→ 16 octobre 1999

J’étais là assis sur le divan de la grande salle familiale, mes écouteurs dans les oreilles, mon ipod jouant à fond la caisse, dans notre énorme maison, pas assez grosse à mon goût. Disons-le à quinze ans j’aimais vivre dans le luxe. Je n’avais jamais connu autre chose, je me devais de l’avouer. Je regardais un peu partout, en prenant soin de bien examiner tous les moindres détails et en me surprenant à pensé, qu’il avait été rare que d’être assis ici. J’aperçu donc mon père marcher en ma direction s’assoyant devant moi. J’avais de ses yeux qui l’admirait dans ce joli complet gris, puis ma mère qui vint s’asseoir tout prêt de lui sur ce divan trop grand pour eux. J’aurais pu m’asseoir sur le même divan, et nous aurions eu encore de la place. Enfin je les regardais, prenant soin aussi d’admirer ma mère vêtue de cette longue robe argentée. « Tu veux bien enlever tes écouteurs, mon fils. Nous avons, enfin j’ai quelques choses à te dire avant de quitter pour la soirée organisé à l’hôtel. » Je retirai donc mes écouteurs de mes oreilles, ne les quittant pas du regard. Mon père me regardait le sourire aux lèvres, en restant sérieux quand même. Il y avait quelques chose d’important qui s’en venait mais quoi? J’ignorais dans quel genre de situation je me retrouvais, mais c’était important c’est certain. Alors sans un mot de plus je me mis à l’Écouter. « Tu sais mon fils, un jour je ne pourrai plus m’occuper de la chaîne. C’est donc aujourd’hui que je t’annonce que tu es mon héritier. » Je crois qu’à ce moment-là la bouche m’en tomba. Je sautai au bras de mon père le remerciant. J’étais tellement en admiration devant lui que j’en étais fier de devenir son héritier. Quoi qu’il y avait une logique, c’était son seul fils.


→ 9 juin 2008

Cette semaine là, j’entrais en vacance d’été. Alors les études reprendraient quelques mois plus tard. Raison de plus pour retourner à la maison et voir ma famille, ainsi que tous mes amis qui se trouvaient loin de moi durant mes études. Je rangeai mes livres dans les étagères de ma chambre, puis je quittai l’Université à une vitesse folle. J’embarquai ensuite dans ma voiture direction Los Angeles, la maison. Une fois arrivé dans le driveway j’aperçu la voiture de ma mère. Parfait, je pourrai passé lui dire un petit bonjour avant d’aller rejoindre mes amis au petit bar du coin qui m’attendaient pour aller prendre une bonne bière. La première des vacances d’été. Alors j’entrai dans la maison et dis : «Maman ! Je suis là ! » je n’eu aucun réponse, ce qui me surpris d’ailleurs parce que ma mère n’avait pas vraiment l’habitude de ne pas me répondre, J’étais son petit garçon encore à 24 ans, son bébé. En quelques bons, je montai à l’étage puis me rendit directement à la chambre de mes parents. Ma mère s’empressait de jeter tous les mouchoirs qu’elle avait utilisé, puis essuyer son mascara qui avait coulé suite aux larmes versées. Stupéfait, de voir ma mère pleurer, je me jetai sur elle la serrant fort dans mes bras et lui demanda : « Qu’est-ce passe-t-il ? » Toujours sans réponse, ma mère me surprenait. Je ne savais pas quoi dire. Était-il mort ? C’était quoi le problème. Je savais ce que signifiait le fait de voir ma mère en larme, sa concernait mon père. « Ton père est à l’hopital, Joshua. » Bon dieux qu’est-ce qu’Il faisait là ? « Hier soir il est tombé en bas des escaliers, il a eut une perte d’équilibre. Les ambulanciers ont voulu tout faire, mais il est encore inconscient. » Les larmes sur les joues de ma mère coulèrent de plus belle, j’en revenais pas, tellement que mes yeux devinrent remplis d’eau. « J’ai passé la nuit là, les médecins ont passé une batterie de test à ton père. »Elle repris son souffle, et me fixa du regard. Elle me faisait encore plus peur, je me devais de l’avouer, mais j’Avais cette impression, que le pire s’en venait. « Cette perte d’équilibre, serait du à une tumeur au cerveau. » Mon corps ne pouvait plus me supporter, mes genoux devinrent mous puis je m’effondrai sur le sol, laissant quelques larmes couler sur mes joues.


