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| Sujet: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 19:24 | |
| | Jexan Red Scott Westmorland copyright avatar : sterling.
ton âge → Vingt-sept ans ton groupe → the lost song ton boulot → Sans réel emploi ta classe sociale → Moyenne voir aisée, cela du uniquement à ses rentrés d'argents pas très légales. ton caractère → L'ombre d'un homme, tu n'es plus rien qu'un être intouchable. Emmuré dans un solitude que tu penses protectrice, les relations humaines n'ont plus aucune significations pour toi. Peu de paroles franchissent tes lèvres, n'ayant jamais apprécié un taux superflus de paroles, tu préfères le silence. Toutefois, tes gestes en disent souvent long sur tes pensées et il est indéniable que tu es presque toujours en colère, tes poings qui cognent avec une facilité déconcertante en témoigne aisément. Tu es un paradoxe qui ne crois en aucune relation, tu les imagines toutes destructrice et te guidant vers une mort certaine. D'un pessimisme poignant, tu ne prêtes plus attention aux gens qui, eux également, on cessé de s'intéresser au mystère que tu es.
ton pseudo → * ton âge → Entre 10 et 100 ans feat : Sam Way |
Mais qui sans amour existe ? . que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → L’amour n’a de sens que si l’on désire y croire. Pourtant, tu n’as jamais connu ni n’a voulu connaître ce sentiment qu’on dépeint comme si merveilleux. Tu n’as jamais voulu connaître le bonheur illusoire et le réconfort éphémère que pouvait apporter des sentiments si fort envers une autre personne. Te forgeant une vie dans ta solitude, tu n’as jamais vu l’amour que comme un piège destiné à faire souffrir les fous qui, d’aventure se risquaient à être happé par celui-ci. Pour toi, l’amour n’est qu’une fable dont on dessine la légende pour que les plus idiots tente de le trouver. Une quête d’un trésor aussi inestimable qu’inexistant qui n’engendre que jalousie et douleur.
quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Y a-t-il seulement un statut amoureux pour une personne comme toi ? Enfermé dans ta bulle, que nul n’atteins, elles furent bien rare les fois ou tu laissas quelqu’un t’approcher et désormais. Sans doute se compte-t-elle sur les doigts d’une seule main, d’ailleurs. Alors, tandis que les autres ne peuvent avoir de relation avec toi, tu es peu à même de définir qui tu es sur ce plan là. La vérité, Red, c’est que tu n’es qu’un handicapé sentimental. Un homme destiné à être seul jusqu’à la fin de as vie parce que tu n’as jamais laissé de chance à quiconque. Certains diront célibataire. Pourtant, faut être lucide, c’est bien plus que cela.
quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Pour n’avoir jamais couché qu’avec des femmes, on ne peut que supposer que Red est hétérosexuel, mais dans le fond, sans doute trop éloigné des autres, il n’a jamais songé à autre chose que cette voix. Et de toute façon, quand bien même cela puisse-t-il être le cas, cela t’indiffère bien. Hétérosexuel ou non, tu n’en demeures pas moins décidé à n’avoir aucune relation particulière, amical ou amoureuse. Du même coup, tu passes outre cette interrogation qui pour toi n’a aucun sens. Pourquoi songer à quelque chose qui n’aura pas d’influence sur notre vie ? Douce illusion.
comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Pour toi, ton présent n’est qu’un reflet de ton futur. Homme pessimiste, qu’une décennie s’écoule ou bien plus encore, tu continues de t’imaginer dans le même état que maintenant : stagnant dans une solitude que tu crois illusoirement grisante et dans laquelle tu t’imagines achever ton existence. Sans personne pour pleurer ta mort, sans même personne pour venir chaque année déposé des fleurs les larmes aux yeux. Tu t’imagines enrôlé dans une routine qui t’indiffère comme le reste du monde et une colère qui, avec un peu de chance s’apaise te rendant, si ce n’est plus sociable, au moins plus serein.
Dernière édition par J. Red S. Westmorland le Lun 4 Juin - 13:21, édité 18 fois |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 19:24 | |
| Il faut un début à tout
L'ombre d'un homme, tu divagues et avance dans un monde qui t’indiffèrent, il tourne autour de toi tandis qu'impassible tu ne le regardes même pas. Tes poings, habituellement serrés reste enfouis dans tes poches tandis que sans un mot, tu t’arrêtes devant une façade. Celle-ci n’affiche rien de particulier si ce n’est un vide flagrant et lorsque bien d’autres la jugeraient sans intérêt, tu y décèles des choses que nul ne verrait. Il ne t’a pas fallut longtemps pour comparer ce mur à ta misérable existence. Les fissures étaient multiples et pourtant, par un miracle inconnu, il tenait encore debout.
