas la peine. Et ça l’énerve tout autant que tu sois venu à sa rescousse. « J’ai pas besoin de ton aide toi. Joue pas les héros bienveillant avec moi, j’peux me débrouiller toute seule. » Tu pinces tes lèvres, tu ris devant sa prétention si peu assurée. Gamine. Pourtant, le terme de héros résonne à tes oreilles comme une insulte. Tu te lèves, attrapant son bras sans aucune douceur. « J’ai l’air d’être superman ? Sois gentille, ferme là. » Tu lâches son bras avec violence. Femme droguée sur le pavé d’une humanité noircit par la stupidité humaine, avide de vengeance, perdue dans un monde qui la rejette et aidé par le seul homme qui se fiche éperdument d’elle. Petit Johanna, si mal tombée.