(m) gaisford ♦ nous sommes plus forts que superman et wonderwoman.

andreas bruyère

copyright avatar : crying lightning.

son âge → vingt-trois ans.
son groupe → à vous de voir.
son boulot → boxeur clandestin rêvant d'étude de littérature, enchaînant les petits boulots merdiques la journée.
son caractère → bagarreur, sinon il n'aurait jamais atterrit dans ce milieu. il a énormément de courage et n'hésite pas à défendre ses proches, parfois un peu trop. il cache un grand cœur tendre. il est très affectueux et, même s'il enchaîne les relations d'un soir, il prend soin de toutes les demoiselles qui passent. il aime la compagnie. puis, c'est aussi un taquin, un râleur, grognon. vous savez, ce genre de mec qu'on appelle parfois des gros nounours, ils font peur à première vue, puis en réalité, ils sont adorables. il paraît froid, de marbre. mais il sourit beaucoup, il aime rire et s'amuser. puis il y a ce côté un peu sombre qui revient sur la bagarre. il s'autodétruit, il en est conscient, il fait tout pour aller au plus bas. il prend un plaisir fou à souffrir. rien de sm, hein. dépressif, peut-être. il a l'impression qu'il ne vaut rien, que la vie n'est pas faite pour lui.
son histoire → je vous donne quelques indications qui ne représentent que des pistes, si vous voulez changer, vous pouvez. c'est tel que je me l'imagine, mais c'est votre personnage, façonnez-le tel que vous voulez.
→ né dans la banlieue parisienne, un peu démunis. une mère russe (ou hongroise, biélorusse, c'que vous voulez, vous voyez les endroits quoi), parlant peu le français, et très mal, bossant comme secrétaire dans une petite société du quartier, elle galère. son père, pilier du bar en bas de la rue, ne s'occupe pas de sa famille, vit sa propre vie, va parfois se payer les prostituées de la rue d'à côté. → il se peut que son comportement bagarreur vienne de son prénom que les enfants jugeaient féminins → plutôt bon à l'école dans les matières littéraires, il se débrouille jusqu'à son année de première où il commence les combats de rue, découvrant que ça paye plutôt bien. il obtient son bac au rattrapage. → sa mère se fait virer, le bar du bas de la rue ferme, il enchaîne les combats, commence les petits boulots à tout va, se rend souvent à l'hôpital. sa mère finit par sauter par la fenêtre de leur appartement. enfin, c'est ce que dit la version officielle. → il fuit le domicile familiale et commence à passer les nuits chez ses conquêtes. → à vingt ans, il part aux états-unis avec marguerite, et continue ses activités.

avatar négociable ? → j'ai un énorme coup de cœur pour le gaisford, je dois vous l'avouer. mais comme dit plus haut, c'est votre personnage, donc l'avatar est négociable, mais je me réserve un petit droit de véto (j'aime tout le monde en principe).
pseudo négociable ? → totalement, je l'ai mit pour combler les vides, tant que le nom de famille fait français, ça va.
mot du créateur → je pense que vous vous en doutez, le personnage est important pour marguerite. de ce fait, je demande à la personne qui compte le prendre, une présence un minimum régulière. je suis une geek de première - ou une nerd ou une no life, ou je ne sais pas comment vous voulez l'appeler - du coup, je suis souvent là, mais rien ne vous oblige d'être là tous les jours. tant que vous ne mettez pas deux cent cinquante ans à répondre aux rps. enfin, bref. si le prenez, je serai la plus comblée des fleurs, ce sera la jouissance parfaite - beuh, quoi ? - et puis, je vous épouserai sur le champ. finalement, merci de vous intéresser un peu au scénario. je ne mords pas, je suis très gentille. (et désolée pour le lien écrit trop merdiquement, si vous voulez des explications, demandez-moi, c'pas clair la dessous, mais de toute manière, j'écris toujours mes scénarios comme une mouise, c'est jamais clair, désolée ._.)

feat : james gaisford.

Mais qui sans amour existe ? .

marguerite rose roussel à propos de leur duo. « wah. andreas et moi. la première fois qu'on s'est vu, j'ai l'impression que ça remonte à une éternité et pourtant, je m'en souviens comme si je venais tout juste de le vivre. c'était une période difficile, douloureuse, du moins pour moi. la première fois... bon sang. je ne l'avais jamais vu auparavant. pourtant, nous étions de la même rue, quasiment l'un en face de l'autre, nous prenions toujours le même bus, les mêmes rues, les mêmes couloirs de lycée, de collège avant, les mêmes salles à des heures différentes, nous avions les mêmes professeurs, et finalement la même vie merdique. un an nous séparait, et à cause de cette année, nous ne nous étions jamais vu, jamais aperçu. il a fallut attendre l'année de ma seconde, j'avais seize ans. je me souviendrais toujours de ce jours, de cette nuit-là. je l'ai passée dans ses bras à pleurer comme une madeleine. il m'a vu, seule sur cette chaise dans le couloir de l'hôpital, il m'a parlé. c'était de la drague. mais je n'étais pas en état et il m'a offert ses bras en réconfort. ce jours-là, ou plutôt cette nuit-là, on a pas beaucoup parlé. j'ai apprit plus tard qu'il était habitué à venir à l'hôpital, qu'il se blessait souvent. pourtant, lui, avait sut directement la raison de ma venue. j'avais besoin de quelqu'un. je venais de perdre mes parents. puis nous nous sommes séparés, sans savoir qui nous étions, que nous habitions l'un en face de l'autre, que nous nous étions probablement rencontré un peu violemment au lycée ou au collège dans les bousculades de couloirs. après notre rencontre, on s'est recroisé. on s'est reparlé. on s'est connu. je me rappelle quand il me disait adorer les bouquins de mon père, il était bien le seul. tout comme il était le seul à apprécier ma peinture. et puis, je ne sais plus combien de mes copines de l'époque m'ont demandé de leur présenter ce beau mec avec qui je traînais souvent. mais je n'en avais pas envie. andreas m'appartenait désormais. il m'avait aidé dans la douleur. je ne pouvais plus m'en décrocher. j'ai changé de lieu, j'ai arrêté le lycée, qui aurait crut que notre récente amitié tiendrait mieux que celle que j'entretenais depuis la primaire avec les filles. mon frère me demandait souvent si nous sortions ensemble, si nous avions enfin conclut. mais jamais, non, au grand jamais, andreas n'osait me toucher. l'un pour l'autre, nous sommes le diamant inaccessible dont on rêve sans arrêt. j'ai apprit pour ses combats nocturnes, j'ai essayé de lui faire arrêter. il a alors chercher ma faille. j'avais dix-neuf ans, je venais de commencer, il a été le premier à apprendre que mon corps se vendait parfois à des prix en or. je lui disais que c'était une manière de me faire pas mal d'argent en prenant du plaisirs. lui, se faisait démonter la face pour le même prix, il n'avait aucune leçon à me donner. quand mon frère l'a sut, j'ai fuit et il m'a suivit. nous n'avions tous les deux plus rien à perdre. et finalement, maintenant, nous sommes là l'un pour l'autre. je le soigne quand ses écorchures vont un peu trop loin, il me soigne quand les clients vont un peu trop loin. on se détruit mutuellement tout en se soutenant mutuellement, nous sommes toujours nos propres diamants inaccessibles. finalement, n'est-ce pas ce dont j'ai toujours rêvé ? »