Ton corps tangue tandis que le goût du sang s’insinue dans ta bouche, il n’est devenu que trop familier et c’est désormais sans un mot et sans même lever les yeux que tu encaisses les coups. Las, tu ne portes même plus attention à la douleur que te cause l’énième coup dans le ventre et tes oreilles n’entendent plus le son de sa voix rauque qui te hurle des insanités avec virulences. Tu sens le parquet comme appuis tandis que finalement, tu as vacillé, inerte pourtant, tu attends, retenant ton souffle, le coup fatal que tu sens arrivé. L’omniprésence de la mort semble enveloppé cette famille maudite qui, de prime abord, semblait parfaite. Tu te souviens encore d’avoir vu ce couple enjoué comme une bénédiction, la fin de ta vie miséreuse dans le centre d’accueil ou chaque jour, tu imaginais vainement qu’un couple te porterais assez attention pour d’adopter. Peu à peu, tes espoirs s’effilochaient à mesure que tu constatais l’évidence : nul ne voulais un gamin de six ans, non, ils se tournaient tous vers ces bébés nouveaux nés qui n’avaient encore aucune souvenir et qui, dès qu’ils le pourront vous appelleront papas et mamans. Toi par contre, tu n’avais comme souvenir que les murs de ce centre et le visage barbouillés de larmes d’une mère qui, peinée mais déterminé t’avais déposé ici pour ne jamais revenir. Tu sentais encore parfois, le soir, lorsque tu ne tenais plus le choc, la chaleur du dernier baiser sur ta petite joue. Un souvenir qui, au fil des années, n’avaient pas tardés à devenir incertain, parfois même tu l’oubliais presque totalement. Puis ils étaient arrivés. Les Westmorland et leur pseudo-perfection, des sourires charmeurs et des petites attentions, il n’en fallait pas plus pour le gosse naïf que tu étais pour croire aux fables qu’on te racontait. Un bonheur, une famille, une vie heureuse. Tu idéalisais ce cocon familial et t’y voyais passer ta vie. Et si, au début, tu avais continué d’y croire, la dure réalité brisa bien vite ce tableau merveilleux. La prétendu femme stérile tomba miraculeusement enceinte et tu fus bien vite relégué au rang de vermine. Le comportement violent du paternel, d’abords effrayant, c’était finalement révélé bien dangereux et tu n’étais désormais qu’un gamin apeuré dont le seul refuge était une chambre dont on avait retiré le verrou. Sans même le connaître, tu détestais ce gamin qui germait dans le ventre de la matrone et qui venait de balayer ton existence alors que tu n’avais que six ans. Ce fut une fille, une bénédiction pour les Westmorland, sauf pour toi. Fut un temps ou tu étais encore leur fils, un semblant d’être humain, mais finalement, tu fus bien vite délaissé, enfermer dans une chambre qui devenait une cellule. Affrontant le regard de parents qui devenaient des geôliers et la compagnie d’une souriante gamine qui, sans le savoir était devenu ton bourreau. Il fallait avouer, pourtant, que Sara n’avait rien d’une enfant cruelle, la pauvre se contentait de vivre sans voir qu’elle était responsable du chaos qu’était devenu ton existence. Et pourtant, lorsque tu eu quatorze ans, du haut de ses huit petites années, ce fut la seule cette année-là à te souhaiter ton anniversaire. De sa voix fluette, elle avait murmuré au creux de ton oreille comme un secret interdit « Je t’aime Red, je t’aime fort, fort, fort. » Tu n’avais jamais rien répondu à cela. Oh tu aurais voulu. Tu aurais aimé lui dire que toi aussi. Pourtant, il n’en était rien. Tu n’aimais pas cette gamine qui n’avait rien fait si ce n’est vivre. Tu lui en voulais silencieusement d’être responsable de réactions en chaînes qui désormais te détruisaient. Ce soir là, dans un silence de mort, tu avais quitté le domicile familial. Sans un seul remord.