→ 24 juillet 2008

Il y a de cela quelques deux mois, j’étais parti de ma résidence dans la bonne humeur et la confiance d’aller retrouver mes parents pour les vacances d’été. Sauf que pas de chances, j’eux la malheureuse surprise d’Arriver trop tard. Moi qui avait passé des mois sans lui dire le moindre mot parce qu’il n’avait pas le temps et que je n’avais pas le temps. Le temps nous avait tués, si j’avais pris seulement une minute pour l’appeler et lui dire comment j’allais, prendre de ses nouvelles. Peut-être serais-je aujourd’hui sans le moindre remord. Mon père avait tombé en bas des escaliers de la maison l’envoyant directe dans le coma. Puis vint ce jour où son souffle s’arrêta. Je me retrouvais maintenant seul avec ma mère, avec une fortune familiale difficile à géré puis n’ayant pas la moindre minute pour lui dire à quel point je l’aimais. J’avais eu l’espoir de le voir allongé sur sa civière et de voir ses yeux ouvrirent, le mettant directement à mon écoute, de lui dire à mon tour : écoute moi j’ai quelques chose à te dire. De le rassurer en lui disant que j’allais être ce bon héritier, que j’allais tout faire en sorte pour ne pas détruire tout ce qu’il avait bâtit. Que j’allais m’occuper de ma mère. Oui, ma mère, qui se trouvait à mes côtés, toujours en larmes, vêtue de cette blouse noire et ce pantalon noir, ce grand chapeau et ses lunettes soleil ne laissant pas voir ses yeux rougis par ses pleurs. Les larmes me montèrent aux yeux lorsque la tombe de mon père descendit dans le sol. « Je t’aime et t’aimerai toujours, mon père » dis-je en chuchotant, de sorte à ce que seul ma mère m’entende.


→ 12 septembre 2010

« NOHANN JOSHUA KALED LIVINGTON ! FRANCHEMENT ! Tu devrais peut-être arrêter de faire le fou et commencer à pensé à ta carrière. » C’était ma mère qui essayait de me ramener à l’ordre, depuis la mort de mon père, j’Avais la fâcheuse habitude de prendre souvent une cuite après le boulot, laissant tout les moindres petits soucis de côté. Je pensais seulement à m’amuser et sa commençait à nuire à la réputation de la famille. J’étais tellement devenu célèbre qu’on me voyait parfois avec des célébrités dans certaines revues à potins. Je faisais aussi la une de certains journaux de semaines. Pas étonné non plus de me voir la figure avec quelques gouttes dans le nez. « Ton père ne t’as pas légué sa fortune pour que tu fasses le fou ! » Sur un lendemain de veille, tenant ma tête et allongé dans mon lit, je la regardai un instant me parler en mettant ses mains sur ses hanches. Elle était faché et je comprenais. Sauf que j’étais loin d’être réceptif à ce qu’elle me disait. Alors je marmonnai : « Est-ce que je pourrais resté tranquille pour le moment et qu’on puisse en parler plus tard ? » Elle soupira, vraiment fâché, elle tira les couvertures et dit en criant légèrement : « IL EST HORS DE QUESTION ! Tu te lèves et vas directement à l’hôtel, c’est terminé ! Que je ne te vois plus dans cet état. » Me forçant donc à me lever, elle me poussa vers la salle de bain puis ajouta : « Prend une douche, habilles-toi et prend-toi en main, il est plus que temps. »

que signifie le terme d'amour pour ton personnage ? → C'est un sentiment qu'on ne peut expliquer. C'est de se bâtir une vie, sa propre histoire en compagnie de celle ou celui qui restera à tout jamais dans notre coeur. C'est de se donner corps et âme pour celle ou celui qu'on aime. C'est d'être prêt à tout pour lui ou elle. C'est de donner son coeur à celle ou celui qui le mérite bien. C'est aussi avec ce fort sentiment que nous formerons un couple moi et cette personne et que nous gravirons les murs de notre vie ensemble. Que toutes les obstacles mis sur notre passage ne soit que poussière grâce à notre amour plus fort que tout !

quel est le statut amoureux de ton personnage ? → Disons plutôt compliqué ? Disons qu'il s'est fait vollé son coeur par cette petite blondinette charmante, à qui il ne cesse de pensé, qu'il voit dans sa soupe. Hors elle n'est pas seule, alors il devra faire ses preuves s'il veut l'avoir.

quelles sont les préférences sexuelles de ton personnage ? → Hétérosexuel.

comment ton personnage se voit-il dans l'avenir, du point de vue amoureux ? → Comment dire, il préférait que tout se passe comme prévu. Qu'il puisse se marier, avoir des enfants et tout ce qui vient avec. Sauf que son avenir en a décider autrement, il a hérité de la fortune familalle et ne compte pas se marié de si peu puisque son coeur on le lui a vollé et maintenant il ignore ou il en est rendu avec tout ce qui concerne sa vie amoureuse. Quant à sa vie professionnelle, elle est parfaite.