Silencieux tu observe une fissure qui happe une bonne longueur du mur, tu l’avais toujours comparé à ton enfance, qui avait eut une incidence sur tout le restant de ta morne existence. Derrière toi, tu sens le monde qui continue son chemin, tu sens les gens qui foulent le macadam et les odeurs d’essence qui polluent l’air. Mais tu n’y prêtes pas la moindre attention.
C’est par un miracle inconnu que tu as survécu si jeune, enfant perdu dans les rues d’une ville terrifiante. Tu volais pour manger, dormant là ou on voulait bien de toi et poursuivait ta route au petit matin. C’en était même devenu un automatisme, un quotidien devenu presque monotone malgré la précarité des choses. A tes seize ans, tu ne tardas pas à trouver des petits boulots généralement très mal payés mais assez pour te payer de quoi manger. Tu ne bronchais jamais. Muré dans un mutisme peu commun, il était rare de t’entendre parler, tes collègues avaient d’ailleurs bien vite abandonné l’idée d’avoir une quelconque relation amical avec toi, tu ne leurs inspirait qu’une marque non dissimulé de dégoût. Tu étais un spécimen étrange qui par son inertie ne provoquait rien d’autre que la méfiance. Pourtant, dans ce lot d’ingrats, Nela était là. Cette femme enjouée t’ennuyait profondément par sa façon d’être si excessive et quand bien même ne répondais-tu pas à toutes ses questions, elle continuait de venir passer son déjeuner à côté de toi. Et quand bien même ne lui adressais-tu pas un mot, chaque jour, elle continuait d’entretenir une conversation pour vous deux, comme espérant qu’un jour, tu y prennes par. Pendant quinze minutes qui te parurent bien trop longue, elle déblatérait sur sa vie comme si tu étais son meilleur ami. Tu ne tardas pas, d’ailleurs, à tout savoir sur elle. Et il s’avéra malgré toi, que cette technique étrange ne tarda pas à fonctionner. Lâchant prise tu avais d’abords échanger quelques phrases, fuis toutes ses questions, lui lançant souvent des regards noirs dont elle ne prenait pas compte. Parfois, elle observait tes poings serrés lorsqu’elle abordait certains sujets et, sereine, continuait sa tirade en croisant secrètement les doigts pour que tu ne l’as frappe jamais. Tu n’étais pas amoureux de Nela, pas plus qu’elle ne t’aimait. Pourtant, son amitié consistait comme seul pilier solide de ton existence. Un pilier qui ne tarda pas à se volatiliser. Elle avait récolté l’argent pour ses études, disait-elle et, elle comptait partir en France pour les Beaux Arts. Lorsqu’elle te l’avait annoncé, tu n’avais rien dit, pas même un mot pour lui dire au revoir. Ton regard sombre l’avais fixé tandis qu’elle avait gardé pour elle une proposition qu’elle avait sur le bord des lèvres. Elle t’aurait bien proposé de quitté les Etats-Unis, partit avec elle. Mais tu étais bien trop imprévisible et sans doute n’aurait-elle pas accepté facilement un refus alors que tu l’as regardais de façon si dur.
Le départ de Nela t’avait replongé dans une monotonie et un silence dans lequel tu te morfondais un peu plus désormais. Encore plus indifférent qu’autrefois, tu avais même cessé de parler aux clients, ce qui t’avais vite valu un renvoi, lequel ne sembla pas te toucher. Pas plus que toutes les tuiles te tombant dessus par la suite. L’année de tes dix-huit ans fut sans doute l’une des plus rudes de ton existence, car si, gamin, on te passait tes vols devant ton air affamés et si on acceptait de te laisser dormir gratuitement quelques nuits dans un hôtel pas trop mal, il n’en était rien pour l’homme que tu étais devenu. Sans doute aurais-tu pu trouver une issus plus favorable à celle que tu empruntas. Sans doute aurais-tu pu te tourner vers des centres d’accueil, ou quelques choses de ce goût là. A la place, tu trouveras refuge dans une bande d’amis dont les affaires louches ramenaient toutefois beaucoup d’argent. Bien plus que tu n’en avais vu depuis que tu avais quitté la maison des Westmorland et ça te suffisait pour juger cette issu bonne à prendre. Malgré toi, tu ne tardas pas à t’enrôler dans des histoires plus louches les unes que les autres, happé par un cercle vicieux qui ne te permettais pas de quitter le système instauré, un système qui bien que fructueux n’était ni légal, ni très sécurisé et tu savais sans aucun doute que tu pouvais y laisser ta peau. Pourtant, ce manège dura longtemps, bien trop longtemps sans doute. Et il fallut que l’un de vous se fasse arrêter par les flics pour que, à vingt-trois ans, tu ne prennes la fuite, comme un voleur. Avec l’impression étrange d’avoir déjà vécu cette scène, il a de cela presque dix ans, dans un contexte différent mais dans un but similaire : celui de sauver ta peau.
Depuis combien de temps fixes-tu ce mur ? Depuis combien de temps te fais-tu volontairement souffrir en te remémorant un passé peu glorieux à l’image d’un présent qui ne l’est pas non plus ? Bien trop longtemps sans doute. Et tandis que ton regard s’éloigne des fissures et que tes pas avances à l’aveuglette dans les rues de Phoenix, tu croises, de l’autre côté de la rue, un visage qui n’est que trop familier. Par chance – ou malchance -, elle, elle ne t’a pas vu. Silencieux tu observes cette jeune femme aux allures de poupées qui semble discuter avec quelqu’un que tu ne connais pas. Cette femme dont les yeux dévoilent une vie désolante qui, de sa grandeur d’âme ou simplement de son goût pour la destruction à jugé bon de venir s’enrôler dans une relation conflictuelle et de rejet permanent avec toi. Fut un temps, tu t’es prit à imaginé que Vega avait sans doute tes troubles psychologique alors que souvent, tu l’as voyais venir vers toi, tendant une main que tu ne voulais pas, prononçant des mots dont tu te fichais, engageant une conversation dans laquelle tu ne voulais pas participer. Parfois, tu parlais un peu. Jamais trop dans le fond. Et tu avais finis par comprendre que, si elle n’était pas folle, elle n’était pas saine pour autant. Un mystère l’englobait, incendiait silencieusement son âme tandis que tu faisais mine de ne pas prêter attention à cela. Pourtant, chaque fois qu’elle s’aventurait à venir t’ennuyer par sa simple présence, tu ne pouvais t’empêcher de t’interroger, silencieux, sur cette question. Ce qui pouvait justifier un tel comportement, un visage d’apparence serein qui se révélait pourtant d’une complexité atroce et qui recelait de bien des mystères dont elle n’était pas désireuse de parler. Tu n’assimiles pas tout de suite lorsqu’enfin, elle constate que tu l’as fixe. Sans un mot, ni même une expression qui pourrait dévoiler un quelconque intérêt pour elle, tu tournes les talons. Silencieux, comme toujours, tu foules le macadam, comme une ombre, tu fends la foule, fixant un point de l’horizon inexistant, cherchant secrètement quelques choses pour refermer, à l’instar du mur, les fissures de ton âme.
Dernière édition par J. Red S. Westmorland le Lun 4 Juin - 8:13, édité 12 fois |
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∞ Sheena T. Jackson she - appartient entièrement à edwin. don't touch me.
◭ messages : 2708 ◭ arrivé(e) le : 18/01/2012 ◭ âge : 21 ans ◭ statut : Célibataire et amoureuse ! Cocktail détonant. ◭ études/métier : Etudiante en langue vivante
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 19:59 | |
| Je fonds. Quel avatar Bienvenue ici et très curieuse de voir ce que tu vas faire de ton personnage. |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:04 | |
| Sean O'pry il a la classe Au moins autant que HNH 8) Merci Sheena ! |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:11 | |
| khfsjdfgksdjfgksf sean ! rebienvenue ! |
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∞ Sheena T. Jackson she - appartient entièrement à edwin. don't touch me.
◭ messages : 2708 ◭ arrivé(e) le : 18/01/2012 ◭ âge : 21 ans ◭ statut : Célibataire et amoureuse ! Cocktail détonant. ◭ études/métier : Etudiante en langue vivante
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:12 | |
| - Rush H. Westemorland a écrit:
- Sean O'pry il a la classe Au moins autant que HNH 8)
Merci Sheena ! euh non pas autant que HNH ! N'exagérons rien non plus ! |
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∞ P.-Zadig L. Scherrer
◭ messages : 198 ◭ arrivé(e) le : 16/05/2012 ◭ âge : vingt cinq ans ◭ statut : marié ◭ études/métier : étudiant en économie
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:12 | |
| On est les plus beaux du monde *repars sur sa fiche* |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:14 | |
| Merci Max ! (Et garde moi un lien avec ce compte aussi *-* ) Ah Sheena, disons que c'est un autre style hein ! HNH & Sean c'est pas les même du tout. Je plussoie, Vegadontj'adorelepseudo ! |
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∞ P.-Zadig L. Scherrer
◭ messages : 198 ◭ arrivé(e) le : 16/05/2012 ◭ âge : vingt cinq ans ◭ statut : marié ◭ études/métier : étudiant en économie
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:16 | |
| Ah, tu vois finalement ! Il est beau mon pseudo, hein ? |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:19 | |
| T'as gagné, je l'avoue, il gère (Comme Frida, d'ailleurs ) |
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∞ P.-Zadig L. Scherrer
◭ messages : 198 ◭ arrivé(e) le : 16/05/2012 ◭ âge : vingt cinq ans ◭ statut : marié ◭ études/métier : étudiant en économie
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:20 | |
| Toi, t'as toujours raison, et moi, quoi qu'il arrive, je gagne toujours |
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∞ j. alix o'donnel ◭ bye-bye, black bird.
◭ messages : 6147 ◭ arrivé(e) le : 02/12/2011 ◭ âge : twenty-one y-o. ◭ statut : en couple ? ca dépend des fois. ◭ études/métier : étudie la littérature et bosse dans un café.
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:29 | |
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| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:32 | |
| Ouais, faut bien égaliser nos capacités, histoire que je sois pas un Dieu *egosurdimensionnébonjour* J'sais bien que tu m'aimes Alix Merci |
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∞ P.-Zadig L. Scherrer
◭ messages : 198 ◭ arrivé(e) le : 16/05/2012 ◭ âge : vingt cinq ans ◭ statut : marié ◭ études/métier : étudiant en économie
| Sujet: Re: → Hurt the heart Mer 16 Mai - 20:33 | |
| Roh puis Hadès Nan, là, vraiment, t'as complètement fait basculer les rapports de force en ta faveur |
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∞ bigfish ◭ jillian - perfection has a name.
◭ messages : 3213 ◭ arrivé(e) le : 16/01/2012 ◭ âge : underco ◭ statut : underco' ◭ études/métier : underco
| Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 5:58 | |
| hadès j'vais m'taire x) bienvenue une fois encore, beau gosse va ! |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 7:00 | |
| 1ère réaction : J'aaaaaime cet avatar ! Et re-bienvenue quand même ! ^^ |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 8:32 | |
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∞ Jaelynn S. Rush
◭ messages : 34 ◭ arrivé(e) le : 13/05/2012 ◭ âge : 24ans. ◭ statut : Célibataire. ◭ études/métier : Serveuse & danseuse.
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∞ Avery J. Morrison
◭ messages : 307 ◭ arrivé(e) le : 19/02/2012 ◭ âge : vingt trois ans ◭ statut : en couple avec faith ◭ études/métier : danseuse classique et fabricante de crystal meth
| Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 12:33 | |
| Y a un trip sur Hadès ? |
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∞ Indie S. R. Kelton
◭ messages : 93 ◭ arrivé(e) le : 12/05/2012 ◭ âge : Vingt-cinq ans ◭ statut : En couple, dira-t-on ◭ études/métier : Assistante Sociale
| Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 14:07 | |
| TON PSEUDO + TON AVATAR + TOI. Vas-y, t'as l'air plus gentil que Rhett, on fait des bébés ? Sérieusement, (Re)Bienvenue m'sieur ! |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 14:58 | |
| Je suis plus gentil que Rhett Mais dans le fond, je suis pas mieux hein ! Des bébés ? Mais quand tu veux, t'es trop canon avec Wilde Merci grosse dinde ! |
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∞ Manoé-Stills G. Scherrer
◭ messages : 1142 ◭ arrivé(e) le : 13/01/2012 ◭ statut : Célibataire
| Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 15:06 | |
| C'toi la dinde |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 15:13 | |
| Je te ... hein ! |
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∞ Manoé-Stills G. Scherrer
◭ messages : 1142 ◭ arrivé(e) le : 13/01/2012 ◭ statut : Célibataire
| Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 15:15 | |
| Jotem ! |
| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart Jeu 17 Mai - 15:19 | |
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| | | | Sujet: Re: → Hurt the heart | |
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